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jeudi, 17 novembre 2016

LE "GRAIN DE SEL" DE JEAN-CLAUDE ROLINAT

Publié par Guy Jovelin le 17 novembre 2016

LA MACRONITE AIGÜE, ÇA SE SOIGNE DOCTEUR ? Si besoin était de démontrer « qu’une démocratie comme la nôtre » est malade, la candidature d’Emmanuel Macron qui, sans être un perdreau de l’année, n’en est pas moins un nouveau venu sur la scène des « grands », suffirait amplement à le prouver.


Le "grain de sel" de Jean-Claude Rolinat
Enfin, voici un  homme jeune pour ne pas dire un jeune homme, issu des milieux financiers – Rothschild, ce n’est pas rien, une référence, que dis-je une marque !- qui a été secrétaire-général adjoint au Palais de l’Elysée puis ministre de l’économie de François Hollande avec le succès que l’on sait et qui, avec culot, paré des habits neufs d’un renouveau  qui n’est pas celui de  «  Bruno »,  ose  annoncer sa candidature à l’élection présidentielle ce mercredi 15 novembre, à Bobigny, chef-lieu du « 9-3 », tout un symbole ?
Tel un  homme neuf, apparemment vierge de toutes les turpitudes du monde politiCHIEN, ne doutant de rien, comme beaucoup de ses pairs il se jette dans la fosse aux lions et veut concourir à l’élection suprême sans passer par la case « primaires ». Fort de ses discrets mais puissants soutiens, ce symbole du monde libéral-libertaire trace son sillon et grappille, ici ou là, quelques points dans les sondages qui inondent quotidiennement le théâtre politique.
Il est pourtant aux antipodes de ce que semblent souhaiter  une majorité de Français : souveraineté, ordre, respect des valeurs et équité. Sans oublier cette foutue « courbe du chômage » qui, décidément, refuse de se ramollir sans quelques trucages statistiques.
Nouvelle gravure de mode, figure avenante de gendre convenable – trop tard, la place est prise par  « maman »….- il est devenu le champion d’une caste de « bobos » énamourés qui, décidément, n’a rien compris à la vague de fond qui ,de la Grande-Bretagne aux Etats-Unis, de la France à la Scandinavie en passant par la Hongrie, remue  les couches populaires, ces gens du peuple qui n’en peuvent plus des frasques et des échecs d’une oligarchie, provisoirement, encore dominante. A croire que l’élection de Trump – divine surprise ? – n’aura servi à rien. Décliné petits bouts  par petits bouts, tel un collier cassé qui perdrait ses perles une à une, le programme de Monsieur Emmanuel Macron reste flou sur l’essentiel : quid de l’immigration, de la place de la France dans le monde, de ses relations avec ses alliés et voisins, des rapports du monde du travail et du monde de l’argent, de l’avenir du syndicalisme « institutionnel », de la liberté d’expression, de la place exagérément revendicative de l’Islam, de la répression du terrorisme islamiste, de la reconstruction de l’école ? J’avoue que, pour l’instant, je reste sur ma faim et que mon appétit ne sera pas calmé par une infâme tambouille cuisinée par quelques socialistes repentis, acoquinés avec des centristes en rupture de ban.
Les désillusions des bonnes volontés  se mobilisant en faveur de cette   nouvelle offre lancée sur le marché politique, promue telle une marque de lessive qui laverait « plus blanc que blanc »,  viendront à leur heure. Les caciques de la « droite molle » et de la gauche moribonde veillent au grain ;  on peut leur faire confiance pour ne pas adouber sans coup tordu cet « OVNI » propulsé par le monde médiatique. La température de la douche électorale du printemps prochain risque d’être glaciale. En Marche fera, à terme, du sur place !
Jean-Claude ROLINAT

Le directeur d'une école musulmane toulousaine convoqué devant la justice

Publié par Guy Jovelin le 17 novembre2016

Par Caroline Beyer

Mis à jour

 

L'imam Abdelfattah Rahhaoui, directeur de l'école primaire hors contrat Al-Badr.

