Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mercredi, 15 mars 2017

Toulouse : scène de guerrilla à La Reynerie, la police prise pour cible

Publié par Guy Jovelin le 15 mars 2017

Après avoir interpellé des membres d’un réseau de trafiquants de drogues à La Reynerie lundi après-midi a entraîné un soirée tendue pour une patrouille de police, prise à partie aux alentours de 23 heures. Projectiles de grosses tailles et des billes tirées ont sifflés autour des fonctionnaires. Malgré le véhicule endommagé, aucun blessé n’est à déplorer. 

En fin d’après-midi, les policiers de la BST du Mirail et la Brigade anticriminalité ont interceptés plusieurs acheteurs et un revendeur présumé de drogue, âgé de 17 ans. Mais quand la loi Française s’applique ici, au cheminement Auriacombe dans le quartier de La Reynerie, il faut s’attendre à des représailles.

C’est en effet ce qui s’est produit plus tard dans la soirée quand une patrouille de police a été attaquée par un groupe de jeunes habitants du quartier. Un caillassage à l’aide de projectiles « de grosses tailles » selon les policiers a été mené, avant que des billes sifflent autour des oreilles des fonctionnaires. « Elles ont sans doute été tirées par arme ou à la fronde » se questionne les agents. Seul des renforts ont pu ramener le calme dans la cité, trois suspects ont été interpellés, un homme de 22 ans et deux mineurs, ils ont été placés en garde à vue.

Il n’y a pas eu de blessé, seul le véhicule a été endommagé, l’enquête a été confiée à la brigade criminelle et des atteintes aux personnes.

 

Source : infos-toulouse

lundi, 06 mars 2017

Toulouse : un père de famille tabassé en protégeant son fils

Publié par Guy Jovelin le 06 mars 2017

Le visage de la victime qui a déposé plainte, quelques heures après l'agression./Photo DDM
Le visage de la victime qui a déposé plainte, quelques heures après l'agression./Photo DDM

En portant secours à son fils de 18 ans qui venait de se faire agresser rue Bayard, à Toulouse, le 18 février vers 3 h 15 du matin, un père de famille de 53 ans, a lui aussi été roué de coups par un groupe de plusieurs individus. “J’ai été réveillé en pleine nuit par mon fils, je suis descendu dans la rue pour demander des comptes à ses agresseurs qui m’ont pris à partie, raconte Frédéric. J’ai été frappé à coups de poing et coups de pied, en pleine rue. Je croyais vivre un vrai cauchemar!”. Résultat : visage tuméfié, hématome nasal, ecchymose frontale, douleurs lombaires et aux cervicales. Il s’en sort avec moins de 8 jours d’ITT.

Une agression purement gratuite, selon lui, qui s’est terminée avec l’arrivée des policiers. “Ils ont séparé tout le monde, poursuit le père de famille. Mais leur intervention ne m’a pas vraiment rassuré. Ils ont écarté un témoin de la bagarre qui avait vu mon fils se faire tabasser, sans interpeller nos agresseurs”. Frédéric a déposé une plainte en ligne sur le site de la police des polices pour signaler son mécontentement. “Je sais qu’ils font un métier difficile et je ne les incrimine pas. Mais ce soir-là, mon fils et moi avons été tabassés, sans raison, par des individus alors que les policiers auraient pu les interpeller. Je ressens un sentiment d’injustice car nous n’avons pas eu le sentiment d’avoir été entendus”.

Au commissariat central, on indique que “les identités des protagonistes ont été relevées” et que les personnes s’estimant victimes de violence lors de cette soirée “peuvent déposer plainte”. Une enquête est logiquement ouverte. Selon le commissariat, le père de famille a refusé de livrer son identité, la nuit des faits, précisant aux policiers qu’il était le père de la victime.

Une plainte a été déposée contre X pour "violences en réunion", “car ces faits ne doivent pas rester impunis”, précise-t-il. Ce père de famille a également écrit au procureur de la République.

