Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

jeudi, 12 novembre 2015

Le calvaire des Calaisiens menacés par les immigrés

Publié par Guy Jovelin le 12 novembre 2015

calaisienne

Alors que Calais a connu une troisième nuit d’émeute, les habitants sont de plus en plus nombreux à témoigner des menaces et des agressions qu’ils subissent de la part des immigrés illégaux que la caste politico-médiatique et les bien-pensants s’obstinent à nous présenter comme de malheureux « réfugiés ».


CALAIS : AFFRONTEMENTS ENTRE MIGRANTS ET POLICIERS par lavoixdunord


Après les affrontements entre forces de police… par groupe-nord-littoral

 

Source : http://www.medias-presse.info/

Régionales 2015: les dissidents du FN contre Aliot

Publié par Guy Jovelin le 12 novembre 2015

Jean-Claude Martinez présente la liste «Force France Sud»

Régionales 2015: les dissidents du FN contre Aliot

Mercredi 11.11.2015. 23:00h

 

Jean-Claude Martinez, tête de liste «Force France Sud» en Midi-Pyrénées / Languedoc-Roussillon © SDPOpposés à la ligne de Marine Le Pen, d'anciens membres du Front National se présentent aux élections régionales en Pays Catalan. Ils sont menés par Jean-Claude Martinez, candidat aux municipales de Perpignan en 1993.

 

Les élections régionales en Midi-Pyrénées / Languedoc-Roussillon voient intervenir une liste à fort caractère de dissidence du Front National (FN). Cette offre d'extrême droite baptisée «Force France Sud - La Région La France La Vie» a pour leader régional Jean-Claude Martinez, candidat aux élections municipales de Perpignan en 1993. A 70 ans, l'agrégé de droit public, vice-président du FN jusqu'en 2008, réunit les 184 candidats réglementaires pour l'ensemble des 13 départements visés.

L'ancien FN qui n'aime pas le nouveau

Dans les Pyrénées-Orientales, Jean-Claude Martinez a confié la tête de liste à Pierre Aloy, ancien responsable du Front National sur la 2ème circonscription, actuel conseiller régional du Languedoc-Roussillon, président de l'amicale des Pieds-Noirs de la ville du Barcarès et organisateur du salon du savoir-faire Pied-Noir. «Force France Sud» comprend aussi l'ancien FN Jean-Pierre Atoch, fondateur du site Internet Le Fanal du Barcarès, opposé à Marine Le Pen et à la fédération départementale de son parti. Françoise Bataillon, candidate du FN en 2008 sur le canton 8 de Perpignan, qui englobe le quartier de la gare, y figure aussi. Ces frondeurs estiment que le candidat régional du FN, Louis Aliot, a faussé les valeurs de leur ancien parti, nettement décalé sur la gauche.


Jean-Claude Martinez, tête de liste «Force France Sud» en Midi-Pyrénées / Languedoc-Roussillon © SDP
 

 

mercredi, 11 novembre 2015

Rokhaya Diallo méprise les cuisiniers

Publié par Guy Jovelin le 11 novembre 2015

Rokhaya Diallo méprise les cuisiniersRokhaya Diallo, obsédée par le racisme, est intervenue sur RMC pour estimer que l’émission C à vous n’était « pas du tout aux couleurs de la France« , entendez par là qu’il y manquait des intervenants de couleur. Et de continuer en déclarant: « quand on voit qu’il y a effectivement une personne d’origine maghrébine, une personne noire, mais qui fait la cuisine pendant que des blancs parlent de politique…« , faisant référence à Babette de Rozières, chef cuisinier et animatrice de la partie cuisine de l’émission de France 5 et originaire de Guadeloupe. Quelqu’un pourrait-il faire savoir à Rokhaya Diallo que la gastronomie exige plus de talents et de savoir-faire que l’agitation verbale assénée par Madame Diallo qui s’imagine sortie de la cuisse de Jupiter ?

Mais qui est Rokhaya Diallo demanderont beaucoup de lecteurs libérés des nuisances toxiques des médias mainstream ? Née en 1978 à Paris de parents sénégalais et gambien, cette chroniqueuse choyée par la radio et la télévision est la fondatrice de l’association Les Indivisibles qui milite contre « les préjugés ethno-raciaux et, en premier lieu, celui qui nie ou dévalorise l’identité française des Français non-blancs« . Cela ne l’empêche pas de déclarer en juin 2010 que, durant la Coupe du monde de football de 2002, elle a soutenu le Sénégal et a ressenti de la joie à voir le Sénégal battre la France. Ne manquant pas une occasion de dénoncer le racisme dont seraient victimes les Noirs en France, elle signe par contre en 2012 une tribune du MRAP niant l’existence d’un racisme anti-blanc.

