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vendredi, 03 octobre 2014

L’OTAN choisit pour nouveau secrétaire général un ancien activiste marxiste-léniniste

Publié par Guy Jovelin

Jens Stoltenberg (crédit photo : Kjetil Ree)

Jens Stoltenberg (crédit photo : Kjetil Ree)

Le Danois Anders Fogh Rasmussen a laissé sa place de secrétaire général de l’Organisation du traité de l’Atlantique nord (OTAN) au Norvègien Jens Stoltenberg. Si Anders Fogh Rasmussen était considéré comme l’homme des Américains, il est difficile de savoir quel genre de secrétaire général sera Jens Stoltenberg.

Âgé de 55 ans, il a été au pouvoir durant neuf des quatorze dernières années en Norvège, comme premier ministre de 2000 à 2001 puis de 2005 à 2013, après une carrière parlementaire et ministérielle (secrétaire d’État à l’Environnement, ministre de l’Industrie, ministre des Finances) depuis les années 1990. Fervent partisan de l’Union européenne (UE), il n’a pas réussi à y faire adhérer la Norvège. Malgré les pressions – c’est lui qui dirigeait le pays quand sont survenues les attaques – il avait refusé de démissionner après l’action d’Anders Behring Breivik.

Actuellement membre du Parti travailliste (AP, Arbeiderpartiet), il avait réuni autour de lui une large coalition allant de l’extrême gauche au centre. Issu d’une famille d’importants politiciens – son père et sa mère ont exercé tous deux des responsabilités ministérielles – il est lui-même issu de l’extrême gauche la plus sectaire.

Avec sa sœur aînée Camilla – leur sœur cadette Nini, libertaire, héroïnomane et militante pour la légalisation des drogues, est décédée cette année –, il adhéra au groupe marxiste-léniniste de la Jeunesse rouge (RU, Rød Ungdom), un groupe qui organisa notamment des attaques contre l’ambassade américaine, auxquelles participèrent les Stoltenberg, durant la Guerre du Vietnam. Chef de la Ligue des jeunes travaillistes (AUF, Arbeidaranes Ungdomsfylking) de 1985 à 1989, il fit carrière au journal de gaucheArbeiderbladet (devenu Dagsavisen) avant d’intégrer les services étatiques de la statistique puis d’être élu.

Ce passé d’extrémiste de gauche n’est pas si lointain pour Jens Stoltenberg, puisque la Jeunesse rouge fut intégrée à la coalition gouvernementale qu’il dirigea à partir de 2005, partageant avec le groupuscule marxiste les mêmes vues concernant l’antiracisme, le féminisme, l’Union européenne ou l’immigration.

Une manifestation récente de la Jeunesse rouge.

Jusqu’à la chute du communisme-régime, en 1990, ce jeune cadre du Parti travailliste appelé à un grand avenir fut en contact étroit avec un diplomate soviétique qui était en réalité un agent du Comité pour la sécurité de l’État (KGB, Komitet gossoudarstvennoï bezopasnosti). Il avait reçu de la part du KGB le surnom de Steklov. Il mit fin, au moins officiellement, à ses relations avec le KGB quand celles-ci furent découvertes et que l’Agence de sécurité de la police (PST, Politiets Sikkerhetstjeneste) norvégienne lui « apprit » que son ami était un agent du KGB, lui conseillant de rompre tout contact avec lui.

En tant que premier ministre, il mena des négociations à propos d’un conflit territorial avec la Russie, cédant la moitié d’une zone maritime à son voisin de l’est, avec lequel il entreprit de nouer de bonnes relations diplomatiques, tout en augmentant le budget de la Défense et renforçant le rôle de la Norvège au sein de l’OTAN. Il avait fortement dénoncé l’invasion de la Crimée par la Russie, dénonçant alors ce pays comme une menace pour la sécurité en Europe. Une idée qu’il a reprise après sa nomination au secrétariat général de l’OTAN. Selon lui, l’invasion de l’Ukraine par la Russie « a rappelé de façon brutale la nécessité de l’OTAN ».

Il a gardé de sa jeunesse à l’extrême gauche un fort penchant propalestinien : il a soutenu la « flottille de Gaza » et n’a jamais caché son hostilité aux politiques criminelles d’Israël.

Source : http://jeune-nation.com/2014/10/9901-lotan-choisit-pour-n...

jeudi, 02 octobre 2014

Le fraudeur Thomas Thévenoud devient membre de la commission du… développement durable !

