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dimanche, 06 novembre 2016

Art de vivre • Le petit bistrot sur la place de l’église

 Publié par Guy Jovelin le 06 novembre 2016

 

 par Bernard Leconte 

L’autre année, par un mois d’octobre caniculaire, j’étais allé me promener dans la forêt de Compiègne. J’avais très soif. Je me dis : « Ce n’est rien. Il y a un café à Ermenonville ». Ce café était fermé. Je me dis : « Ce n’est rien. Il ne manque pas de villages sur ma route ». Dans chaque village, le café était fermé, ou il n’y en avait plus du tout. Ce n’est qu’à Senlis que je pus éviter in extremis un malaise odieux dû à une déshydratation poussée.

Cette absence de cafés dans les villages a beaucoup de bon. Cela réduit considérablement l’alcoolisme public. On y gagne en silence. Autrefois, dans des villages où on pouvait aller jusqu’à quatre ou cinq établissements de boissons, on devait à l’abord de ces établissements-là slalomer difficilement entre des gens qui en sortaient en titubant, en chutant et en vociférant des gros mots. Il arrivait que dans ces établissements on chantât et même on braillât. Quand vous vous y installiez, bientôt de nouveaux assoiffés survenaient et s’empressaient de vous serrer la pogne avec leurs mains pleines de bouse.

C’était peu hygiénique. D’ailleurs, la patronne n’était pas toujours très propre sur elle. Les verres dans lesquels elle versait différentes sortes de liquides étaient à peine rincés, quelquefois ils ne l’étaient pas du tout. Les miroirs étaient couverts de chiures de mouche. Les chaises en bois dont le siège, en bois mince lui aussi, était orné de motifs faux Henri II aux trois quarts effacés par le frottement de postérieurs rustauds, pouvaient être bancales et grinçaient sur un plancher où les crachats se mêlaient à la sciure. Ces établissements grouillaient de monde, on y rigolait grassement, on y calomniait son voisin avec entrain, on y colportait avec naïveté les plus délirantes rumeurs.

C’était, comme on dit maintenant, des lieux de convivialité, mais d’une convivialité grossière. Aujourd’hui, plus de tout ça. Les gens ne se voient plus, ne se parlent plus, ils sont au travail sur leur tracteur qui fait un bruit admirable, ou devant leur ordinateur pour apprécier leur déficit, ou devant leur téléviseur où ils s’instruisent grâce à des séries américaines. Ils s’enivrent chez eux tout seuls et deviennent « addicts » sans que le voisin le sache. Voilà de la pudeur. Le soir, plus aucun bruit, le village est aseptisé et comme mort.  

 

Sept demandeurs d’asile afghans violent un mineur et filment la scène

Publié par Guy Jovelin le 06 novembre 2016

par 5 novembre 2016

rapefugees not welcome

Sept demandeurs d’asile afghans ont été interpellés jeudi dans le sud-ouest de l’Allemagne, soupçonnés d’avoir violé à plusieurs reprises un mineur iranien, également demandeur d’asile, et d’avoir filmé leurs forfaits, ont annoncé le Parquet et la police.

Une trentaine de policiers ont mené des perquisitions dans des foyers de réfugiés à Nagold et Wildberg et fouillé les chambres de dix demandeurs d’asile afghans, au sud-ouest de Stuttgart, selon un communiqué commun du Parquet de Tübingen et de la police de Karlsruhe.

Un réfugié syrien de 35 ans a par ailleurs été condamné jeudi à 15 ans de prison ferme par un tribunal de Bonn (ouest) pour avoir tenté de tuer ses trois jeunes enfants en les jetant par la fenêtre. Deux d’entre eux sont grièvement blessés. Selon la Cour, il avait ainsi voulu punir sa femme pour avoir « bafoué son honneur ».

 

Source : medias-presse.info

samedi, 05 novembre 2016

Jean-Pierre Stirbois, décédé le 5 novembre 1988...

Publié par Guy Jovelin le 05 novembre 2016

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Jean-Pierre Stirbois, né le 30 janvier 1945 à Paris, est mort accidentellement le 5 novembre 1988 à Ponchartrain (Yvelines). Politiquement engagé, il était le mari de Marie-France Stirbois, également engagée en politique.

Après avoir participé en 1965 à la campagne présidentielle de Jean-Louis Tixier-Vignancour, il milite au Mouvement jeune révolution (MJR - solidariste). En 1975, il crée avec Michel Collinot l'Union Solidariste.

En 1977, il rejoint le Front national et il en devient Secrétaire général en 1981. En septembre 1983, il est élu adjoint au maire de Dreux. Ce qui provoqua un véritable coup de tonnerre dans la vie politique de l'époque... Il est élu député européen en 1984 et député à l'Assemblée nationale en 1986.

