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vendredi, 04 novembre 2016

Poutine fustige la politique migratoire de l’UE : «Une société incapable de protéger ses enfants n’a pas d’avenir»

Publié par Guy Jovelin le 04 novembre 2016

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Nos remerciements à TotalInfo

Discutant des aspects multiethniques de la politique intérieure de la Russie, le président russe Vladimir Poutine a appelé à ne pas suivre l’expérience européenne dans ce domaine qui, selon lui, laisse à désirer.

Le président russe Vladimir Poutine est convaincu que sa politique migratoire menace l'avenir de l'Europe. Le numéro un russe a fait ce constat lors d'une réunion du Conseil pour les relations interethniques dans la ville russe d'Astrakhan, le 31 octobre.

Pour justifier sa déclaration, M. Poutine a noté les crimes graves commis par des migrants arrivés en Europe du Proche-Orient et de l'Afrique. En particulier, il a rappelé le cas de viol d'un petit garçon en Autriche par l'un des migrants dont la condamnation a été finalement annulée.

« Une société qui n'a aucune possibilité de protéger ses enfants aujourd'hui n'a pas d'avenir », a déclaré M. Poutine.

En outre, le chef de l'État a suggéré que ce qui se passe maintenant dans l'Union Européenne est le résultat de la « culpabilité devant ces migrants » et de l'« érosion des valeurs traditionnelles nationales ». « Il est même difficile d'imaginer ce qu'ils font là-bas » a souligné le président russe.

Source

Nuit d’Halloween sous tension en France : voitures brûlées, policiers et pompiers pris pour cible…

Publié par Guy Jovelin le 04 novembre 2016

Par le 01/11/2016

Une nouvelle fois, la fête d’Halloween a été agitée en France. Des violences urbaines ont éclaté en région parisienne, mais aussi en Bretagne, notamment à Rennes, en Alsace ainsi qu’à la Réunion. Selon un bilan national (hors Paris) effectué par la police, une centaine de voitures sont parties en fumée et des équipages de secours, qu’il s’agisse de policiers ou de pompiers, ont été pris pour cible. Au total, près de 130 faits de ce type ont été recensés. Ils n’ont pas fait de blessés graves.

Les Yvelines ont concentré le plus grand nombre d’incidents, notamment aux Mureaux, à Trappes, à Mantes-la-Jolie et à Poissy, mais d’autres ont été recensés ailleurs en région parisienne, dans le Val-d’Oise (Villiers-le-Bel, Argenteuil) et en Seine-et-Marne (Noisiel). La province n’a pas été épargnée. En Bretagne (à Rennes et à Lorient), les pompiers ont dû intervenir, assistés par les forces de l’ordre, pour éteindre de multiples feux de poubelles alors qu’ils étaient la cible de projectiles et d’injures. À Saint-Denis-de-la-Réunion, ce sont des containers qui ont été incendiés.

Ce qui frappe dans le contexte de malaise policier ambiant est la proportion importante d’actions commandos menées contre des locaux de police à coups de jets d’extincteurs, de cocktails Molotov ou de bouteilles pouvant contenir de l’acide, ce dernier cas ayant été constaté à Conflans-Sainte-Honorine. Phénomène plus classique, des transports urbains ont essuyé des jets de pierres, comme ce fut le cas pour le tram à Strasbourg. [...]

Le Parisien

L’opération Sangaris : un échec politique qui avait été annoncé

Publié par Guy Jovelin le 04 novembre 2016

Operation Sangaris
Bernard Lugan, africaniste, journaliste, écrivain

♦ Le dimanche 30 octobre 2016, la France a mis un terme à l’Opération Sangaris lancée au mois de décembre 2013 pour mettre fin aux massacres commis par la Séléka[1]. Aujourd’hui, le chaos centrafricain n’a pas cessé et le pays est largement aux mains de cette même Séléka et de ses divers chefs de guerre, souvent des Soudanais.