Fondateur de l'école Al-Badr, l'imam Abdelfattah Rahhaoui est notamment poursuivi pour «poursuite d'une activité scolaire malgré une mise en demeure de l'Éducation nationale». Il dénonce un acharnement administratif.

Violences volontaires sur mineur, ouverture d'un collège clandestin, «poursuite d'une activité scolaire malgré une mise en demeure de l'Éducation nationale». Ce 17 novembre, Abdelfattah Rahhaoui, directeur de l'école primaire hors contrat Al-Badr devra s'expliquer de ces trois accusations devant le tribunal correctionnel de Toulouse. Personnalité controversée, l'imam et conférencier entretient avec l'Éducation nationale des rapports plus que tumultueux depuis l'ouverture de cette école privée musulmane en 2013, dans le quartier populaire Bellefontaine.

À l'issue de la dernière inspection de l'établissement, le 12 avril dernier, en présence des forces de l'ordre, l'académie de Toulouse, a conclu à un enseignement «très déficitaire dans tous les domaines, en dehors de l'enseignement de l'arabe qui s'effectue à des quotités quotidiennes importantes». Elle a aussi constaté que «l'étude quotidienne du coran oblitère le temps de façon importante». Le 20 juillet, avant les vacances estivales, elle invitait les parents à inscrire leurs enfants ailleurs, au motif que l'école «ne délivrait pas un enseignement conforme aux exigences».

«Le vrai coran»

L'école Al-Badr fait partie de ces établissements hors contrat visés par une vague d'inspections surprises lancées il y a un an par la ministre de l'Éducation, dans le cadre d'une lutte affichée contre la radicalisation. «À ce jour, une petite dizaine ont ou vont être saisis devant la justice pour fermeture», explique-t-on Rue de Grenelle. Pour l'école Al Badr, signalée au procureur au titre de l'article 40, la machine est déjà lancée. «Dans certains établissements, nous ne pouvons que constater la volonté manifeste de pas tenir compte des recommandations faites lors de précédentes inspections», poursuit-on au ministère, tandis qu'à l'académie de Toulouse, c'est le silence radio, pour cause d'instruction en cours.

De son côté, le fondateur de l'école, très actif sur les réseaux sociaux, dénonce «un acharnement administratif» contre lui-même, l'école et ses propres enfants. La ligne de défense est claire. Dans une vidéo postée le 5 septembre sur Facebook, vue plus de 80.000 fois, il défend une école musulmane qui, en enseignant «le vrai coran» est «un rempart» contre la radicalisation. Il demande à être jugé comme «simple citoyen», et non «pas sur ses prises de positions politiques».

«Délire communautaire»

Sur ce terrain, l'homme déroule, au rythme de ses vidéos sur Youtube et de ses prêches, un CV de choix. Condamnation de l'attentat contre Charlie Hebdo sans pour autant valider «les ignobles caricatures fanatiques», attaque contre la «théorie du genre» et les lobbys LGBT, proximité alors avec Alain Soral, affirmation du Hijab obligatoire pour les femmes, contexte toulousain marqué par l'affaire Merah...

«Je rappelle que mon client n'est pas fiché S», martèle l'un de ses avocats, Me Hakim Chergui. À ma connaissance, il ne fait l'objet d'aucune condamnation. Pour l'avocat au barreau de Paris, par ailleurs vice-président de l'association Al-Kindi -l'un des plus anciens groupes scolaires privés musulmans- «le dossier est extrêmement léger sur le plan juridique, mais il draine une symbolique forte qui a abouti à placer mon client au centre de toutes les attentions administratives. Ce qui pose la question de l'égalité des droits. Les administrations ont pratiqué un dépassement de leurs fonctions. Un procureur a demandé à l'Éducation nationale de mener une inspection. Cette inspection a amené des policiers dans une école».

Décrit comme proche des salafistes, «ne vivant qu'à travers une lecture rigoriste du coran», «perché», «dans un délire communautaire», Abdelfattah Rahhaoui se refuse à serrer la main d'une femme. «Religieux», «musulman», «barbu», mais «pas pour autant radicalisé», clame haut et fort le principal intéressé.

