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mardi, 27 mars 2018

Même morts, nos élus nous rackettent encore !

Publié par Guy Jovelin le 27 mars 2018

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 Philippe Randa

Il n’y a pas de petites économies, tout est bon à prendre – ou plutôt à ne pas débourser –, surtout lorsqu’il s’agit de l’État (le nôtre en l’occurrence) dont la dette publique s’élève tout de même à « 2 226,1 milliards d’euros à la fin du troisième trimestre 2017, soit 98,1 % du PIB contre 55,8 % à la fin de 1995 et 66,8 % à la veille de la crise de 2008 » (chiffres sur Wikipédia). À 3 ou 4 000 milliards près, ne chipotons pas.

Ainsi, les nouvelles règles d’allocation pour frais funéraires allouée aux députés de l’Assemblée nationale, aux anciens élus et… à leur famille (sic !) sont entrées en vigueur le 15 mars, sans recours, possible : ce sera 382 000 euros de dépenses funéraires en moins car celles-ci passeront de 18 255 euros maximum à un forfait 2 350 euros, soit (presque) le coût moyen d’une prestation d’obsèques.

C’est toujours ça, même si certains soupireront que c’est une goutte d’eau dans le tsunami de la dette française, tandis que d’autres s’étonneront, en lisant ces lignes, de découvrir qu’un tel privilège existait… Que des frais de déplacement ou de nourriture puissent être remboursés à nos élus dans le cadre de leurs fonctions, on le conçoit, mais lorsque la Camarde siffle leur fin de vie, comme c’est le lot de tout à chacun, c’est tout de même plus difficile à admettre…

Les cheminots ne sont donc pas les seuls à voir leurs privilèges d’antan bousculés par l’actuel gouvernement, même si les leurs avaient peut-être davantage de raisons à avoir été institués à une époque que les moins d’un demi-siècle n’ont pas connu…

Notons que le gouvernement français ne fait que s’aligner sur ce qui se pratique au Parlement européen… et que le Sénat n’est pas concerné pour le moment : vu la moyenne d’âge de ses membres, l’économie réalisée serait à l’évidence plus substantielle !

Source EuroLibertés cliquez ici

lundi, 26 mars 2018

Cambrai (59) : Avant la messe, il crie au micro «Allahou Akbar»

Publié par Guy Jovelin le 26 mars 2018

Par  le 25/03/2018

 

Ce dimanche matin, alors que la messe paroissiale des Rameaux n’avait pas encore commencé en la cathédrale de Cambrai, un incident, sans gravité ni conséquence puisqu’il n’a pas créé de mouvement de panique, s’est produit.

Selon les renseignements qui nous sont parvenus, un individu, plus marginal que dangereux, s’est approché du micro et a lâché cette expression connotée au lendemain de l’attentat perpétré dans l’Aude. « Il a crié Allahou Akbar, quelqu’un s’est approché de lui et il s’est enfui en courant…

 

Alpaslan Kavaklioglu, député turc: « L’Europe deviendra musulmane dans 20 ans. »

Publié par Guy Jovelin le 26 mars 2018

Alpaslan Kavaklioglu

« L'Europe sera musulmane »: c'est ce qu'a déclaré sans ambages le député turc Alparslan Kavaklioglu lors d'une réunion récente de l'AKP, le parti du président Erdogan, convaincu que « les musulmans sont l'avenir de l'Europe. » Du moins d'un point de vue numérique, devenant ainsi majoritaires en vingt ans.

Kavaklioglu préside la commission de sécurité de l'information du Parlement turc. Par conséquent, il est l'un de ceux qui sait quoi dire pour se faire comprendre en Occident.

L'islamisation est déjà en cours...

Kavaklıoğlu a ensuite exposé la preuve que l'Europe est déjà au milieu d'une prise de contrôle musulmane.

"Mais l'Europe a ce problème: tous les nouveaux venus sont musulmans - du Maroc, de Tunisie, d'Algérie, d'Afghanistan, du Pakistan, d'Irak, d'Iran, de Syrie et de Turquie", a-t-il déclaré en mettant en garde les Européens. "Ceux qui viennent de ces endroits sont musulmans.

C'est maintenant à un tel niveau que le nom le plus populaire à Bruxelles, en Belgique est Mohammed. Le deuxième nom le plus populaire est Melih [Malih] et le troisième est Ayşe [Aisha]. "

"[Avec cette tendance continue], la population musulmane sera plus nombreuse que la population chrétienne en Europe", a souligné M. Kavaklıoğlu. "Cela... a augmenté la rhétorique nationaliste, xénophobe et anti-islam là-bas. Par conséquent, les petits partis marginaux ont commencé à obtenir un grand nombre de votes... Mais il n'y a pas de remède à cela. L'Europe sera musulmane.

Nous serons efficaces là-bas, si Allah le veut. Je suis sûr de cela."

Dans un commentaire pour l'Institut Gatestone, le journaliste turc Usay Bulut, qui est maintenant basé à Washington, D.C., a souligné que le jargon pro-musulman de Kavaklıoğlu est similaire à celui d'Erdoğan.

