Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lundi, 14 novembre 2016

REINFO : LE JOURNAL HEBDOMADAIRE

Publié par Guy Jovelin le 14 novembre 2016

Toulouse: Enervé par le refus de son titre de séjour, il invoque Daesh à la préfecture

Publié par Guy Jovelin le 14 novembre 2016

Le palais de justice de Toulouse.

Le palais de justice de Toulouse. — A. Gelebart - 20 Minutes

Le 20 octobre, un septuagénaire a menacé le personnel du service des titres de séjour en faisant allusion à l'Etat islamique...

En plein état d’urgence, les employés du service des titres de séjour de la préfecture de Toulouse ont vécu un moment de tension le 20 octobre, face à un septuagénaire frustré de ne pas avoir obtenu son titre de séjour. Devant le personnel, il a évoqué Daesh, rapporte La Dépêche du Midi.

Geste d’égorgement

« Je vais faire comme Daesh, j’ai pas peur de la mort ! », a menacé cet homme qui venait de recevoir un titre de séjour provisoire alors qu’il espérait un titre de séjour permanent. Mécontent, l’homme s’est mis à crier, à taper sur la vitre de l’administration avant d’imiter des tirs de mitraillette et un geste d’égorgement.

L’homme de 70 ans a été jugé pour menaces de mort et apologie par le tribunal correctionnel de Toulouse. Peu coopératif lors de cette audience, il a refusé de présenter ses excuses à sa victime. Le procureur de la République a souligné « des gestes d’une violence inouïe » et un comportement « intolérable » avant de demander trois mois de prison avec sursis. Le tribunal a suivi les réquisitions du procureur et condamné le septuagénaire à trois mois de prison avec sursis.

13 novembre: "On ne répond pas aux kalachnikovs par des bougies et des plaques sur les murs"

Publié par Guy Jovelin le 14 novembre 2016

Des bougies flottent sur le canal Saint-Martin, dans le XIe arrondissement de Paris, déposées en hommage aux victimes des  attentats du 13 novembre.
 
 

Patrick Jardin, qui a perdu sa fille Nathalie, régisseuse au Bataclan, dans les tueries du 13 novembre 2015, n'a pas souhaité participer aux commémorations ce dimanche. Pour lui, "le temps n'est plus aux commémorations, le temps est à la vengeance".

Arzon (56) : Un migrant fraîchement débarqué de Calais accusé d’agression sexuelle sur une femme de 67 ans (MàJ)

Publié par Guy Jovelin le 14 novembre 2016

Par le 13/11/2016 

A peine arrivé à Arzon, un migrant d’origine soudanaise, se déclarant âgé de 16 ans, aurait agressé sexuellement une femme, le jeudi 10 novembre 2016. Des faits passés sous silence par les autorités, mais dont Breizh-info a pu obtenir la confirmation . Il était accompagné de deux autres individus, des soudanais également.

arzon_migrants (1)

La femme était en train de décharger son véhicule, lorsque le « réfugié » se serait jeté sur elle, lui aurait touché les seins, en essayant de l’embrasser. Il aurait par ailleurs exhibé son sexe avant que la victime réussisse à prendre la fuite.

(…) Breizh Info

sur les réseaux sociaux, un appel à manifester demain, lundi 14 novembre a été lancé par des internautes. «Une femme agressée sexuellement en Bretagne par des « migrants » (dont la population ne souhaite pas la présence), c’est une agression de trop! L’Etat ne gère absolument pas de façon sérieuse cette crise migratoire, par conséquent, nousvous donnons rendez vous demain, lundi 14 novembre à 20h30 devant la mairie d’Arzon pour, qu’enfin, le Peuple se fasse entendre! » peut on lire sur la page « pas de migrants en Bretagne ».

(…) Breizh Info

Millau : la cérémonie officielle du 11 novembre perturbée

Publié par Guy Jovelin le 14 novembre 2016

EVA TISSOT

 Millau : la cérémonie officielle du 11 novembre perturbée

Le moment de recueillement devant le monument aux morts avait été respecté au cours de la matinée.
 
Le défilé de la Légion, initialement prévu après la commémoration, ce vendredi 11 novembre, a été annulé.

La cérémonie officielle en souvenir de l'Armistice de 1918, qui se déroulait vendredi matin autour du monument aux morts érigé dans le parc de la Victoire, ne s'est pas terminée selon le programme initial. Malgré ce que laissaient penser les barrières, barrages et rues bloquées entre la place du Mandarous et une grande partie du boulevard de la République, le défilé de la 13e Demi-brigade de la Légion étrangère, qui devait clôturer la cérémonie officielle, n'a pas eu lieu. La mairie avait été avertie dès jeudi soir de cette annulation ordonnée par l'état-major de l'armée, mais elle avait maintenu le dispositif de sécurité "au cas où il y ait un changement de programme". 

"Nous avons fait reculer l'armée pour treize individus !"

Si l'état-major de l'armée de terre a pris une telle décision de dernière minute, c'est parce qu'il a eu vent, sur les réseaux sociaux, d'un appel lancé par des militants qui se présentent comme antimilitaristes. "Des motifs d'ordre public nous ont conduits à penser que le défilé militaire ne pourrait pas se dérouler dans le respect dû à notre armée", a déclaré à Midi Libre la préfecture au cours de la journée de vendredi.

La cérémonie officielle, menée par le premier adjoint Claude Assier, s'était déroulée dans un grand respect du protocole, réchauffé de temps à autre par quelques rayons de soleil. La commémoration a été rythmée par les déplacements des troupes, les remises de décorations, la lecture de poèmes par les élèves du collège Jeanne-d'Arc, le dépôt de gerbes, ou encore le ravivage de la flamme du souvenir par des élèves du collège Marcel-Aymard et du CMJS, avant une minute de silence et La Marseillaise.

Un "Vive la Légion" à la fin des discours

En fin de cérémonie, Christophe Saint-Pierre a pris la parole pour annoncer le changement de programme. À la suite de ces quelques mots, l'assemblée s'est dispersée dans une certaine confusion. Chacun y allant de son commentaire...

Le cortège s'est ensuite dirigé vers la mairie pour clôturer les honneurs. Sur le boulevard de la République, des spectateurs attendaient encore le défilé. Sur le parvis de la mairie, ou L'Élan millavois et L'Harmonie du Sud-Aveyron ont joué une aubade, le maire de Millau a pris la parole. "Je m'excuse de cette annulation auprès de la population, des anciens combattants et de vos hommes, mon colonel", a commencé le premier édile.

"Je suis un fervent défenseur de la liberté d'expression, mais manifester un jour comme celui-ci, alors que nous commémorons un grand moment de notre Histoire... Il y a un temps pour chaque chose. Je suis très en colère, nous avons fait reculer l'armée pour treize individus. C'est une minorité qui prend en otage une majorité, qui elle est favorable à la venue de la Légion. Il va falloir que les politiques réfléchissent." Les discours se sont terminés sur un timide, mais franc, "Vive la Légion !", venant du public rassemblé devant les grilles de la mairie.

 

Source : midilibre