Mise en demeure

Français né au Maroc, âgé de 43 ans, Abdelfattah Rahhaoui s'est intéressé à l'éducation en 2009, lorsqu'il a fondé le collège musulman privé Alif, dans le quartier sensible du Mirail, en réaction directe et revendiquée à la loi de 2004 interdisant les signes religieux à l'école. C'est en 2013 qu'il a créé l'école Al-Badr, qui accueille une centaine d'enfants, de la petite section de maternelle au CM2.

Outre des faits de violence «sur un mineur de moins de 15 ans», il devra ce 17 novembre répondre de l'ouverture illégale d'un collège privé. Dans les locaux de l'école primaire Al Badr, sont en effet proposées des activités de soutien scolaire. Où commence le scolaire, où s'arrête le périscolaire? Vaste question, récurrente ces derniers mois. Il devra enfin se justifier de la non-fermeture de l'école Al-Badr, en dépit de la mise en demeure de l'Éducation nationale. Un point sur lequel son avocat a déposé une question prioritaire de constitutionnalité (QPC). «La justice ne s'est pas encore prononcée sur la fermeture de l'établissement», explique-il. Le délibéré de l'audience pourrait y aboutir.

 

source : lefigaro

S'il revient en France, ce doit être la Cour Martiale pour Kevin Guiavarch, renégat terroriste, polygame et pédophile

Publié par Guy Jovelin le 17 novembre 2016

 

Kevin Guiavarch

Renégat (dictionnaire de l'Académie française) : « Il s'est dit de celui, de celle qui a renié la religion chrétienne pour embrasser une autre religion. Il s'est fait renégat. C'est une renégate. Il se dit figurément de celui qui, par des motifs intéressés, abjure sa religion quelle qu'elle soit, renie sa patrie ou ses opinions politiques. Les renégats sont également méprisés dans les deux partis ». 

Kevin Guiavarch a aujourd'hui 23 ans. Il a rejoint la Syrie fin 2012, d’abord dans les rangs du Front Al-Nosra, la branche syrienne d’Al-Qaïda, avant d’intégrer l’organisation État Islamique (EI). Il est soupçonné d’avoir été un recruteur très actif de l’EI, directement impliqué aussi dans son financement, mais son rôle était aussi, essentiellement, de recruter des femmes, y compris mineures : on imagine aisément la suite ... 

Après avoir quitté et renié son pays (?), la France, celui qui est devenu un terroriste veut maintenant y revenir, avec ses quatre compagnes françaises et leurs six enfants. Il faut savoir qu'il a eu un ou plusieurs de ces enfants avec une ou plusieurs mineures : il faut dire que, en matière de pédophilie, il n'a fait que suivre l'exemple de son maître Mahomet, qui a épousé à 52 ans, en troisièmes noces, Aicha, une fillette de 6 ans, avec laquelle il a attendu qu’elle ait 9 ans pour avoir des rapports sexuels ... « notre » Kevin ayant pris ses mineures plus âgées que six ans, il n'a pas eu à attendre, lui, pour consommer ses mariages. 

S'étant fait librement soldat de l'armée ennemie, ce Guiavarch-là est devenu traître à sa (?) patrie ; et, accessoirement, terroriste pervers et hors-notre-loi : s'il revient, il doit être immédiatement traduit devant une Cour martiale, puisqu'il a pris les armes pour une armée avec laquelle nous sommes en guerre.  

Peloton d'exécution, fusillé, et on n'en parle plus...

 

Source : lafautearousseau

Totalitarisme LGBT : l’inversion des preuves

Publié par Guy Jovelin le 17 novembre 2016

lgbt_justiceIl s’agit d’un véritable système de délation tel que Staline avait institué pour débusquer les opposants au bolchevisme. Un enfant du nom de Pavlik Morozov (13 ans) avait été présenté par le communisme comme un héros de l’URSS : il avait dénoncé aux autorités soviétiques son propre père ; celui-ci fournissait des faux-papiers à des koulaks pour qu’ils évitent l’exil : celui-ci mourût en déportation. Les koulaks étaient des paysans qui s’opposaient à la spoliation de leurs terres par les bolcheviques. C’est sans doute sur ce modèle de délation que la Catalogne s’inspire.