 

Publié par Guy Jovelin

Plus d’un mois après les révélations sur ses multiples délits – refus d’acquitter l’impôt, de payer la kinésithérapeute de ses enfants, l’eau pour sa permanence électorale, son électricité, etc. – Thomas Thévenoud est toujours député de l’Assemblée antinationale, tout comme Jean-François Copé et Patrick Balkany, comme Serge Bloch – dit Dassault – est sénateur et Jérôme Lavrilleux est député européen.

Plus incroyable encore : au prétexte de l’automaticité de la procédure, il vient d’intégrer la commission du… développement durable de l’Assemblée. S’il s’agissait du développement durable de la corruption au sein de la République, il aurait trouvé une place parfaite.

Autre exemplarité de la République : Thomas Thévenoud n’a pas mis les pieds à l’Assemblée désormais un mois, ce qui ne lui vaut pas plus de problèmes que ses escroqueries.

Source

DES EXTRAITS DE L’OUVRAGE « À NE PAS MONTRER AUX PARENTS »

Publié par Guy Jovelin

 

Rédigé le Mercredi 1 Octobre 2014 à 18:39 commentaire(s)

« Il est impératif que la phase de découverte ait lieu en classe et que les albums ne soient pas empruntés pour être emmenés (sic) à la maison. Les réactions très négatives de certains adultes à l’égard du livre pourraient compromettre son exploitation. »


Des extraits de l’ouvrage « à ne pas montrer aux parents »
Il s’agit là d’une recommandation de l’académie de Nantes, récemment dénichée par le Salon Beige, à propos d’un livre pour enfant, Que font les petits garçonsL’académie s’était alors empressée de faire disparaître le document. Dans un récent article, le blog relève que le livre est toujours conseillé sur les sites d’autres académies, par exemple à Rouen, àBesançon, ou encore à Toulouse. Un commentaire deFdeSouche  indique que le livre figure aussi sur le site d’écoles primaires. Dans un récent article sur le livre en question, le blog Fawkes News  relève : 
« À noter que ce bouquin date de 2000 donc tout ça est dans l’air du temps depuis un bon moment déjà. L’ABCD de l’égalité (aujourd’hui plan pour l’égalité filles-garçons) n’est que la partie visible de l’iceberg. 
D’ailleurs, le fait que l’académie de Nantes recommande de ne pas le prêter pour ne pas inquiéter les parents est certes problématique mais ce n’est pas l’unique souci. Ce livre est officiellement conseillé dans le centre régional de documentation pédagogiquede l’éducation nationale. 
(…) On retrouve également ce lien sur le site de l’ABCD section littérature et jeunesse, donc c’est une ressource plébiscitée qui peut être utilisée sans problème en classe partout en France. 
Il serait temps que l’on s’intéresse à ce que l’on enseigne à nos enfants… »
Le blog précédemment cité a pu consulter un exemplaire de l’ouvrage en question et a publié divers extraits du livre. En voici quelques uns particulièrement éloquents, pour en savoir plus, lisez l’article : 
20140917_17320820140917_17273520140917_172649 
Le blog conclut :http://www.ndf.fr/nos-breves/18-09-2014/des-extraits-de-l... 

CARL LANG : « PARFOIS, MARINE LE PEN EST PLUS À GAUCHE QUE LA GAUCHE ! »

Publié par Guy Jovelin

Rédigé le Mercredi 1 Octobre 2014 à 13:39 commentaire(s)

Interview paru dans la GazetteInfo.fr


Carl Lang : « Parfois, Marine Le Pen est plus à gauche que la gauche ! »
Ancien cadre du Front National, dont il fût le secrétaire national, Carl Lang, aujourd’hui président du Parti de la France, se montre très critique sur la ligne défendue par Marine Le Pen.  
  
La Gazette : Comment jugez-vous le Front National d’aujourd’hui ? 
  
Carl Lang, président du Parti de la France : A mon avis, il va à l’encontre de ce que nous avons fait pendant des années, quand Jean-Marie Le Pen en était le président. Il avait une grande qualité, en disant ouvertement les vérités qui dérangeaient. Et les français ont le droit d’entendre des vérités. L’approche de Marine Le Pen est démagogique, comme son discours le prouve. Elle dit à l’électeur ce qu’il veut entendre, même si ce n’est pas conforme aux réalités et aux nécessités du moment. 
  
  
A quoi faites-vous précisément allusion ? 
  