L’échec est donc total[2] et il doit être imputé aux dirigeants politiques français qui ont constamment donné aux militaires des ordres aberrants.  Rappel des faits et exposé des responsabilités socialistes.


Dans le dossier de la RCA, François Hollande a constamment tergiversé et accumulé les erreurs :

1/ La première date de la fin de l’année 2012 (voir mes communiqués de l’époque) quand, avec peu de moyens, il eut été possible de « traiter » rapidement et efficacement les coupeurs de route de la Séléka. Mais, harcelé par le Quai d’Orsay, François Hollande hésita.

2/ Au mois de mars 2013, alors que tous les connaisseurs du pays le pressaient d’agir, il laissa la Séléka prendre Bangui. La Centrafrique sombra alors dans le chaos cependant que les chrétiens – 95% de la population de souche -, étaient persécutés.

3/ Début 2014, face au désastre humanitaire dont ses hésitations étaient la cause, François Hollande décida finalement d’intervenir mais en précisant toutefois que l’entrée en scène des forces françaises n’avait pas de but militaire…  Nos troupes ne reçurent donc pas d’ordres clairs puisque ni l’ « ami », ni l’ « ennemi » ne furent désignés, Paris demandant simplement à nos soldats de jouer les « bons samaritains ». Pour cette intervention, nos forces n’ont donc pas eu d’objectif clair. Entre l’humanitaire et le désarmement des milices, quelle fut leur mission? On l’ignore toujours…

4/ Le déploiement de notre contingent se fit d’une manière totalement contraire à toute tactique militaire cohérente. Alors que l’objectif militaire prioritaire aurait en effet dû être le verrou de Birao dans l’extrême nord du pays[3] afin de couper la Séléka de sa base soudanaise, il fut au contraire décidé d’enliser les forces françaises à Bangui dans une mission d’interposition relevant de la gendarmerie mobile. L’intérieur de la Centrafrique fut donc laissé à la Séléka qui eut tout le loisir d’y poursuivre ses massacres. L’actuelle situation catastrophique est clairement la conséquence de ce choix militairement incompréhensible. Ce dernier s’explique probablement parce qu’il ne fallait pas « choquer » l’opinion musulmane en paraissant intervenir aux côtés des chrétiens…

5/ Dès le début de l’Opération Sangaris, au lieu de leur demander de détruire  les bandes de laSéléka, Paris ordonna donc à nos soldats de simplement séparer agresseurs et agressés, bourreaux et victimes. Alors qu’il fallait leur donner les moyens de sidérer l’adversaire et de saturer l’objectif, les chiches moyens alloués à nos troupes ne leur permirent que de lancer des patrouilles, non de quadriller et de tenir le terrain. Comment prétendre en effet rétablir la paix dans un pays plus vaste que la France avec seulement 1600 hommes dont plusieurs centaines affectés à la seule garde de l’aéroport ? L’impression d’impuissance fut accentuée par le fait qu’à Bangui, au lieu d’être désarmée, la Séléka voulut bien accepter d’être cantonnée…en conservant ses armes et en gardant ses gains territoriaux à travers le pays.

6/ Alors que la solution était d’abord militaire, le Quai d’Orsay ne cessa d’affirmer que la résolution de la crise se ferait par la reconstruction de l’Etat à travers le mirage électoral de 2016. Or, le président Faustin-Archange Touadéra a naturellement été incapable de reconstituer un « Etat » centrafricain, lequel n’a d’ailleurs jamais existé; sauf peut-être à l’époque de Bokassa.

Aujourd’hui, les massacres sont quotidiens et le pays est coupé en deux. Aucun administrateur sudiste n’ose en effet s’aventurer dans le nord où il s’y ferait massacrer, cependant que les fonctionnaires nordistes ne sont guère volontaires pour venir se faire lyncher à Bangui… Quant aux bandes de la Séléka et à leurs diverticules, elles tiennent plus de la moitié du pays.