Après avoir effectué un voyage en Nouvelle-Calédonie pour défendre les liens entre celle-ci et la France, il trouve la mort dans un accident de voiture en revenant d'une réunion publique à Dreux.

Il est enterré au cimetière Montparnasse à Paris.

 

Source : synthesenationale

« MIGRANTS » : QUE FAIT LA MARINE ITALIENNE ? DES RONDS DANS L’EAU !

Publié par Guy Jovelin le 05 novembre 2016

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Le Bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

Tandis que les Italiens écopent, les Hongrois colmatent ! Ce qui vaut à ces derniers une haine farouche de la part de l’hyper classe mondialiste et de tous ses relais médiatiques.

Viktor Orban, c’est le diable, un Donald Trump bis ou presque ! Depuis la chute de la dictature ubuesque de Kadhafi largement facilitée par le trio infernal BHL/Juppé/Sarkozy – ces deux derniers ayant le culot de solliciter les suffrages des électeurs français ! – des centaines de milliers de migrants clandestins originaires pour la plupart de l’Afrique subsaharienne, ont franchi la Méditerranée pour échouer, finalement, sur les côtes italiennes grâce aux nombreux sauvetages effectués par la marine du gouvernement romain. Et au prix de mille périls : violences des milices libyennes incontrôlées qui les rançonnent ou les mettent en esclavage, accessoirement viols des femmes et, « cerise sur le gâteau » si l’on peut dire, risque de naufrage.

L’Organisation internationale pour les migrants (OIM), pense qu’une bonne partie de ces immigrés dépasserait les 250 000 qui attendraient le long des côtes de pouvoir s’embarquer tandis que selon d’autres sources, plus alarmistes mais plus réalistes, elles, parlent d’un million de personnes, principalement des Erythréens, Somaliens, Soudanais, Maliens, Egyptiens, Nigérians, Ghanéens et autres Tchadiens. Certains de ces clandestins potentiels pensaient travailler en Libye même (1), mais compte-tenu de la situation anarchique de ce pays, ils ne rêvent plus que de l’Eldorado européen et pour beaucoup d’entre eux, de pouvoir pousser jusqu’en Grande-Bretagne, « Brexit » ou pas.

Et pourtant, il n’y a pas d’avenir pour eux sur notre continent, en tout cas pas comme ils peuvent naïvement l’espérer. Peuplée de 6 millions d’habitants, la Libye serait en fait, en permanence sillonnée par des centaines de milliers d’étrangers victimes de passeurs peu scrupuleux qui ne se donnent même plus la peine d’accompagner leurs « clients » à bord de leurs barcasses. Malgré la présence de l’agence européenne Frontex chargée de surveiller les frontières de l’espace Schengen - en fait c’est plutôt « Spontex » qu’elle devrait s’appeler tant elle absorbe de clandestins ! – et son changement de nom en ECBG ou « Corps européen de garde-frontières et garde-côtes n’y changera rien, c’est tout de même près de 160 000 naufragés qui ont débarqué dans la botte depuis janvier 2016 ! Un record par rapport à 2015, laissant tout de même un gout amer avec plus de 3 000 noyés. Chaque semaine, chaque week-end, une armada gonflée de bonnes intentions patrouille et recueille des masses de misérables grappes humaines entassées dans des embarcations de fortune. Et, au lieu de les raccompagner d’où elles partent, les débarque qui en Sicile, qui à Lampedusa, qui en Sardaigne. Les passeurs encaissent et l’Italie décaisse !

D’après le quotidien Il Giornale, le pays dépense mensuellement 100 millions d’Euros rien que pour loger et nourrir toutes ces bouches. Si ces candidats à une périlleuse aventure passent par la Libye et non par le Maroc pour rejoindre, par exemple, l’Espagne puis notre pays, c’est qu’ils savent que l’Italie expulse très peu de déboutés du droit d’asile tout comme la France d’ailleurs, lesquelles fournissent de généreuses prestations en attendant que les demandes officielles du droit d’asile soient formulées.

Une belle marine qui ne sert à rien !

« Il faut les bloquer au départ (de l’Afrique) (…) L’Italie ne pourra pas tenir une année de plus », a expliqué le 25 octobre dernier à la télévision le Premier ministre italien Mattéo Renzi, qui a également lancé une sorte d’ultimatum à l’Union européenne, menaçant de bloquer le prochain budget européen si les pays membres du groupe de Visegrad (2) continuent – et ils ont raison ! – de refuser l’accueil de toutes ces masses humaines totalement inassimilables. L’Italie recense déjà 5 millions d’étrangers sans compter ceux qui ont été naturalisés, soit près de 10 % de la population avec une pyramide des âges totalement inversée.

