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samedi, 25 novembre 2017

Castelsarrasin (82) : après l’agression d’une factrice, La Poste suspend la distribution du courrier dans un immeuble d’un « quartier sensible »

Publié par Guy Jovelin le 25 novembre 2017

 
 

«De mémoire, à l’exception d’une rue ou deux dans les quartiers les plus sensibles de Toulouse, il est rare de suspendre la distribution du courrier», assure Olivier Marçais, porte-parole de La Poste Midi-Pyrénées.

C’est pourtant ce que vient de décider la directrice de La Poste de Castelsarrasin après un vol et l’agression, en moins d’une semaine, coup sur coup, de deux factrices assurant la tournée rue Léon-Blum.

Même si cette voie située au cœur du quartier de Cassenel, n’a pas toujours eu bonne réputation avec son lot d’incivilités, de poubelles et voitures brûlées, voire de cambriolages, on est loin du climat social des cités de la Reynerie ou de Bagatelle, à Toulouse.

Lire la suite : La Dépeche via fdesouche

CAMPAGNE D'HIVER DU PARTI DE LA FRANCE

Publié par Guy Jovelin le 25 novembre 2017


Campagne d'hiver du Parti de la France
 
Devant la multiplication des attentats et des agressions à l'égard des Français, la France et son peuple sont en état de légitime défense. 
Le Parti de la France s'inscrit dans une démarche de résistance nationale et appelle les nationaux et patriotes à le rejoindre. Cette volonté de résistance nationale se concrétise, dès à présent, par le lancement de notre campagne politique d'hiver sur le thème "Touche pas à mon peuple !".  

Affiches et autocollants disponibles très bientôt

Du sursis pour la personne ayant vandalisé l’église de Rennes-le-Château (11)

Publié par Guy Jovelin le 25 novembre 2017

     

Elle avait décapité à coups de hache le bénitier de l’église de Rennes-le-Château, le dimanche du premier tour des élections présidentielles. Après avoir déposé un exemplaire du Coran dans l’édifice, elle avait été interpellée par la gendarmerie dans la foulée. Son jugement a été rendu ce vendredi matin par le tribunal correctionnel de Carcassonne. 

Deux mois de prison avec sursis, mise à l’épreuve de 24 mois et réparation financière pour la commune. C’est le jugement rendu par le tribunal correctionnel de Carcassonne à l’encontre de la femme, âgée de 37 ans, qui s’était introduite dans l’église Sainte-Madeleine de Rennes-le-Château, le 23 avril dernier. Masquée, voilée, elle avait attaqué le célèbre bénitier, représentant le diable, de l’édifice religieux à coups de hache, avant de déposer un exemplaire du Coran à ses côtés.

Un profil radicalisé ?

Alertés par les visiteurs, les gendarmes ont interpellé l’individu, qui avait répondu au maire : « Aujourd’hui, ici, c’est un jour d’élection présidentielle, pendant qu’en Syrie, l’Occident bombarde et tue des enfants. Vous êtes des mécréants ! Mon marie est là-bas ». Le mari en question, serait le demi-frère de Mohammed Mérah, le terroriste de Toulouse ayant sévi en 2012. Pour justifier son acte, la vandale explique avoir commis « un acte prémédité et réfléchi dans un but symbolique », profitant de cette occasion pour« faire de la pub sur un livre qu’elle écrit depuis vingt cinq ans« . Un ouvrage qu’elle présente comme « un travail de corrélation théologique entre les trois livres saints ». 

Jugé le 27 octobre dernier à Carcassonne, la prévenue avait déclaré « rejeter la nationalité française pour demander la nationalité palestinienne ».  Le substitut du procureur avait alors requit six mois de prison avec sursis, assortie d’une obligation de soin. Le rapport psychiatrique, réalisé lors de son placement à Limoux, avait détecté une personnalité de « type paranoïaque ».

La commune de Rennes-le-Château dédommagé ?