En 2010, dans le cadre du programme International Visitor Leadership, elle a été invitée par le gouvernement fédéral des Etats-Unis pour une visite d’étude de la diversité du pays. En septembre 2011, elle est retournée aux Etats-Unis pour assister à la réunion annuelle du Caucus noir du Congrès à Washington qui réunit les parlementaires noirs américains.

En 2012, elle prend position pour la légalisation du mariage entre personnes de même sexe.

Source : http://www.medias-presse.info/

Vive l’école de la république socialiste et « l’ignorance pour tous »

Publié par Guy Jovelin le 11 novembre 2015 

BelkacemLe système politique de « l’école de gauche », toujours « dysfonctionnel », est aux mains des syndicats et démontre pourquoi les modifications de l’environnement scolaire en amélioration sont toujours impossibles.

L’extension de la notion de « sélection des meilleurs« , et le principe de l’ouverture des esprits à la saine concurrence entre les institutions scolaires, sont toujours soumis aux diktats des fonctionnaires socialistes et des idéologues GOF de la dictature laïque. Cette tyrannie politico-syndicale entraîne inévitablement le refus absolu de tout changement et bloque toute réforme actuelle et future de l’école publique.

C’est pourquoi les instituts privés, qui sont en nombre insuffisants, ne cessent de refuser des élèves. L’idée de sélection des meilleurs est honnie par les enseignants-militants de l’égalitarisme « vers le bas », afin de promouvoir la « médiocratie pour tous », ce qui leur est si profitable. Cette haine de la sélection scolaire est importante puisqu’elle fournit une justification à l’hypothèse de la « médiocrité intellectuelle » et de la « paresse mentale » de ces enseignants-militants de gauche. Cette « haine des élites » et de la « sélection des meilleurs », fait que chaque institution scolaire doit avoir pour fonction de nier les différences et de supprimer les notes.

C’est-à-dire que l’école doit « contribuer au nivellement permanent de l’ensemble » des élèves, « vers le bas », vers la « paresse ludique entretenue pour tous » soumise aux meneurs, et vers le « moindre effort ».

Nous devons rejeter les conceptions gauchisantes des enseignants-militants, soi-disant égalitaristes, selon lesquelles la culture scolaire dominante est un assemblage fortuit de croyances inutiles et aliénantes.

Si nous acceptons la théorie de l’égalitarisme « vers le bas » de l’école publique, la survie des meilleurs, et des élèves les mieux adaptés, sera assurée par les instituts privés. Car l’égalitarisme « vers le bas » pose le principe qu’un système scolaire, composé d’éléments intelligents et travailleurs, et dont les fonctions ne sont pas adaptées à la tyrannie idéologique politico-syndicale de la « médiocratie pour tous », doit disparaître.

L’idée de sélection des meilleurs élèves n’est pas adaptée aux exigences de l’environnement politico-syndical de gauche, qui détruit, par essence, tout principe de « méritocratie« . C’est pourquoi, si le respect de ce principe de la méritocratie était appliqué à la « sélection des enseignants« , la plupart des enseignants-militants de gauche seraient au chômage, au même titre que les oisifs « intermitteux » du spectacle.

Outre qu’il fournit une justification à l’hypothèse fondamentale de la médiocrité intellectuelle et de la paresse mentale de ces enseignants, le concept d’égalitarisme anti-sélection des meilleurs constitue la pierre angulaire de la domination politico-syndicale gauchisante et du règne de la « médiocratie pour tous » à l’école.

Aucun « progrès dans l’organisation » de l’école, aucun moyen supplémentaire exigé ni aucune dotation de toujours plus d’enseignants-militants, ne pourra réformer une école soumise à la « tyrannie des médiocres« .

Dans la lutte pour la survie du système scolaire, il ne fait aucun doute que les associations de parents conscients et non politisés à gauche, seront à l’origine du « remplacement du système de l’école publique » par les instituts privés. Ce sont les seuls qui permettent une « évolution » vers le haut des « élèves méritants », avec le « développement » de tous les talents et le « progrès » constant des méthodes d’éducation à l’effort.

De telles méthodes d’éducation à l’effort sont employées, dans un sens beaucoup plus valorisant pour le désir de réussite des élèves motivés par « la soif d’apprendre » et de ceux qui « veulent travailler ».

C’est ce qu’on n’a jamais vu, depuis l’époque glorieuse où tout le monde pouvait passer le « Certificat d’Études Primaires » avec des chances de succès. Le « Certificat d’Études Primaires » a disparu à cause d’une politique de l’Éducation Nationale grossièrement égalitaire, cette politique de gauche qui n’a jamais donné, aux petits et aux élèves des milieux modestes, la moindre chance de réussir.

C’était pourtant le grand et noble principe de l’école de la république et de la « réussite pour tous« .

