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mardi, 06 janvier 2015

"NUIT DU NOUVEL AN, 26 VEHICULES INCENDIES , LA PYROMANIE CRIMINELLE INSTITUTIONNALISEE !"

Publié par Guy Jovelin

logo-pdf-vertical.jpgcriminels,nuit du nouvel an 2015,véhicules inciendiésLa banalisation, année après année, d’actes de vandalisme devient un fait marquant, une chronique de la vie ordinaire en quelque sorte.

L’an dernier, il s’agissait de 40 véhicules brulés, cette année seulement 26…Effectivement, le chiffre baisse, mais il reste tout de même vingt six victimes dont tout le monde se fiche !

Le vandalisme est devenue monnaie courante, comme les bagarres et agressions en tous genres, cela constitue le décorum piteux de cette société française multiethnique et culturelle, si chère aux tenants de la pensée unique et qui s’avère  être une absurdité absolue, un désastre et si j ose dire un état en décomposition !

Les médias affirment que ce type d’évènements, d’incivilités s’amenuisent au fil du temps, à croire qu’ils sont aveugles, obéissent et sont assujettis à un pouvoir gouvernemental complice qui ne recule devant rien pour acheter la paix sociale ! La pègre immigrationniste et racailleuse peut dormir tranquille !

Ayons une pensée pour ces victimes  de cet saint-sylvestre, français humbles, qui ont économisés euros après euros, pour s’offrir une voiture et qui se retrouvent désemparés, abandonnés par un pouvoir, une oligarchie, qui se moquent de leurs vies et préoccupations.

Ce pouvoir qui a l’outrecuidance de minimiser les actes délictueux que sont l’incendie et la détérioration  des biens du Peuple !

Faut-il rappeler que la première des libertés est la sécurisation des biens et des personnes ?

Nous en sommes  bien loin vus l’état actuel des choses…

Nous, au Parti de la France, estimons qu’aucun véhicule ne doit être incendié, ni a la saint-sylvestre, ni à aucun moment, la racaille doit être mise hors d’état de nuire une bonne foi pour toute, par tous les moyens !

Exigeons la déchéance de la  nationalité française pour ces « pseudos français » et foutons les dehors manu militari !

La France, terre d’asile ? Cette conception n’a que trop duré, lorsqu’une nation est gangrenée, elle doit éliminer les éléments nuisibles qui s’y sont greffés.

Cet acte est salvateur et nécessaire pour notre avenir !

 

Franck Pech

 

Délégué Adjoint du P.D.F 31

LE DESSIN DU JOUR !

LE DESSIN DU JOUR !

Ignace - Hollande "assume" son échec sur le chômage

lundi, 05 janvier 2015

Conférence Climat Paris 2015 : offrons des vacances à M. Hulot (par Yann Sergent)

 

Publié par Guy Jovelin

Sous prétexte de sauver la planète, en réalité pour une poignée d’écologistes, le Président va engager la France à porter des boulets supplémentaires pour les décennies à venir. Boulets que les États-Unis, en prétextant le refus du Congrès, mais aussi la Chine et bien d’autres refuseront totalement, frontalement.

Peut-on pour autant taxer d’égoïsme ces pays non signataires ?

Claude Allègre avait, il y a longtemps, dénoncé les conclusions du GIEC. Puis il y a eu de nombreuses publications scientifiques (de Vincent Courtillot, par exemple), de nombreux livres (François Gervais,L’Innocence du carbone, ou plus ludique mais fort bien documenté, Michael Crichton, État d’urgence), et une pétition a rassemblé aux États-Unis 30.000 scientifiques s’élevant contre les affirmations du GIEC.

Plus récemment, un scientifique français reconnu, Philippe de Larminat, a publié un travail important (Changement climatique, identification et projections) d’où il ressort que l’effet du soleil sur le climat est beaucoup plus important que ne le dit le GIEC, et que l’effet de l’activité humaine est soit faible, soit nul.

La méthode utilisée, universellement reconnue dans de nombreux domaines, ne l’avait pas encore été sur le réchauffement : il a mis dans un ordinateur toutes les données (température, taux de CO2, activité solaire…) habituellement retenues, sans aucune hypothèse sur les mécanismes pouvant relier les unes aux autres, et a cherché quelles relations elles avaient entre elles. C’est-à-dire qu’il a fait un « simple » travail de compilation de données, d’où sont ressorties des corrélations : le réchauffement est lié aux variations de l’activité solaire, pas à l’activité humaine.

Jean Jouzel, prix Nobel de la paix au titre de sa participation aux travaux du GIEC, a déclaré au milieu de la dernière décennie : « Si le plateau continue pendant encore dix ans, Courtillot aura raison… Mais dans dix ans, il sera trop tard. »

Il voulait dire que si Courtillot avait tort, si l’homme était responsable du réchauffement, il serait trop tard pour agir.

Or, le « plateau » a continué, le niveau des températures est élevé, mais stable depuis 1998, et le discours reste le même.