Aux trente-cinq heures, par exemple. Jean-Marie Le Pen, lorsque cette loi a été votée, avait exprimé ses réserves. Aujourd’hui, Marine Le Pen tient parfois un discours encore plus à gauche que celui de la gauche ! C’est assez paradoxal. Autre exemple assez significatif, la retraite à soixante ans. Sur ce point, il y a encore une grosse différence : cette posture n’est pas viable, et pourtant, elle ne cesse de la défendre. Même François Hollande est revenu sur le principe de la retraite à soixante ans. Le discours de Marine Le Pen est national-démagogique. 
  
  
« Se couper de l’Europe serait une catastrophe »
  
  
Que pensez-vous de la position de Marine Le Pen sur l’Europe ? 
  
Elle n’est là aussi pas crédible. L’argument consistant à faire de l’Euro, de la mondialisation par exemple la cause de tous nos problèmes est un peu facile. Pour moi, sortir de la zone Euro serait loin de régler tous nos problèmes. Ce serait même une grave erreur. Et tourner le dos à la globalisation également. Il faut réguler la marché mondial, réguler les échanges internationaux, et sur ce point, je pense que beaucoup de gens sont d’accord. 
  
  
Vous n’êtes donc pas contre l’Europe ? 
  
Absolument pas. La droite nationale moderne à laquelle appartient le Parti de la France n’est absolument pas anti-européenne. Nous avons besoin d’une Europe des nations, mais une Europe qui respecte les souverainetés, ce qui n’est pas le cas avec le système actuel. Se couper de l’Europe serait même dramatique. La France ne peut pas se le permettre. Elle se retrouverait isolée, et cela ne ferait qu’aggraver sa situation. Tenir de telles positions n’est pas crédible. 
  
  
Médiatiquement, est-il difficile pour un parti comme le votre d’exister ? 
  
Avec la presse écrite, non. Mais c’est beaucoup plus difficile avec les radios et les télés. Il faut reconnaître que Marine Le Pen monopolise l’attention de beaucoup de médias. On a concédé à la présidente du Front National une grande partie du discours politique français. Mais c’est ainsi, pour beaucoup de petits partis. Nous savons comment cela fonctionne. Comme nous ne bénéficions pas de financement public, nous comptons essentiellement sur les adhésions et les dons… 
http://www.gazetteinfo.fr/2014/09/05/linvite-national-car... 

mercredi, 01 octobre 2014

« Nicolas Sarkozy, un scénario prévu ! »

Franck.jpegNous avons assisté à une belle démonstration de communication en politique.

M. Nicolas Sarkozy, humble et sûr de lui en même temps ; nous avons senti tout de même une maturité naissante.

Hormis ce constat réaliste, soyons pragmatiques, nous avons pu constater le côté manœuvrier de M. Sarkozy.

Nous nous en expliquons, quand il parle de référendum. A aucun moment il a mis en application ce procédé sur des sujets sociétaux ; en matière d’insécurité ou d’immigration.

Par exemple quand il était au pouvoir, en ce qui concerne l’emploi, son bilan avant de laisser la place à son successeur M. Hollande, a été calamiteux.

En outre il ose dire que l’alternative à ses propositions, et là il se place comme candidat en 2017 pour la pseudo droite, faisant fi de ses concurrents, serait le laxisme ou l’isolationnisme.

En gros le changement dans la continuité sauce Hollande et le repli sur soi sauce Le Pen.

Pour nous, il s’agit d’un schéma somme toute réducteur.

Bien sûr M. Hollande ne redressera jamais le gouvernail, Me Le Pen non plus, tant elle circule à l’aveuglette et à tâtons, en exploitant sans vergogne la colère et le désarroi du peuple français.

Le PS et le FN n’offrent comme perspectives que l’immobilisme et l’aventurisme.

Nous sommes dans un tunnel, voir un puits sans fond.

Il nous faut un guide. Le peuple français désire une oreille, une écoute et un leader qui ne se contente pas de belles prestations et de gesticulades.

Entre un homme spectateur de la vie économique française, un ancien Président de la République bateleur de foire et une Présidente de parti frôlant la caricature, n’ayant que l’invective à la bouche, les Français ne peuvent qu’être écœurés, perturbés, dégoûtés.

Assez de mensonges, de démagogie, de propos acerbes et abjects.

Soyons humbles et pragmatiques pour le bonheur du peuple français.

C’est ce que nous proposons au Parti de la France ! Rejoignez-nous !

Franck Pech

Responsable communication du Parti de la France 31