Durant son procès, elle avait conclu en affirmant qu’elle « ne paierai même pas un euro symbolique » pour réparer les dégâts qu’elle a causée. Pourtant, le juge a bien condamné la prévenue à rembourser 17 718 euros, correspondant aux travaux de réparation qui ont dû être entrepris. La jeune femme, originaire de Lavelanet n’aura également plus le droit d’apparaître dans la commune de Rennes-le-Château et aura une mise à l’épreuve de 24 mois, avec obligation de soins.

 

Source : infos-toulouse

Budget : La France, mauvais élève choyé de l’UE

Publié par Guy Jovelin le 25 novembre 2017

Rédigé par notre équipe le 25 novembre 2017.


 
Cela fait partie des informations que les journalistes n’aiment pas vraiment traiter en profondeur. La Commission européenne vient une nouvelle fois de pointer le budget prévisionnel de la France. Malgré les sourires carnassiers, les discours sur le changement (c’est maintenant ?) et les bienfaits d’une gestion saine des finances publiques, Macron n’a pas réussi à ensorceler les bureaucrates européens. Pas grave ! Il ne s’agit que d’un budget prévisionnel et la France est encore assez grande au sein de l’UE pour se permettre toutes les largesses sans devoir redouter un coup de bâton.

Encore un budget français épinglé par Bruxelles ! Pour ne pas déroger aux habitudes, La France ne ressort pas indemne de l’examen de son budget prévisionnel. Pourtant il avait été préparé avec grand soin par Macron et son gouvernement ! Comment le conseiller économique de François Hollande puis ministre de l’Economie s’est-il pris les pieds dans le tapis européen ? Lui qui n’a que des succès à son actif depuis 5 ans : chômage, croissance, etc, il n’a pas réussi l’exercice simple du budget. C’est pourtant facile : on compte les recettes à venir et les dépenses et on fait en sorte que les deux chiffres correspondent. Un travail bien pénible pour des matheux du dimanche, car Macron a beau avoir été banquier, il est paumé dès qu’on lui présente le moindre bilan.

Toujours plus de dette et de soumission aux banquiers

Sa méconnaissance s’expose une fois de plus et le plus savoureux est de voir que ce sont ses amis bruxellois qui lui tirent l’oreille. La France présente de graves risques de non conformité. Autrement dit, le budget annoncé a toutes les chances de voler en éclats contre le mur de la réalité. C’est bête surtout qu’un effort avait été fait pour plaire à ces pénibles bureaucrates. Le déficit prévu est de 2,9 % soit dans la fourchette autorisée des 3 %. Mais une gestion saine implique de faire baisser la dette et non pas de l’augmenter un peu moins rapidement que son prédécesseur… En effet, rien n’y fait : avec un déficit de 2,9 % la dette française qui équivaut à 96,9 % du PIB ne vas pas tendre vers les 60 % requis par les traités européens.

L’Union européenne est belle, il faut la respecter clame-t-on partout dans les ministères et leurs dépendances médiatiques. Très bien, mais dans ce cas, cessons de dépenser trop. Cela commence par dépenser mieux et de stopper le virus de l’impôt. Un challenge insurmontable pour l’équipe de pieds nickelés au pouvoir. Ces socialistes dans l’âme n’ont toujours pas compris que le « trop d’impôt tue l’impôt » n’était pas qu’une formule. Macron a cassé la croissance depuis qu’il a été extrait de la banque et ce n’est pas la suppression de la taxe d’habitation qui met les communes à genoux et qui sera remplacée par un autre impôt par l’Etat qui changera la donne.

La France n’est pas le seul pays à voir son budget passer sous les fourches caudines de la Commission européenne. Paris a pour voisin, Lisbonne, Rome, Bruxelles, Vienne et Ljubljana. Mauvais élève, mais pas seul ! On se réconforte comme on peut et tant pis si l’on présente un budget qui n’aura rien à voir avec la réalité. La Commission ne fait que les gros yeux sans aucune sanction derrière. La Grèce a bien été le champion européen de la falsification des comptes publics et il est toujours membre de l’UE et au sein de l’Eurogroupe. Dommage pour les Grecs qui souffrent terriblement de cette double appartenance…

