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vendredi, 13 novembre 2015

LE PRINCIPE DES VASES COMMUNIQUANTS

Publié par Guy Jovelin le 13 novembre 2015

Quelle tristesse


Ancien scout, ancien membre des jeunesses nationalistes dans les années 60 à Marseille, ancien marin dans la Royale, ancien membre du FN jusqu’aux dernières municipales (à BARCARÈS), j’ai toujours respecté la droiture qui m’avait été enseignée : «Franchise, dévouement, pureté, HONNEUR, PATRIE, VALEUR, DISCIPLINE ».

J’avais trouvé dans le mouvement de Jean-Marie LE PEN l’ensemble de mes idéos que je me suis toujours efforcé de faire partager pour qu’un jour, enfin, notre France puisse vivre dans la paix et la sérénité. 

Mais voilà, les jeunes loups cupides, avides de pouvoir, ont détruit ce qu’un homme, qui, par son charisme et sa ferveur à l’idéal patriotique, avait bâti avec tant de courage ….

Comme beaucoup d’entre vous, écœuré par cette trahison, j’ai quitté le FN ou ce qu’on devrait mieux appeler aujourd’hui le « RBM » par respect pour son fondateur (du FN bien sûr !).

Et comme un « immigrant » sans terre, j’ai cherché à rejoindre tous ces « exilés » de notre mouvement FN. Un ami m’a montré le chemin, je l’ai suivi…

Bien m’en a pris ! Car aujourd’hui, comme beaucoup d’entre eux, je peux enfin poursuivre mon combat pour la LIBERTÉ de ma PATRIE: j’ai adhéré au PARTI DE LA FRANCE.

Merci Jean-Pierre

Henri Carriot

Source : http://www.lefanaldubarcares.com/?p=8842

 

 

Lourdes : les écoles privées catholiques protestent contre une baisse de leurs subventions

Publié par Guy Jovelin le 13 novembre 2015

40 % des enfants lourdais sont dans des écoles catholiques © Maxppp
© Maxppp 40 % des enfants lourdais sont dans des écoles catholiques
 
C'est début septembre que les responsables des écoles catholiques ont appris que la Communauté des Communes du Pays de Lourdes avait dénoncé la convention qui la liait avec l'enseignement catholique depuis 1991.
Cette convention prévoyait une participation financière au fonctionnement des écoles catholiques de la ville. Selon un communiqué de l'Ogec (Organisme de gestion de l'enseignement catholique), ce financement serait réduit de 60 %.
"Cette situation, selon ce communiqué, met en péril l'avenir de nos trois écoles, notamment des classes maternelles, soit 11 classes, et donc les emplois qui y sont directement liés".

Pour sa part, Josette Bourdeu, maire de Lourdes et Présidente de la Communauté des Communes du Pays de Lourdes n'a pas souhaité répondre à nos questions. Elle devrait réagir dans une prochaine conférence de presse dont la date n'a pas été précisée. 
Les écoles catholiques de Lourdes

L’enseignement catholique de Lourdes compte trois établissements primaires et maternels, soit 626 enfants (40% des élèves scolarisés en primaire à Lourdes), 460 familles, 32 enseignants et 27 autres personnels salariés (aides maternelles, assistantes de vie scolaire, agents d’entretien, secrétaire)

 

Source : http://france3-regions.francetvinfo.fr/midi-pyrenees/haut...

Général Vincent Desportes : « dans nos armées, un avion sur deux ne peut pas décoller, un navire sur deux ne peut prendre la mer, et un char sur deux ne peut plus rouler »

 

Général Vincent Desportes : « dans nos armées, un avion sur deux ne peut pas décoller, un navire sur deux ne peut prendre la mer, et un char sur deux ne peut plus rouler »Sur son site internet, FranceTVinfos publie un entretien avec le général Vincent Desportes bien connu pour son franc-parler. L’interview fait suite à la publication du livre La Dernière Bataille de France (chez Gallimard) dans lequel le général Desportes fait s’envoler les illusions.  « Les Français croient être protégés, ils ne le sont plus…« 

En voici quelques extraits :

« Que ce soit sur mer, à terre ou dans le ciel, toutes nos armées sont en train de s’user. Je dirais même que la corde est sur le point de casser. »

« Au Mali, on peut rappeler que, pour l’opération Serval [2013-2014], les véhicules avaient deux fois l’âge de leurs conducteurs. Nos avions Rafale étaient ravitaillés par des avions qui avaient plus d’un demi-siècle, etc.