Les malheureuses populations occupées sont ainsi revenues aux temps des raids à esclaves lancés depuis le Soudan et dont leurs grands-parents avaient été délivrés par la colonisation. Elles avaient naïvement cru que les troupes françaises étaient venues pour les libérer. Leur amertume est donc grande car l’Elysée n’avait en réalité décidé qu’une gesticulation humanitaire sous habillage militaire.

Bernard Lugan
30/10/2016

 

Source : polemia

290 réfugiés mineurs sont arrivés en Occitanie, en provenance de Calais

Publié par Guy Jovelin le 04 novembre 2016

Par Fabrice Valery Publié le

Suite au démantèlement de la "jungle" de Calais, 290 mineurs isolés ont été accueillis dans la nuit de mercredi à jeudi dans la région. Ils s'ajoutent au 300 adultes installés depuis la semaine dernière dans notre région. 

Un mineur isolé après l'évacuation de la lande de Calais © AFP

© AFP Un mineur isolé après l'évacuation de la lande de Calais

290 réfugiés mineurs sont arrivés en région Occitanie dans la nuit de mercredi à jeudi en provenance de Calais, suite au démantèlement de la "jungle", a-t-on appris auprès de la préfecture de région. Une semaine auparavant, ce sont 300 adultes qui avaient été accueillis dans la région, eux-aussi suite au démentèlement du bidonville de Calais. 

Les mineurs sont arrivés à bord de 7 bus et ont été installés dans des centres d’accueils et d’orientations pour mineurs isolés (CAOMI).
La répartition dans les départements de la région est la suivante : 
  • Ariège : 29 personnes
  • Aveyron : 25 personnes
  • Aude : 10 personnes
  • Gard : 32 personnes
  • Gers : 20 personnes
  • Lozère : 20 personnes
  • Pyrénées-Orientales : 67 personnes
  • Tarn et Garonne : 30 personnes
  • Haute-Garonne : 57 personnes
A LIRE AUSSI : 
Dans le département de la Haute-Garonne, les mineurs isolés sont accueillis à Villeneuve-Tolosane et à Bagnères de Luchon. Les adultes installés depuis la semaine dernière à Luchon sont transférés au Centre d'accueil et d'orientation de Toulouse-Palays (centre de formation de l’AFPA) géré par l’association France Horizon.
 

Ces journalistes qui continuent à mentir sur la Syrie

Publié par Guy Jovelin le 04 novembre 2016

Rédigé par Philippe Lesage le 30 octobre 2016.

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Les journalistes qui fondent un article sur une dépêche de l’OSDH (observatoire syrien des droits de l’homme) se font les relais coupables de la propagande occidentale. Comme par hasard, l’OSDH dénonce aujourd’hui un raid aérien russe, qui aurait fait 75 morts et 150 blessés en 7 jours ! Mais qu’en est-il des 250 000 morts provoqués par les initiatives irresponsables des États Unis d’Amérique au proche Orient, tristement accompagnées par le Royaume Uni et par la France trahie par ses élites ?

Pour ajouter à l’émotion le bombardement aurait eu lieu sur une école. Mais dès le début du conflit, il fut avéré que l’OSDH, formé d’un individu unique, ne fait que diffuser des fausses informations, bien planqué qu’il est dans son bureau londonien. Que sert-il à la presse française de jouer l’arme de l’opinion publique, alors qu’elle devrait simplement dire la vérité : cette guerre est une guerre pour le contrôle des pipelines, motivé par les investisseurs de la City ?

Au lieu de cela, on fait mine de s’apitoyer sur le sort des civils et des enfants, et les journalistes inconséquents se cachent derrière le petit doigt de l’OSDH, organisme vide de toute substance, mais suffisamment relayé pour produire de la désinformation. Que sert-il à l’OSDH de simuler une ONG, sinon servir les intérêts mercantiles des milieux d’affaire occidentaux qui ont entrainé notre classe politique dans ces errances meurtrières. Et tout ce qu’elle trouve comme excuses est : « c’est la faute aux Russes ». Pitoyable !

 

Source : 24heuresactu