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mercredi, 28 mars 2018

160 clandestins, soutenus par la CGT, se mettent en grève : régularisés !

Publié par Guy Jovelin le 28 mars 2018

 
 

160 travailleurs clandestins, sans papier, d’origine africaine, étaient employés par des entreprises de la région Île de France.

Le 12 février 2018, ils se sont mis en grève, ce qui est plutôt rarissime, et ils ont certainement eu raison, cela, bien entendu, avec l’appui de la CGT.

Et cela peut paraître étonnant car, jusqu’à preuve du contraire, la CGT défendait les travailleurs français contre justement les travailleurs détachés, et plus « détachés » que des immigrés clandestins c’est difficile à trouver.

Les 6 entreprises qui employaient, en toute illégalité, ces « travailleurs africains » : Défi Technology (Intérim), SEPUR (Ordures ménagères), GLS (Logistique), EVENT THAI (Plats cuisinés), STLG (Collecte de déchets) et CHRONOPOST (Livraison de colis), seront, nous l’espérons, très sévèrement sanctionnées car elles ont enfreint la loi en toute connaissance de cause en employant ouvertement une main d’œuvre étrangère et clandestine, non déclarée.

Mais là où cette affaire tourne à la dérision la plus totale, c’est sa possible, pour ne pas dire probable, conclusion.

En toute logique ces entreprises devraient être condamnées à de très fortes amendes et les 160 travailleurs clandestins et sans papier renvoyés chez eux.

Ce n’est pas le cas, loin s’en faut.

D’un côté la CGT ne cache pas sa satisfaction, alors que, contrairement à ce qu’elle affirme haut et fort : « Ces travailleurs n’amènent aucune richesse, bien au contraire, ils travaillent pour un salaire nettement inférieur et la seule richesse profite uniquement à leurs employeurs, donc au « patronat » qui, jusqu’à présent (mais peut-être qu’avec Emmanuel Macron, président, la cible se détourne de son objectif initial, si l’on tient compte du peu de succès obtenu par les récentes manifestations « de masse ») était « l’ennemi » de toujours. »

De l’autre côté, les 160 clandestins, sans papier et illégaux, ont obtenu un engagement de régularisation de leur situation par les autorités afin qu’ils puissent être embauchés régulièrement.

Ils ont ainsi obtenu, par la grève, le droit de travailler et de vivre en France.

Il s’agit là d’une décision qui risque de ne pas « tomber dans l’oreille d’un sourd » et de faire des milliers d’envieux !

N’est-ce pas le but recherché et par le patronat et par l’Union européenne et donc par la France de la  République En Marche…mais vers quelle destinée ?

Manuel Gomez

 

Source : ripostelaique

Les deux tiers des attentats en France ont été commis par des fichés S Et la moitié par des personnes déjà condamnées, selon LCI

Publié par Guy Jovelin le 28 mars2018

 

Les deux tiers des attentats en France ont été commis par des fichés S  

 
 

Lundi 26 mars, Jennifer Knock, dans sa chronique "Les indispensables" diffusée dans 24h Pujadas sur LCI, est revenue sur la réalité autour des personnes "fichées S" pour radicalisation. Si on prend les plus grosses attaques terroristes commises en France depuis 2012, sur les 31 terroristes impliqués, 20 étaient fichés S, soit les deux tiers, a-t-elle expliqué. Parmi ces djihadistes, on trouve : Mohammed Merah, qui a perpétré les tueries de mars 2012 à Toulouse et Montauban ; Amedy Coulibaly, prôneur d'otages de hyper cacher en 2015 ; Larossi Abballa, qui a assassiné des policiers à Magnanville, en juin 2016.

Les autres terroristes n'étaient pas fichés S, mais étaient connus des services de renseignement, a indiqué Jennifer Knock. C'est notamment le cas de Salah Abdeslam, qui n'était pas fiché en France mais en Belgique. En outre, selon la jeune femme, la majorité de ces terroristes a déjà eu affaire à la police. Plus de la moitié d'entre eux avait un casier judiciaire, souvent pour des délits de droit commun.