Les surfaces estivales de glace en Arctique remontent très sensiblement depuis le minimum atteint en 2012, mais personne ne le dit.

Tout se passe comme si ces réalités et ces travaux n’existaient pas. Ces informations glissent sur les journalistes comme l’eau sur les plumes d’un canard.

Parce qu’à force de crier au réchauffement, de mobiliser des fonds, plus personne n’ose dire : « On s’est trompé, le comité Nobel s’est trompé, on arrête tout. » Alors qu’ils se sont trompés, qu’il faut tout arrêter.

Il faudra bien se sevrer du pétrole, mais pour des raisons économiques et géopolitiques, pas pour des raisons climatiques.

Souhaitons un échec de cette conférence de Paris, que nos décideurs ouvrent les yeux et arrêtent de vendre notre avenir contre un plat de lentilles !

Offrons des vacances à M. Hulot !

Source

Sortie de l’euro : gare à la démagogie ! (par Bernard Mitjavile)

 

 Publié par Guy Jovelin

L’année passée n’a pas été trop brillante pour l’euro, qui a vu sa valeur baisser d’environ 12 % par rapport à son principal rival, le dollar, ce qui ne lui était pas arrivé depuis 2005.

Or, un grand argument des partisans d’un retrait de la zone euro est que pour redonner de la compétitivité à nos entreprises il faut quitter l’euro car il est surévalué, tiré vers le haut par l’économie allemande, et ceci sans qu’il soit nécessaire d’entreprendre de douloureuses réformes de structure (réforme de l’État, diminution du nombre de fonctionnaires, réforme des retraites et plus généralement diminution des prélèvements obligatoires).

La dépréciation de l’euro par rapport au dollar a un effet semblable pour les produits français hors de la zone Union européenne à un retour à un franc plus faible qui se dévaluerait de 15 ou 20 % par rapport à l’euro selon les dirigeants du FN (pour dire la vérité, on n’en sait rien et cela dépendrait largement du contexte politique).

Pour autant, le déficit de nos échanges commerciaux hors énergie s’est creusé en 2014, selon les chiffres publiés en novembre par les Douanes, passant de 9 à 14 milliards sur les neuf premiers mois de l’année. Cela devrait amener certains à s’interroger sur l’effet coup de fouet pour l’économie d’un retour au franc censé conduire à relancer les exportations et la production industrielle française.

En fait, la question du retrait ou non de l’euro est mal posée et, en l’occurrence, comme pour bien d’autres choses, l’important est dans les détails. La question n’est pas tellement de quitter ou non l’euro mais dans quelles conditions cela se ferait.

Une France à l’économie dynamique, tirée par ses exportations et dont la dette servirait à financer des investissements tournés vers l’avenir, n’aurait pas grand-chose à craindre économiquement en quittant la zone euro, indépendamment des difficultés politiques et institutionnelles.

Une France souffrant de déficits structurels, dont la dette sert à financer les dépenses de fonctionnement d’un État obèse plutôt que des investissements pour les futures générations, ne verrait pas ses problèmes résolus par un retour au franc mais ajouterait un facteur d’instabilité financière à sa situation.

Quand le FN s’oppose au recul des dates de départ en retraite, à la diminution du nombre de fonctionnaires (Marine Le Pen dans sa campagne de 2012), quand Florian Philippot soutient les grévistes de la SNCF à l’automne contre le « diktat » de Bruxelles, quand le FN promet des augmentations des aides aux agriculteurs et nous assure que tout se passera bien grâce à un État « intelligent et stratège » puisqu’il sera au pouvoir, il ne crée pas les conditions optimales pour quitter la zone euro.

On comprend que le FN cherche à « ratisser large », gagnant des voix de fonctionnaires, d’agriculteurs et autres catégories qui s’étaient tenues loin de lui, mais un langage de vérité serait mieux adapté à la situation actuelle.

La démagogie est peut-être une bonne chose pour gagner une élection mais, comme toutes les bonnes choses, il ne faut pas en abuser. Nous sommes nombreux à l’apprendre en ces lendemains de réveillon…

Source

dimanche, 04 janvier 2015

La légion d'honneur a-t-elle encore un sens ? On la décerne à n'importe qui, en quel honneur ?

Publié par Guy Jovelin

La légion d'honneur a-t-elle encore un sens ?
On la décerne à n'importe qui, en quel honneur ?
Il suffit de faire partie d'un cercle de nantis, un groupe de dirigeants, un ami du show business, un acteur ou actrice ami(e) de la France ou français(e), un cercle d'écrivains, etc. QUELLE HONTE !

La légion d'honneur a-t-elle encore un sens ?

On la décerne à n'importe qui, en quel honneur ?

Il suffit de faire partie d'un cercle de nantis, un groupe de dirigeants, un ami du show business, un acteur ou actrice ami(e) de la France ou français(e), un cercle d'écrivains, etc. QUELLE HONTE !