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dimanche, 22 janvier 2017

Nouvelle profanation d’une église à Toulouse

 Publié par Guy Jovelin le 22 janvier 2017

Vendredi 20 janvier, une femme s’est attaquée à l’église Sainte-Germaine, avenue de l’URSS. Après avoir cassé du mobilier religieux, elle a sorti un couteau tandis que l’un – des rares – paroissiens présent dans l’édifice tentait de l’empêcher de continuer ses profanations. Il faudra attendre l’intervention de la police pour maîtriser cette femme, internée d’office en hôpital psychiatrique.

Dans un contexte tendu, les églises n’en finissent pas d’être victime de dégradations. Les menaces terroristes n’ont jamais été aussi fortes sur les catholiques, mais rien de suffisant ne semble pourtant avoir été fait pour améliorer leur sécurité.

Un abbé confiait à ce propos sa perplexité sur la sécurité des églises. Au soir de la messe de noël ou lors de l’épiphanie, « aucune présence policière n’a été notée », obligeant les paroissiens à eux-mêmes organiser la sécurisation de l’édifice. Une source policière nous confiait d’ailleurs que les exactions envers les lieux de culte catholique dans la ville rose étaient de plus en plus fréquents, mais que peu d’entre eux font l’objet d’investigations ou même de plaintes de la part des concernés. À croire que même le diocèse n’y croit plus…

 

Source : infos-toulouse

samedi, 14 janvier 2017

Le 14 janvier 1794 : le Tribunal révolutionnaire de Toulouse est crée

Publié par Guy Jovelin le 14 janvier 2017

 

« Le tribunal révolutionnaire de Toulouse a fonctionné pendant 99 jours du 25 nivôse aux 3 floréal An II, soit du 14 janvier au 22 avril 1794. 179 causes ont été traitées. Cette justice exceptionnelle et expéditive était confiée à douze jurés, un accusateur public, trois magistrats et un président. Manœuvres ou propos contre-révolutionnaires, intelligences avec les ennemis de la patrie, outrages aux bons patriotes, tels étaient les griefs et les accusations. Les preuves paraissaient toujours suffisantes. Le jugement précédait de quelques heures l’exécution à mort. Le département de la Haute-Garonne compte 24 victimes de la Terreur.

Le 22 avril 1794, le tribunal révolutionnaire disparaît, mais les Jacobins de Toulouse envoient à toutes les Sociétés afiliées à une circulaire les engageant à tenir « d’une main le soc qui prépare la terre à produire des moissons fécondes et, de l’autre, le glaive destiné à frapper tout ennemi de la liberté. » Ce zèle emphatique ne sauve pas les tribunaux d’exception. »

 

Propos recueillis du livre : Axel Duboul, Le Tribunal révolutionnaire de Toulouse, Privat, 1894

 

Source : infos-toulouse

vendredi, 30 décembre 2016

Un attentat prévu à Toulouse pour le Nouvel An ?

Publié par Guy Jovelin le 30 décembre 2016

 

Etait-ce le traditionnel rassemblement place du Capitole à minuit pour célébrer le passage à la nouvelle année, ou bien un autre lieu proposant des festivités qui auraient été pensé pour commettre un attentat ? C’est en tout cas ce qu’aurait envisagé les trois islamistes présumés arrêtés dans la nuit de lundi à mardi 27 décembre dernier à Toulouse et Cugnaux.

Les trois hommes ont été placés en garde à vue dans le commissariat central de la ville, avant d’être transférés dans la journée de mardi au parquet anti-terroriste de Paris.

Les enquêteurs soupçonnent l’individu arrêté à Cugnaux, âgé d’une trentaine d’années de projeter un attentat sur le sol français le soir du réveillon de la Saint-Sylvestre, selon une source policière. L’AFP précise pour sa part, que l’homme avait déjà été visé par une perquisition administrative, il y a quelques mois.

Dans le quartier du Mirail, deux autres hommes ont été interpellés au même moment. Tous deux ont 42 ans et sont étrangers en situation irrégulières. Ils ont été retrouvé avec des armes factices et une carabine à leur domicile. L’un d’entre eux prévoyait de s’attaquer aux forces de l’ordre.

 

Source : infos-toulouse

vendredi, 16 décembre 2016

La justice ordonne la fermeture immédiate d'une école coranique de Toulouse

Publié par Guy Jovelin le 16 décembre 2016

Le directeur de l'école Al-Badr a été condamné à 6 mois de prison avec sursis et l'association à 5000 euros d'amendes. 

© France 3 Midi-Pyrénées Un cours à l'école Al-Badr

 
Le tribunal correctionnel de Toulouse a condamné ce jeudi 15 décembre Abdelfattah Rahhoui, directeur de l'école coranique Al-Badr, a 6 mois de prison avec sursis et interdiction de diriger un établissement scolaire. Le tribunal a également prononcé la fermeture immédiate de l'établissement et condamné l'association qui le gérait à 8000 euros d'amende

M. Rahhoui avait été jugé mi-novembre devant la justice, poursuivi pour le contenu de son enseignement, jugé non conforme par l'Inspection académique, ainsi que pour violences sur mineur. 

Ces poursuites faisaient suite à plusieurs rapports de l'inspection académique et une enquête de police. Réfutant ces accusations, Abdelfattah Rahhoui s'était défendu : "Ils nous reprochent qu'il n'y ait pas d'instruction, qu'il y ait beaucoup d'arabe et de Coran et qu'on entraîne les enfants au tir", avait estimé le directeur d'établissement
"On dit qu'on est en train d'entraîner les enfants au jihad" car "les élèves vont au Laser game (jeu au laser) comme ils vont en sorties scolaires à la piscine, à Walibi ou à la Cité de l'espace", avait-il déploré. "Quand c'est une école publique, il n'y pas de problème, mais quand c'est une école confessionnelle musulmane, on vous dit qu'on leur apprend à tirer".

EN VIDEO / le reportage de Karine Pellat et Jean-Yves Bascands
 
 
La justice a prononcé la fermeture de cette école coranique de Toulouse.

Source : france3-regions

jeudi, 15 décembre 2016

Une bombe retrouvée devant le parvis d'une église à Toulouse

L'église Saint-André, à Toulouse. Photo © Capture google maps
L'église Saint-André, à Toulouse. Photo © Capture google maps
 

Bombe. Les autorités ont ouvert une enquête après la découverte d’un engin explosif sur le parvis d’une église du quartier de la Roseraie à Toulouse.

L’information a été révélée par nos confrères de La Dépêche du Midi : les policiers de la SRPJ de Toulouse ont ouvert une enquête après la découverte d’une bombe artisanale sur le parvis de l’église Saint-André, dans le quartier de la Roseraie.

Toujours selon nos confrères, cette découverte remonte au 8 décembre dernier, et était présente sous forme “d’un carton contenant plusieurs bouteilles ainsi qu’un dispositif possiblement dangereux”.

L’enquête est toujours en cours.

 

Source : valeursactuelles