Le journal La Stampa estime à 50 000 le nombre de ceux qui sont ou seront déboutés de ce fameux droit d’asile. Leur rapatriement couterait trop cher ou il serait empêché faute d’accord de reconduite et de réintégration avec les pays d’origine. En 2015, sur 34 107 décisions d’expulsion, seules 3 688 ont été effectivement réalisées.

Même ridicule proportion en France qui se débat avec sa « jungle de Calais », véritable cancer avec ses métastases. (La nouvelle « bataille de Stalingrad » aura-t-elle lieu ? A l’heure où ces lignes sont écrites, « la messe n’est pas dite »…).

En examinant la situation de la mare nostrum , on constate pourtant que l’Espagne, la France et l’Italie ont des marines respectables. A quoi servent-elles ? A ne faire que du sauvetage en mer ? Les trois pays cités ont les moyens militaires de stopper cette marée humaine à son point de départ. La flotte italienne totalise 105 000 tonnes, avec des fleurons comme le porte-aéronefs Giuseppe Garibaldi, des croiseurs, des destroyers lance-missiles, des frégates, des corvettes et des patrouilleurs en grand nombre, capables avec leurs bâtiments amphibies d’escorte, de projeter la brigade de fusiliers-marins San Marco ou les paras de la division Folgore pour sécuriser une tête de pont…

Cette zone à déterminer en accord avec les « autorités » libyennes, serait susceptible de contrôler et de « fixer » tous les candidats aux migrations, pour peu que l’ONU veuille bien financer des camps « en dur » pour les abriter. Faute de quoi, tous ces réfugiés économiques pour la plupart, viennent et viendront engorger encore plus les divers centres de rétention transalpins, s’entasser dans des conditions misérables à Lampedusa ou à Vintimille, avant de passer en France et de reconstituer dix, vingt, cent « jungles de Calais ».

La France a, elle aussi, les moyens militaires d’une politique de containment, comme l’Australie sait le faire. Sans état d’âme, mais dans le seul intérêt du pays qui, lui non plus, ne peut accueillir toute la misère planétaire. Si la raison et la rationalité gouvernaient le monde, ça se saurait. La doxa dominante condamne les peuples d’Europe à accepter à terme l’inacceptable : leur lent mais inéluctable remplacement. Par qui ? Par des populations hétérogènes totalement étrangères à la civilisation de nos pères. Ici ou là des voix s’élèvent, des mouvements politiques et des leaders responsables relèvent la tête, en Allemagne, en Italie, en Scandinavie, au Royaume-Unis, en France bien sûr. Mais, curieusement, tout comme le soleil se lève à l’Est, l’espoir d’un arrêt du déclin semble poindre à l’orient de notre horizon. D’où le déchainement de l’oligarchie qui fait donner la « grosse bertha » médiatique contre les leaders des pays de l’ancien Pacte de Varsovie.

Personne n’est dupe. La Hongrie, arc-boutée à son créneau avec sa barrière métallique, défend l’espace Schengen conformément aux accords signés. Tous ceux qui disent le contraire sont des Tartuffe, des hypocrites. Qu’attendent les pays latins et plus particulièrement l’Italie pour en faire autant avec ses moyens navals, sur les côtes libyennes ?

 

Source : synthesenationale

vendredi, 04 novembre 2016

Italie: La messe pour les militaires défunts est supprimée car « il y trop d’élèves musulmans » Partager sur Facebook

Publié par Guy Jovelin le 04 novembre 2016

italie
 
Dans la province de  Vicence (Vicenza en italien) la municipalité de Malo et les écoles se mettent d’accord pour abolir la messe pour les écoles afin de favoriser la présence des élèves.

Pas de messe donc le 4 novembre, jour de fête des forces armées et de l'Unité Nationale. Une insulte à la mémoire des dizaines de milliers d’officiers et de soldats italiens qui sacrifièrent leur vie au cours de la première guerre mondiale.

De nombreux habitants de Malo, ont mal vécu la décision d’abolir cette traditionnelle Messe pour les écoles pour le motif de respecter les élèves des « autres religions ».

Il avait été demandé au curé seulement de bénir la couronne de lauriers, sans célébration religieuse. Mais le prêtre s’est refusé à cette mascarade : « je renonce à la bénédiction de cette couronne, nous prierons à la cathédrale. »

La municipalité est pour autant restée inflexible : « La messe constitue un problème pour les écoles – tente d’expliquer Irène Salata, adjointe à l’enseignement – les enseignants m’ont dit que c’était une question de « tutelle » (des élèves). Pour cela nous avons décidé d’éliminer tout élément qui puisse être un obstacle à la présence des enfants. »

De fait 13% des écoliers sont maintenant d’origine étrangère.

La décision de l’administration municipale a cependant suscité l’ire de nombreuses associations d’anciens combattants et du comité de citoyens “Prima noi”.

Source: ilgiornale.it Traduit par ce blog