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mercredi, 02 novembre 2016

Vie de château pour les clandestins de Calais

Publié par Guy Jovelin le 02 novembre 2016

Le démantèlement de la jungle de Calais égal dispersion des clandestins sur tout le territoire national, dans les petites villes de campagne ou sous les ponts parisiens.

Dans la Nièvre, c’est la ville de Challuy qui devra accueillir, début novembre, son quota de migrants mineurs. Qui auront une vie de châtelain, le château de Vernay, propriété de la SNCF, ayant été réquisitionné pour les recevoir. Cette vaste propriété possède quatre courts de tennis, des piscines, un parc privé et une forêt.

Selon le maire, les clandestins « devraient rester dans [la] propriété du comité d’entreprise de la SCNF pour une durée de 3 à 4 mois. Ils seront accueillis par des professionnels et des bénévoles 24h/24. »

Étant donné la belle vie de château que leur proposent le président Hollande et son ministre Vals, on peut parier qu’ils s’incrusteront à Vernay. En effet, pourquoi se priver de tels cadeaux offerts aux frais du contribuable français ?

Francesca de Villasmundo

 
 

mardi, 01 novembre 2016

Depuis une semaine, 131 migrants sont arrivés en Haute-Garonne

 Publié par Guy Jovelin le 01 novembre 2016

Après la première vague d’arrivée à Toulouse et Bagnères de Luchon, mercredi dernier, puis un autre bus jeudi, une quarantaine d’autres migrants sont arrivés de Calais ce samedi dans la ville rose. Ce qui porte à 131 le nombre de clandestins arrivés dans le département depuis moins d’une semaine.

Accueillis par les services de la Préfecture de Haute Garonne, ils seront logés aux frais des contribuables pendant plusieurs mois dans des locaux réservés pour l’occasion. Ces chiffres contrastent avec l’augmentation de sans-abris dans les rues de Toulouse. En France, plus de 320 SDF sont morts depuis le début de l’année.

 

Source : infos-toulouse

Philosophie des Lumières et instruction du peuple

Publié par Guy Jovelin le 01 novembre 2016

Essai Education

Philosophie des Lumières et instruction du peuple

♦ Selon la légende durablement entretenue, les philosophes des « Lumières » auraient défendu la cause du peuple et travaillé à son émancipation. Qu’en est-il ?

Chaussant nos bésicles, nous avons glané des pépites dans quelques citations de ces « illuminés ».


Voltaire

Ecrivant à son ami Etienne Damilaville, homme de lettres acquis aux idées philosophiques des « Lumières », Voltaire déclare : « Il est à propos que le peuple soit guidé et non pas qu’il soit instruit ; il n’est pas digne de l’être… ».

Rousseau

En 1762 est publié le traité de pédagogie Emile ou De l’éducation dans lequel Rousseau déclare sans ambiguïté : « qu’il [Emile] croit être le maître et que ce soit toujours vous qui le soyez. Il n’y a pas d’assujettissement si parfait que celui qui garde l’apparence de la liberté, on captive ainsi la volonté même […] le pauvre enfant qui ne sait rien, qui ne peut rien, qui ne connaît rien, n’est-il pas à votre merci ? » et, pour ce faire, l’éducation du jeune Emile comporte plusieurs périodes : de la naissance à 12 ans, rien ne lui est enseigné ; à 12-13 ans, Emile apprend un métier manuel et reçoit quelques notions de physique, cosmographie et géographie et rien d’autre ; 15 à 18 ans, la plus grande partie du temps est consacrée à l’éducation sexuelle et à l’apprentissage de la vie en société…

La Chalotais

En 1763, La Chalotais publie un Essai d’éducation nationale dans lequel il propose un programme d’enseignements scientifiques destinés à se substituer à ceux des Jésuites. Voltaire le félicite d’en exclure les enfants du peuple : « Je vous remercie de proscrire l’étude chez les

Plan D'Education Publique

laboureurs…. » et ledit La Chalotais justifie lui-même ses choix : « le bien de la société demande que les connaissances du peuple ne s’étendent pas plus loin que ses occupations ».

Gabriel François Coyer

Auteur d’un Plan d’éducation publique (1770), Gabriel François Cuyer note que sur 5160 élèves des collèges de Paris, 2460 sont des enfants du peuple ; il propose de les renvoyer à leurs parents !