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Source Source2 Source3 Source4

Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Une racaille de la cité du terroriste de Trèbes cogne un journaliste

Publié par Guy Jovelin le 26 mars 2018

 journaliste,racaille,trèbes

Une racaille de la cité du terroriste islamiste Radouane Lakdim donne un violent coup de poing à un journaliste venu faire un reportage, après lui avoir lancé : « Cassez-vous ou je vais vous tuer là ! Casse-toi ou je vais t’éclater ! »

 

 

Source : France 3, samedi 24 mars 2018, 12h00

 

 

Source : France 3, samedi 24 mars 2018, 12h00

26 mars 1962, un crime d’Etat : de Gaulle ordonne d’assassiner des Français !

Publié par Guy Jovelin le 26 mars 2018 

 

De Gaulle voulait absolument rejeter toute la responsabilité du non-respect des « Accords d’Evian » sur l’action de l’OAS et pour cela il a recouru à la force des armes et fait ouvrir le feu sur une population désarmée qui ne souhaitait que rester française.

Le 26 mars 1962, une manifestation pacifique partait du plateau des Glières pour se diriger, par la rue d’Isly, vers le quartier de Bab-el-Oued, cerné depuis plusieurs jours par l’armée française et les CRS.

Bien entendu personne n’était armé, cela était absolument impossible compte tenu de l’état de siège dans lequel se trouvait Alger.

Le rassemblement atteignait la Grande Poste du boulevard Laferrière, lorsqu’une rafale partait d’un fusil mitrailleur, mis en batterie au dernier étage du 64 de la rue d’Isly. Une deuxième rafale meurtrière déchaînait l’enfer.

Les tirailleurs algériens complètement affolés tiraient sur tout ce qui bougeait, vers les toits, sur la foule, ce fut une tuerie. Des tirs sans sommation qui ont duré près de douze minutes.

Le bilan officiel sera de 46 morts et 200 blessés, dont 10 blessés chez les tirailleurs, victimes de balles perdues, et un seul mort (abattu par un officier alors qu’il achevait une femme blessée).

Un second rapport militaire a fait état d’une centaine de morts et de plus de 200 blessés. A la morgue de l’hôpital de Mustapha les corps étaient jetés par terre, nus, en vrac, et ils ne seront pas rendus à leur famille.

La vérité « officielle » sur ce massacre programmé n’est toujours pas reconnue officiellement par les différents gouvernements français et il serait étonnant qu’elle le soit un jour.

Une certitude, ce massacre de la rue d’Isly et, par conséquent l’objectif de cette manœuvre, était la fracture totale entre les Français d’Algérie et l’armée métropolitaine, promise dorénavant au service de l’ALN.

De Gaulle avait atteint son but.

**La preuve directe de l’organisation par le gouvernement français, donc par De Gaulle en personne, du massacre des innocents le 26 mars 1962, rue d’Isly à Alger nous est apportée par CHRISTIAN FOUCHET qui, rappelons-le, était Haut-commissaire en Algérie ce 26 mars 1962, et ministre de l’intérieur du 6 avril 1967 jusqu’au 31 mai 1968 date où il est limogé par De Gaulle.

Voici le témoignage et l’aveu de CHRISTIAN FOUCHET le 28 octobre 1969 :

« J’en ai voulu au général de m’avoir limogé au lendemain de mai 1968. C’était une faute politique.

De GAULLE m’a reproché de ne pas avoir maintenu l’ordre en mai 68.

– « Vous n’avez pas osé tirer » m’a-t-il dit.

J’aurais osé, s’il l’avait fallu – lui ai-je répondu – Souvenez-vous de l’Algérie et de la rue d’Isly. Là j’ai osé, et je ne le regrette pas, parce qu’il fallait montrer que l’armée n’était pas complice de la population algéroise.

(Source : Jean Mauriac « L’Après De Gaulle » – notes confidentielles 1969/1989 – page 41)

Ce même mois de mai 68, de Gaulle lançait à Pompidou une phrase qui résumait toute sa carrière : « Mais, Pompidou, figurez-vous que j’ai passé ma vie à tirer contre des Français ».

(Rapporté par Edouard Balladur à Daniel Rondeau, auteur de « Vingt-ans et plus – journal 1991/2012 »)

Dès le cessez le feu proclamé le 19 mars 1962, l’armée française, sur les ordres de De Gaulle et de quelques officiers supérieurs, les généraux Katz, Debrosse et Ailleret, a perdu son honneur car elle n’a pas éprouvé le moindre état d’âme quand il a fallu tirer sur des Français qui défendaient une terre française à Alger et ne s’est pas opposée au massacre, par l’ALN, de près de 3000 Français à Oran.

Honneur aux officiers de notre armée qui ne se sont pas parjurés.

Le général de Pouilly, un fidèle parmi les fidèles à De Gaulle, n’hésitera pas à écrire : « J’ai choisi la discipline mais choisissant la discipline, j’ai également choisi avec mes concitoyens et la Nation Française la honte d’un abandon et, pour ceux qui n’ayant pas supporté cette honte et se sont révoltés contre elle, l’Histoire dira peut-être que leur crime est moins grand que le nôtre. »

Manuel Gomez

 

Source : ripostelaique