Cette province espagnole semi-autonome, a diffusé un numéro téléphonique très simple en trois chiffres, anonyme et gratuit, pour dénoncer toute parole ou actes pouvant être considérés comme « homophobes ». Une véritable dictature de la pensée dirigée par LGBT. En effet, il n’appartient pas à l’accusateur de prouver la véracité de ses dires ; mais à l’accusé de donner la preuve du contraire. Par comparaison, imaginez que votre voisin vous accuse de vol, ce n’est pas à lui de prouver son accusation mais à vous de démontrer que celle-ci est fausse. Une incroyable atteinte à la liberté de pensée et de s’exprimer ; celle-ci étant reconnue en toutes lettres dans la « Déclaration Universelle des Droits de l’Homme » ( ?). Une véritable gaystapo s’est ainsi mis en place et sévira comme en URSS : une surveillance de la pensée et des paroles. En effet en Catalogne, toute délation d’homophobie entraîne des poursuites judiciaires.

Jean-Pierre Dickès

 

Source :medias-presse.info

Un musulman condamné pour agression sexuelle sert la messe du pape

Publié par Guy Jovelin le 17 novembre 2016

par 16 novembre 2016

issam-messe-pape

Le quotidien italien Repubblica nous apprend qu’un musulman a servi la messe du pape au Vatican. Cette messe était célébrée dans la basilique Saint-Pierre pour le Jubilé des prisonniers.

« Si les Pontifes prient dans les mosquées, pourquoi ne devrais-je pas le faire au Vatican? Je suis toujours musulman, mais ensemble, nous pouvons prier les uns pour les autres, pour la paix dans le monde et ce dimanche je l’ai fait « .

Le pape François a donc été assisté par Issam, le premier musulman à porter les vêtements liturgiques. Il a aidé le pape à porter les vêtements pour la célébration solennelle, est entré en procession et a pris sa place au pied de l’autel, et a été chargé de laver les mains du pape François.

Qui est Issam ? Il s’agit d’Issam El Jyad, un Marocain de 34 ans, immigré en Italie, et condamné pour différents délits, parmi lesquels l’agression sexuelle d’une jeune femme.

Que dit la doctrine de l’Eglise sur la question de la participation des non catholiques au culte catholique ?

« les infidèles et les hérétiques peuvent assister passivement non seulement à la prédication de la parole de Dieu mais aussi aux autres offices, ne peuvent pas cependant y participer activement, parce que cela serait considéré, à raison, comme un signe d’unité religieuse» (RP Merkelbach).

Le chanoine Naz, à son tour, motive de la façon suivante ce qui est prescrit par le canon 731 § 2 : « Les sacrements sont en effet le bien propre de l’Église catholique, la seule qui ait été instituée par Jésus-Christ, l’auteur des sacrements. Il est dans l’ordre qu’elle n’admette pas à participer à ses biens ceux qui n’admettent pas la divinité de son origine et de sa mission. » (Naz, vol. VII. Col. 819).

Le canoniste Claeys Bouuaert (Manualis juris canonici, t. II De Sacramentis) unit les deux motifs et explique : « les hétérodoxes formels et en mauvaise foi doivent être exclus des sacrements en tant qu’indignes ; les hétérodoxes matériels, ce qui veut dire ceux qui errent en bonne foi, sont à exclure puisque c’est pour ses fidèles que le Christ a confié l’administration des sacrements à Son  Église, comme bénéfice et signe de communion. » (n° 11).

Cette intransigeance pastorale remise en cause par le concile Vatican II n’est pas seulement une question de pure discipline ou de circonstance. Elle repose sur la Foi et le dangers moraux qui lèsent l’unité de l’Eglise et cause un grave danger de scandale, d’erreur dans la foi et d’indifférentisme.

 

Source : medias-presse.info