 

samedi, 04 mars 2017

Mariages extra-Européens : incivilités et sauvageries au coeur de la ville

Publié par Guy Jovelin le 04 mars 2017

Beaucoup de badauds qui ont l’occasion de fréquenter le centre-ville le samedi connaissent ce phénomène mais peut n’osent affronter le problème, pourtant les mariages sont au coeur de nombreuses attentions. Pour preuve, Jean-Luc Moudenc, maire de Toulouse, veut faire adopter une charte de bonne conduite lors des mariages dans la ville rose. Mais que se passe t-il à Toulouse ?

A mesure que la France s’enfonce dans une immigration forcenée et un renoncement général à l’esprit de civilisation, la descendance immigrée s’installe dans la non-France. Nous connaissions déjà le « bruit et l’odeur », nous survivons à leurs violences, maintenant nous devons supporter leurs festivités dont la nature même est l’anti-civilisation.

A Marseille, la police des quartiers Nord connaît depuis de nombreuses années le phénomène des rodéos urbains auxquels se prêtent avec délectation des cortèges de mariage. La scène est à chaque fois répétée : de nombreux véhicules, certains de luxe, payés à grand coup d’allocations, accompagnent les mariés. L’anarchie s’installe alors : code de la route violé et haine de la France éructée. Les drapeaux étrangers fleurissent ces rutilants véhicules.

En Mairie, notamment à Toulouse, la situation est encore plus effroyable. Les invités insultent les agents et élus locaux, dégradent les lieux, ne respectent ni les horaires et ou même le minimum de convenances sociales. Certains mariages s’organisent avec des témoins ne parlant pas le Français, d’autres selon des traditions bien étrangères à nos standards.

Une élue de Toulouse, confrontée à cette situation se confie sous couvert d’anonymat : « Les mariages de maghrébins ou subsahariens sont les pires. Les gens sont d’une impolitesse totale, nous méprisent et nous regardent avec haine. Ils ne respectent rien et préfèrent brandir leurs drapeaux à grands cris de Youyou (cris traditionnels que poussent les femmes d’Afrique du Nord). Maintenant, lorsque je vois ce genre de mariés arriver, j’ai peur. ».

Mais qui sont les responsables ?  Même nos sociologues à l’esprit atrophié ne pourront pas le contester ; en vérité, il s’agit souvent des mêmes !

La défaite de la France puis de l’Europe passera par des ventres féconds. Les mariages ainsi célébrés nous rappellent qu’à l’heure de l’affaire Fillon, se joue dans nos municipalités un péril majeur. Le retour à l’état sauvage de nos mairies démontre avec force que la République s’effondre sous le poids de la non-France. Les populations immigrées et leurs héritiers font vivre à la France son lot quotidien d’incivilité et de violence. À ceux qui cherchent la montée de l’insécurité en France, ne cherchez plus ! En réalité quelques mariages suffisent à nous rappeler que nous devenons étrangers dans notre propre pays ; étrangers à la civilisation ; étrangers à notre regrettée patrie, la France.

Louis Potens

 

Source : infos-toulouse

vendredi, 03 mars 2017

Première Manif Police depuis l’Affaire Théo à Toulouse

Publié par Guy Jovelin le 03 mars 2017

Ils étaient plusieurs dizaines rassemblés sur l’esplanade du commissariat central de Toulouse, au bord du Canal du Midi. Sans banderole, ni discours officiel par respect du droit de réserve, « des membres de la hiérarchie surveillent aux fenêtres les policiers qui s’expriment devant les médias« , nous confie un participant. 

Seul membre du CLIP 31 a pouvoir prendre la parole, Michel, retraité de la police depuis dix ans annonce aux participant que contrairement aux autres manifestations, il n’y aura ni slogans lancés, ni banderole, ni discours particulier. Interrogé par Infos-Toulouse, Michel nous explique les revendications du mouvement : « nous sommes ici pour défendre la légitime défense des policiers, pour que soit reconnue et respectée la présomption d’innocence et pour montrer que le mouvement de policiers en colère existe encore en Haute-Garonne, vous voyez beaucoup de manifestations qui demandent à travailler plus et mieux ?« .