A côté de l’armée ultra-moderne, qui existe, on a une autre grande partie que je qualifierais de vintage. Elle possède des équipements « de collection ». Et le budget actuel ne permet pas suffisamment d’approvisionner le flux nécessaire des pièces de rechange. De sorte que, dans nos armées, un avion sur deux ne peut pas décoller, un navire sur deux ne peut prendre la mer, et un char sur deux ne peut plus rouler. Dans certains cas, c’est même pire, comme pour les hélicoptères Tigre, par exemple : quatre appareils sur cinq ne peuvent pas prendre l’air. »

« Les deux dernières lois de programmation militaire ont porté des coups terribles aux armées. Celle de 2008-2013, votée sous la présidence Sarkozy, a enlevé 25% des capacités opérationnelles françaises. Celle de 2014-2019, votée sous la présidence Hollande, a fait de même. Ces deux lois ont prévu une réduction de 80 000 postes dans nos effectifs entre 2008 et 2019, ce qui est le plus grand plan social subi par les administrations. Or, je le répète, cela se passe à un moment où les opérations se multiplient et deviennent de plus en plus complexes. »

« Le problème fondamental de notre défense est que ce n’est plus une question citoyenne. Le pouvoir politique peut, quelle que soit sa couleur, faire des coupes sombres dans le budget des armées sans perdre une seule voix aux élections.

Tant que les politiques pourront ainsi ne pas être comptables de la défense, cela continuera. Car l’institution militaire ne peut pas s’exprimer. Donc on lui prend ses moyens car on sait que personne ne pourra prendre la parole pour le déplorer en défilant dans les rues, par exemple. »

« (…) j’exprime ce que pensent 99% des militaires. Pour le reste, quelques « supplétifs » sont montés au créneau, mais je constate qu’aucune autorité n’a prétendu que je racontais n’importe quoi. Car ce que je dis est vrai. »

Source : http://www.medias-presse.info/

ATTENTAT DÉJOUÉ À TOULON : ON L’A EMPÊCHÉ DE PARTIR EN SYRIE, IL A DÉCIDÉ D’AGIR ICI !

Publié par Guy Jovelin le 13 novembre 2015

Un acte terroriste grave a pu être évité de justesse à Toulon. Ce n’est pas le premier et ce ne sera pas le dernier. Mais demain ou un autre jour il y aura un attentat en France, des morts, des blessés, une émotion nationale et de vaines paroles de condoléances pour ceux qui les pleurent, etc.


Attentat déjoué à Toulon : on l’a empêché de partir en Syrie, il a décidé d’agir ici !

Qui sera responsable ? Bien entendu le terroriste, auteur de cet acte sauvage, mais avec la complicité de ceux qui l’ont contraint, malgré sa volonté, à rester dans le pays.

Lire la suite sur Boulevard Voltaire

LE "GRAIN DE SEL" HEBDOMADAIRE DE JEAN-CLAUDE ROLINAT

Publié par Guy Jovelin le 13 novembre 2015

COLLEGES : MIXITE SOCIALE OU MIXITE RACIALE ?
Le gouvernement veut brasser de force des populations hétérogènes, mixer les élèves de collèges réputés calmes où l’on travaille et s’instruit, avec ceux d’établissements en grandes difficultés. En quelque sorte, exporter le cancer et ses métastases. Et cela dans la plus pure hypocrisie : aucun des enfants de nos hiérarques, ou prétendus tels, n’iront dans des collèges de « quartiers difficiles » et autres « zones de non droit » , les cache-nez sémantiques pour désigner les quartiers ethniques.