 

Source : atlantico

Ecole : comment des parents combattent le racisme de leurs enfants

Publié par Guy Jovelin le 28 mars 2018

Par  le 28/03/2018

 
[…] Le fils de Mélanie, 7 ans, lui a déjà dit qu’il était « raciste », voyant que le mot semblait susciter des réactions. « Encore une fois, j’ai expliqué le sens et tout est rentré dans l’ordre. C’est juste qu’ils mélangent toutes les informations qu’ils reçoivent. »

Quand la fille d’Anaïs lui a dit qu’elle « n’aimait pas les marrons », la mère a repris son arbre généalogique avec l’enfant : « Je lui ai montré comment, dans notre famille comme dans beaucoup d’autres, il y avait des gens d’origines différentes et beaucoup de mélanges. Comme plein de variétés de fleurs qui sont toutes belles. »

Pour Nicolas, l’éducation anti-raciste commence par aiguiser l’esprit critique vis-à-vis de certains discours médiatiques : « Pourquoi, quand il y a un drame, on ne donne la nationalité et la religion du tueur que si la personne est originaire du Maghreb et surtout musulmane ? N’est-ce pas du racisme ordinaire ? »

Guillaume a remarqué que son fils adolescent, plutôt ouvert d’esprit, critiquait beaucoup les Roms. « On a regardé ensemble en quoi ce qu’il pensait d’eux venait de clichés, vu qu’il ne connaissait personnellement aucun Rom. On a exercé son empathie : que ressentirait-il, lui, d’être mal jugé comme ça par quelqu’un qui ne connaît même pas ses valeurs ni sa personnalité ? Et on a regardé sur Internet des vidéos sur les aspects sympas de leur culture, comme leur langue et leur musique. Le racisme, c’est surtout de l’ignorance et de la peur. »

Aurore Augendre relate, sur la page Facebook d’Ouest-France, un échange avec son fils alors qu’il avait 3 ans. « Maman, tu as vu le garçon, il ne s’est pas lavé, il est tout noir !… » Elle lui a alors répondu : « Mais non, il est né comme ça, avec cette couleur de peau, c’est comme pour la couleur des yeux, on n’a pas tous la même couleur ! »

Sur Facebook encore, Dario Stéphanie Andrade raconte : « Mon fils a tenu des propos déplacés sur la couleur de peau d’une dame travaillant dans l’école. J’ai bien sûr été mise au courant de ce fait que je ne cautionne absolument pas ! J’ai obligé mon fils à écrire une punition sur 200 lignes. Il a été privé de toute sortie avec copains et de console pendant deux mois. Il a écrit une lettre d’excuses à la dame et je suis moi-même allée m’excuser. J’ai expliqué à mon fils que la couleur du sang, qui plus vital qu’une couleur de peau, ne change pas. C’est rouge. On a tous des organes, du sang, de même couleur. De son côté, mon fils a bien compris la leçon. » (…)

 

Ouest France via fdesouche

Périco Légasse dénonce le silence des autorités sur l'égorgement de Beltrame (CNEWS,26/03/18,19h23)

Publié par Guy Jovelin le 28 mars 2018

beltrame,égorgement,périco légasse


 

youtube

Saint-Herblain (44) : torturée et séquestrée par son ami migrant clandestin, elle s’échappe grâce à un drap

Publié par Guy Jovelin le 28 mars 2018

Par  le 27/03/2018

 

 

Une jeune femme de 18 ans, séquestrée, frappée et torturée durant plusieurs jours, est parvenue à s’échapper samedi après-midi d’un appartement situé au 9e étage d’un immeuble de Saint-Herblain (Loire-Atlantique), rapporte Presse-Océan.

Selon le quotidien régional, après trois jours d’un véritable calvaire, la jeune femme a pris tous les risques pour fuir son petit ami et bourreau, avec qui elle vivait depuis dix mois.

Elle a réussi à nouer un drap pour descendre à partir du balcon de l’appartement et se réfugier chez sa voisine du 8e étage de cet immeuble situé boulevard Marcel-Paul.  (…)

Peu après son évasion, son petit ami a été arrêté et placé en garde à vue. Agé de 24 ans, en situation irrégulière et déjà connu des services de police, le jeune homme aurait reconnu une partie des faits tout en évoquant une soirée très alcoolisée.