Deux mois jour pour jour après le début de l’affaire Théo, pour Michel « le traitement médiatique a été inadmissible, c’est un lynchage où la légitime défense n’a jamais été respectée« . Sur l’enquête en cours, « l’IGPN, qui n’a jamais fait de cadeau aux fonctionnaires, rend des conclusions disant qu’à la vue du dossier, on ne peut pas parler de violence illégitime, d’arrestation non-justifiée ni de viols. » Les policiers appellent à la réserve sur cette affaire et espèrent que l’enquête se déroule dans les meilleures conditions. A Toulouse, les policiers ont mal vécu les manifestations anti-police noyautées par l’ultragauche. « C’est des insultes et des appels au meurtre« , confirme Michel.

Apparu spontanément à l’aube de l’automne, le mouvement des policiers en colère s’est depuis structuré. Mais attention, il ne faut pas y voir une substitution aux syndicats des policiers. « Nous sommes apolitiques et asyndicaux, nous avons 15% de nos adhérents issus de la société civile qui soutient les policiers« . L’assemblée générale qui s’est déroulée la semaine dernière a élu un bureau qui sera confirmé dans les prochaines semaines.

A l’approche des élections présidentielles, le CLIP contactera l’ensemble des candidats pour leur soumettre ses revendications qui seront réunies dans un livre blanc d’une cinquantaine de pages. Ce livre sera rendu public prochainement.

 

Source : infos-toulouse

jeudi, 02 mars 2017

À Toulouse, les policiers testent des caméras-piétons pour filmer les contrôles d'identités

Publié par Guy Jovelin le 02 mars 2017

Les policiers de Toulouse testent, dès le 1er mars et pour un an, l'enregistrement vidéo lors des contrôles d'identité dans deux quartiers. Le dispositif fera l'objet d'un rapport.

CamérasPiétonsControleIdentitéToulouse
Deux Zones de sécurité prioritaire (ZSP) de Toulouse ont été désignées pour tester les caméras-piétons, lors des contrôles d'identité. (photo d'illustration © Fotolia)

Deux quartiers de Toulouse, classés Zones de sécurité prioritaire (ZSP), testeront le dispositif en avant-première. Mercredi 1er mars 2017, le ministère de l’Intérieur a annoncé le début de l’expérimentation de l’enregistrement vidéo, qui pourrait devenir obligatoire lors des contrôles d’identité. Désormais, les policiers seront équipés de caméras afin de filmer les contrôles d’identités auxquels ils procèderont.

Ce dernier sera testé pendant un an, puis suivi d’un retour sous trois mois. Les résultats de ce retour donneront le feu vert – ou non – pour généraliser le système au pays entier. Actuellement, le dispositif fait l’objet d’un décret, en cours d’examen par le Conseil d’État.

Les Izards et le Mirail concernés

Dans la Ville rose, deux Zones de sécurité prioritaire (ZSP) testeront le système dès mercredi matin : les Izards et la zone mixte du Mirail. Les policiers seront dotés de caméras, qui filmeront les contrôles d’identité, comme le prévoyait la loi Égalité et citoyenneté. «

En tout, 23 sites ont été retenus pour tester de dispositif. En plus des deux zones de Haute-Garonne, on en retrouve à Paris (intra-muros, en petite et grande couronnes) et dans les Alpes-Maritimes.

Actuellement, la Direction départementale de la sécurité publique (DDSP) de Haute-Garonne dispose de 43 caméras », confirme la préfecture. Et ce déploiement s’est fait en deux séquences, explique-t-elle :

Une première expérimentation en mars 2013, avec la dotation de 156 caméras pour les 47 zones concernées, dont celle du Grand Mirail. Et une seconde à l’automne 2016, pour arriver à 43 caméras sur la circonscription de Toulouse.

Au niveau national, les agents de police et de gendarmerie sont équipés de 2 600 caméras-piétons, précise Bruno Le Roux, le ministre de l’Intérieur, qui ajoute que ce chiffre pourrait être « doublé ». L’ensemble des agents de ces 23 zones devraient donc être, dans les prochains mois, équipés de ce nouveau système.

Un dispositif pour apaiser « la relation lors d’un contrôle » ?

En parallèle, le climat est toujours tendu entre les forces de l’ordre et certains citoyens, notamment depuis l’affaire Théo d’Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), survenu début février. De son côté, le ministère de l’Intérieur soutient que ce dispositif pourrait apaiser « la relation lors d’un contrôle ».