Est-il si nécessaire de respecter l’ensemble des critères européens ? La réponse est bien évidemment négative. Dans un moment d’honnêteté, il a été dit que la règle des 3 % de déficit et de 60 % de dette n’était fondée sur rien. Pourtant, à Bruxelles on fait encore semblant d’y croire et on réprimande oralement les contrevenants. Dans un monde sain, la France n’aurait pas à se plier aux règles stupides. Dans un monde également sain, les élites françaises ne joueraient pas à creuser la dette pour se placer toujours plus à la merci des financiers et banquiers sans scrupule. Mais quand l’un d’eux est à la tête de l’Etat, que peut-on vraiment espérer ?

 

Source : 24heuresactu

Assistants d'eurodéputés FN : la requête de Louis Aliot déclarée irrecevable

Publié pâr Guy Jovelin le 25 novembre 2017

Les enquêteurs souhaitaient notamment l'interroger sur l'emploi de juillet 2014 à février 2015 de son assistant parlementaire Laurent Salles, lui-même mis en examen pour recel d'abus de confiance.
Les enquêteurs souhaitaient notamment l'interroger sur l'emploi de juillet 2014 à février 2015 de son assistant parlementaire Laurent Salles, lui-même mis en examen pour recel d'abus de confiance.
ARCHIVE / NASSIRA BELMEKKI

La cour d'appel de Paris a déclaré irrecevable la requête du vice-président du FN et député des Pyrénées-Orientales Louis Aliot qui mettait en cause la réalité de l'indépendance des juges d'instruction à l'occasion de l'enquête sur des soupçons d'emplois fictifs d'assistants d'eurodéputés FN.

Le vice-président du FN, par le biais de son avocat, avait soulevé une question prioritaire de constitutionnalité (QPC) le jour de sa convocation, le 26 septembre, chez le juge d'instruction en vue d'une éventuelle mise en examen. Cette démarche provoquant de fait le report de son audition, Louis Aliot était ressorti du pôle financier de Paris sans avoir été interrogé ni mis en examen. Il revenait à la chambre de l'instruction de la cour d'appel de décider de la transmission ou non de cette QPC à la Cour de Cassation, en vue d'une éventuelle saisine du Conseil constitutionnel. Mais dès cette première étape, la cour d'appel a jugé jeudi cette QPC irrecevable, avant même examen sur le fond, a expliqué la source proche du dossier.

Il avait refusé de se rendre à la convocation de la police anticorruption en juin

Cette QPC portait sur l'article 80 du code de procédure pénale qui oblige le juge d'instruction à enquêter "en vertu d'un réquisitoire du procureur de la République". "Cette disposition législative prive le magistrat instructeur de toute liberté (...) ce qui empiète sur son indépendance" et "est contraire à l'esprit de notre Constitution", avait expliqué à l'AFP en septembre Marcel Ceccaldi, l'avocat de Louis Aliot. Le député des Pyrénées-Orientales et compagnon de Marine Le Pen avait refusé de se rendre fin juin à une convocation de la police anticorruption. Les enquêteurs souhaitaient notamment l'interroger sur l'emploi de juillet 2014 à février 2015 de son assistant parlementaire Laurent Salles, lui-même mis en examen pour recel d'abus de confiance.

A LIRE AUSSI - L'assistant parlementaire de Louis Aliot payé 31 000 € pour... un sms

Dix-sept eurodéputés ou ex-eurodéputés FN, dont Marine Le Pen et son père Jean-Marie Le Pen, sont visés par l'enquête, ouverte en 2015, qui porte sur au moins une quarantaine d'assistants. A ce stade, six personnes sont poursuivies, dont la présidente du parti frontiste, mise en examen fin juin pour abus de confiance et complicité d'abus de confiance. L'enquête porte sur un possible système organisé par le parti d'extrême droite pour rémunérer des permanents avec des fonds publics de l'Union européenne, via ces contrats d'assistants parlementaires. Le préjudice pour l'institution européenne s'élèverait, d'après ses calculs, à près de cinq millions d'euros de 2012 à 2017.

 

Source : midilibre