À l’époque où tout le monde professe l’amour de la paix, on s’empresse de dissimuler la violence du système scolaire.

Du point de vue de la logique politique absurde de la gauche, l’égalitarisme de la « médiocratie pour tous » à l’école devrait être bien reçu par les dirigeants médiocres des États collectivistes autoritaires, comme les ministres ignares de la république socialiste, ces bobos nostalgiques des républiques soviétiques.

L’élément déterminant, c’est que le système syndical et politique socialo-populiste favorise toujours la médiocrité des enseignants-militants. C’est pourquoi les idéaux faussés de l’égalitarisme socialiste détruit les chances des petits et des élèves des milieux modestes, eux qui veulent travailler et qui ont soif d’apprendre.

Les places seront donc réservées, en fonction des intérêts de la bourgeoisie des bobos de gauche, à ceux qui planquent leurs enfants très médiocres, paresseux, gâtés et pourris, dans des instituts privés.

Les moralistes et les donneurs de leçons de la bourgeoisie d’affaires politico-médiatique, notamment celle des socialos-bobos-collabos friqués, ont été déchus de leur superbe, depuis que les médias-collabos, au service de la propagande du mensonge, ont été inévitablement contournés par les sites internet.

Si le fils joueur prodigue, et assurément pas prodige, du sieur Fabius, est connu pour les scandales et les désordres créés aux États-Unis, après que la justice américaine ait émis un mandat contre lui, il n’a rien à envier à la république socialiste des faussaires.

C’est une république socialiste « euro-bananière« , où la multiplication des rentes et des faux diplômes, des « soi-disant élites » de la gauche-bobo au pouvoir, du type Cambadélis-Fioraso, justifie pleinement, non seulement la suppression des notes, mais aussi, bien évidemment, l’attribution des « doctorats pour tous« .

Dr Thierry Michaud-Nérard

 

Source : http://ripostelaique.com/vive-lecole-de-la-republique-soc...

mardi, 10 novembre 2015

Fusion de Languedoc-Roussillon et Midi-Pyrénées : une vidéo pédagogique qui fait un flop

Publié par Guy Jovelin le 10 novembre 2015

Le rectorat de l'académie de Toulouse diffuse une vidéo à destination des collégiens et lycéens sur les nouvelles régions et si l'intention est bonne, la manière, quant à elle, est maladroite.Les rectorat de l'académie de Toulouse a lancé une vidéo pédagogique à l'attention des adolescents

Pour expliquer la fusion du Languedoc-Roussillon et des Midi-Pyrénées pour créer la nouvelle grande Région, l'éducation nationale diffuse une vidéo afin d'intéresser les jeunes, en particuliers les ados. Mais cette tentative vire au burlesque. Faut-il faire des caricature pour parler aux jeunes ? La question mérite d'être posée.


Dans la vidéo Pierre-Paul Riquet, concepteur du canal du Midi, argumente sur les avantages de la Grande région à coups de "ça déchire grave les potos", "trop swag". "Yollo"... Des mots de ce type, il y en a dans chaque phrase à tel point qu'on est vite submergé. L'explication sur la grande région passe au second plan. 

Quand le rectorat et les régions en font trop

En revenant sur l'histoire commune de Languedoc-Roussillon et Midi-Pyrénées,"PP Riquet" remonte ainsi au "moyen-âge, l'époque où les bogoss kiffaient se déguiser en capsules Nespresso". Et tout y passe, de l'offre étudiante où "tu auras le choix, toi et tes 220 000 potos étudiants !" aux possibilités offertes par le cadre naturel, mer et montagne, soit "le kif suprême, quoi", avant de conclure par un non moins explicite "gros poutous, à un de ces quatre".

L'éducation nationale et les régions Midi-Pyrénées et Languedoc-Roussillon qui ont produit le film en auraient-elles trop fait ? Lorsque l'on demande à Adam, 15 ans, la réponse est claire : "Désolé mais on parle pas comme ça. En plus, c'est plus pour les maternelles cette vidéo. Moi, je vais sur Wikipedia et je peux comprendre la fusion". 

Plus ringarde que pédagogique​

Selon Sarah, 18 ans, il y a quelques expressions "qui ne sont même pas utilisées correctement. Et le mot "smack" plus personne ne l'utilise".
Il semble que cette vidéo soit plus "ringarde" que pédagogique. Si le fond est pertinent, la forme elle, laisse à désirer et occulte le message. 

L'académie, qui héberge la vidéo, propose aux professeurs de la télécharger pour une "diffusion libre" dans les classes. On ose à peine imaginer la réaction des élèves devant ce film... On peut d'ailleurs remarquer que sur la page YouTube où il est hébergé, les commentaires ont été désactivés. Peut-être pour éviter une pluie de réactions outrées ?