LE "GRAIN DE SEL" HEBDOMADAIRE DE JEAN-CLAUDE ROLINAT
 
« Raciale », mixité « raciale » ? Cachez ce vilain mot qui désignerait, au demeurant, une « chose » qui n’existe plus, «  couvrez ce mot que je ne saurais voir » pour paraphraser Molière dans son célèbre Tartuffe, et substituons lui le vocable plus aimable de « social ».  Après  l’aggravation des sanctions prévues à l’article 55 de l’inique loi SRU –« solidarité et renouvellement urbain »  – pour les communes de plus de 3500  habitants qui ne rempliraient pas l’obligation d’avoir au moins 20% de logements sociaux (1), le gouvernement de la République socialiste française  vient de lancer le 10 novembre un nouveau plan expérimental pour en finir, parait-il, avec les « collèges-ghettos ».
LE REEL REPRENDRA LE DESSUS : « CHASSEZ LE NATUREL, IL REVIENT AU GALOP…. »
En fait, de quoi s’agit-il ? En apparence l’idée vendue semble généreuse et partir d’un bon principe dans l’offre égalitaire d’un enseignement de qualité.  L’idée de Najat Vallaud Belkacem, ministre de l’éducation dite « nationale », est d’impliquer les collectivités territoriales concernées  dans le brassage des élèves des collèges issus de différents quartiers, en partant du principe que certains de ces derniers  répondraient  bien à une typologie sociale spécifique. Or, il n’est pas toujours évident que les quartiers réputés « défavorisés » n’hébergent que des enfants en grandes difficultés, ni que ces derniers soient obligatoirement tous issus de milieux pauvres. Et jadis,  nombre de « pauvres » se sont  extraits de leur milieu d’origine   grâce notamment aux bourses et à leurs qualités personnelles. De même qu’un humoriste voulait mettre les villes à la campagne, Dame Belkacem veut mettre les effectifs d’enfants difficiles dans des collèges réputés calmes. Déplacer les problèmes en quelque sorte au lieu de tenter de les résoudre à la base, in situ. En fait, la carte scolaire sera redessinée en faisant déplacer quotidiennement des enfants sur de longs parcours      avec toutes les nouvelles contraintes horaires entrainées pour les parents. Il était quelque peu croustillant à cet égard de visionner un reportage télévisé , je ne sais plus sur quelle chaine, dans lequel on pouvait voir et entendre des mamans  visiblement d’origine maghrébine par leur tenue, souhaiter que leur progéniture soit mélangée  « à des Français » ce qui, en passant,  révèle deux choses : une, si elles ont la nationalité française, elles ne se considèrent pas comme telles, deux, elles se rendent compte que dans des classes où cohabitent des enfants issus des « quatre coins du monde », les élèves peuvent difficilement s’intégrer, à plus  forte raison s’assimiler à la société d’accueil. La ministre s’imagine-t-elle que des parents ayant la chance d’avoir une situation sociale disons « normale » ou aisée vont, de gaité de cœur, accepter que leurs marmots soient scolarisés dans d’improbables collèges, loin de chez eux, où l’anarchie, la violence et la drogue s’imposent en  toute impunité ? Combien de  structures scolaires où les enseignants vont au boulot la peur au ventre en rasant les murs ?  Dans un récent article de France TV info on pouvait relever avec intérêt cette déclaration : « - Céline (le prénom a été changé), mère d’une jeune lycéenne scolarisée dans le 12 ème arrondissement de Paris, a toujours respecté la carte scolaire .Lorsque sa  fille est entrée au collège, l’établissement accueillait des classes d’enfants plutôt favorisés. En quatre ans, son quartier est devenu plus populaire et le collège est désormais  en zone d’éducation prioritaire. Avec 37 élèves par classe, le personnel encadrant est complètement dépassé, raconte la mère. Les élèves perturbateurs ont fait craquer certains professeurs qui ne pouvaient pas tenir leurs  classes. Ma fille n’a pas eu de cours d’anglais pendant trois ans faute d’enseignant avec les nerfs suffisamment solides ». Edifiant…La démonstration est faite que ce n’est pas forcément le lieu géographique qui détermine la mauvaise ambiance scolaire,  mais le manque de moyens rationnels mis à la disposition d’une véritable Education réellement NATIONALE. Les recettes ? une discipline appliquée avec intransigeance par des maîtres bien formés – pas des jeunes que l’on envoie au casse-pipe sans préparation, rappelez-vous l’excellent film « La jupe » avec Isabelle Adjani - l’implication physique et financière des parents d’élèves difficiles avec , s’il le fallait, l’internement  des trublions   dans  ce que l’on appelait jadis des « Maisons de correction », Sans oublier  une rénovation des bâtiments et de leurs équipements qui donnent envie d’apprendre, l’enseignement des valeurs de base indispensables à la vie en société, le port d’un uniforme identifiant l’élève à son école selon le modèle britannique, et arrêter de surcharger les classes en ouvrant toujours et toujours plus les vannes de l’immigration, voici quelques pistes pour freiner l’un des maux français. Car, même si les dérogations à la carte scolaire seront plus encadrées, rien ne pourra empêcher papa et maman de faire preuve d’imagination pour que leur jeune progéniture échappe aux collèges-ghettos des cités du même tabac. On n’arrête pas l’eau des rivières qui débordent, l’eau s’infiltrera toujours par tous les interstices.
 
LA VOIE ROYALE PAR LE PRIVE ?
Najat et ses sbires du ministère ont même imaginé une répartition des effectifs dans des collèges situés sur un même axe, une ligne de tramway par exemple, qui chargerait des élèves, pas tous, du collège A pour les emmener au collège B ! Outre la fatigue  supplémentaire entrainée par ces heures passées dans les transports, les élèves devraient sans doute  s’acquitter du coût de cette prestation. Une sorte de busing en vogue aux Etats-Unis il y a déjà quelques lustres et qui, par cars entiers, faisait se déverser des élèves noirs dans des écoles blanches….Les Américains en sont revenus, car l’ethnie d’origine ne recoupe pas toujours le niveau social des familles. Qui connait les Etats du Sud, sait qu’il y a de nombreux « petits blancs » comme une  émergente et dynamique bourgeoisie noire ! Ce n’est pas Obama qui dirait le contraire…Si d’immenses casernes sans âme où s’entassent des populations diverses encerclent nos villes, nous le devons à des dirigeants qui n’ont pas mesuré les conséquences de leurs actes, le regroupement familial étant l’un des plus maléfiques, n’est-ce pas messieurs Chirac et Giscard d’Estaing ?  Le fameux « bien vivre ensemble »  à la mode française ou « l’accommodement raisonnable » à la sauce québécoise  sont conditionnés avant tout par une question de seuil, de « dosage » et, surtout, de volonté de la part de toutes les parties.  Nous en sommes loin. Aujourd’hui le vin est tiré, il faut le boire. Mais pas aux dépends des enfants, de tous les enfants, à commencer par les petits Français. Le privé a de beaux jours devant lui !

Jean-Claude ROLINAT