Louis Philipon de La Madelaine

Dans ses Vues patriotiques sur l’éducation du peuple(1783), Louis Philipon de La Madelaine, auteur d’ouvrages de pédagogie, exprime le vœu « que l’usage de l’écriture soit interdit aux enfants du peuple ».

 

Plan D’Education Publique

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 En vérité, cette pléiade de beaux esprits « illuminés » a brillé de tous ses feux infernaux pour réduire en cendres l’instruction du peuple qui avait cours au XVIIIe siècle, témoignant sans équivoque du mépris le plus profond et le plus constant à l’égard du peuple.

Dans le prolongement et à la lueur de ces « illuminations », nous comprenons mieux le projet révolutionnaire de Le Pelletier de Saint-Fargeau, repris par Robespierre, où il n’est nullement question d’instruire les enfants du peuple mais de les occuper à des activités et de former des citoyens évidemment conformes à l’esprit révolutionnaire. Constante également exprimée dans la déclaration du conventionnel Marie-Joseph Chénier le 5 novembre 1793 : « L’instruction publique a d’abord pour but de former des républicains ».

Nous comprenons mieux également aujourd’hui la « refondation » de l’Ecole pour nos enfants – du primaire à l’université – caractérisée par la suppression des cours transmetteurs de savoirs auxquels sont substituées des activités et à qui est donné pour mission première de transmettre les « valeurs de la République ». Cette « refondation » est bien l’aboutissement de cette philosophie dite « des Lumières » et du projet révolutionnaire subséquent.

Rappelons également pour mémoire, que c’est Nicolas Adam, précepteur dans les familles aristocratiques, qui a inventé la méthode globale de lecture en 1787 – toujours en usage sous des appellations autres – déclarant : « Eloignez des enfants les alphabets et tous les livres français et latins ; amusez-les avec des mots entiers à leur portée ».

Ne pas instruire le peuple et l’enrégimenter, « casser » l’élite… Nous avons bien compris :

C’est pour l’émancipation du peuple et le rayonnement de la France !

Claude Meunier-Berthelot
27/10/2016

 

Source : polemia

Annecy sans migrants !

Publié par Guy Jovelin le 01 novembre 2016

par 31 octobre 2016

 

Un député réclame la démission du ministre franc-maçon Jean-Michel Baylet, accusé d’avoir agressé physiquement une femme abandonnée ensuite «entièrement dévêtue et pieds nus» en pleine nuit

Publié par Guy Jovelin le 01 novembre 2016

jean-michel-baylet

Le 11 octobre, au micro de l’Assemblée nationale, Isabelle Attard, député, accusait le franc-maçon Jean-Michel Baylet, Ministre de l’Aménagement du Territoire, de la Ruralité et des Collectivités, et ancien président du Parti radical de gauche, d’avoir agressé physiquement une de ses collaboratrices.

«Le 11 février 2002, alors que vous étiez sénateur du Tarn-et-Garonne, votre collaboratrice a porté plainte contre vous à la Gendarmerie de Toulouse. Selon ses déclarations, elle était à votre domicile lorsque vous l’avez «frappée au visage à plusieurs reprises». Vous avez enfermé votre collaboratrice chez vous et vous l’avez «contrainte, sous la menace de nouveaux coups, de rédiger une lettre de démission». Vous avez chassé votre collaboratrice de chez vous, en pleine nuit, «entièrement dévêtue et pieds nus».»

L’accusation est grave. Isabelle Attard ajoute que l’information a été publié dans la presse sans que Jean-Michel Baylet ne poursuive en diffamation les journalistes l’ayant accusé.

Isabelle Attard affirme également que l’affaire a été classée, car Baylet aurait payé sa victime pour qu’elle retire sa plainte.

Le 20 octobre, Isabelle Attard revenait à l’attaque en co-signant une pétition réclamant la démission du ministre. Des milliers de personnes ont déjà signé à leur tour cette pétition.

Jean-Michel Baylet, membre du GODF, est aussi le PDG du groupe de presse La Dépêche. Dans le cadre d’un dossier concernant sa gestion de La Dépêche du Midi, Jean-Michel Baylet a été condamné le 13 mars 2003 à six mois de prison avec sursis et 30.000 euros d’amende pour abus de biens sociaux, recel d’abus de biens sociaux, faux et usage de faux. Un parcours tout à fait normal pour devenir ministre…

 

 

Source : medias-presse.info