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dimanche, 07 février 2016

Juste avant son arrestation hier à Calais, le Général Piquemal s'exprimait...

Publié par Guy Jovelin le 7 février 2016

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Quelques secondes après il sera interpellé par les forces de répression du régime. L'odieuse cumularde Bouchard (Les Républicains), qui sert encore de maire à Calais, s'est félicitée de cette répression contre les patriotes...

CALAIS | Arrestation du général Piquemal (MàJ : Déclaration du général avant son arrestation)

 Publié par Guy Jovelin le 7 février 2016

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Christian Piquemal, général de corps d’armée à la Légion étrangère de 1994 à 1999, a été arrêté avec une vingtaine de manifestants lors d’une manifestation organisée par PEGIDA mais interdite par la préfecture.

 

Source : http://www.ndf.fr/

 

samedi, 06 février 2016

Montauban : Brigitte Barèges conteste sa mise en examen... devant la justice

Publié par Guy Jovelin le 6 février 2016 

L'avocat de la maire (LR) de Montauban a entamé une procédure pour faire annuler sa garde à vue et sa mise en examen de juin 2015 dans un affaire d'emploi fictif. Dans le même temps, d'autres enquêtes judiciaires sont menées dans la galaxie de l'hôtel de ville de Montauban. 

 
Brigitte Barèges © Remy Gabalda / AFP

© Remy Gabalda / AFP Brigitte Barèges

 
La maire de Montauban, Brigitte Barèges a contesté devant la justice sa garde à vue et sa mise en examen de juin dernier, dans une affaire d'emploi fictif présumé et la Cour d'appel de Toulouse, qui a examiné ce recours jeudi 4 février a mis sa décision en délibéré a indiqué la mairie dans un communiqué publié vendredi 5 février.

Le principe même de la mise en examen contesté

Brigitte Barèges et son avocat Maitre Laurent Decaunes ont déposé "une requête en nullité de la garde à vue et de la procédure de mise en examen, et une question prioritaire de constitutionnalité". Sur le sujet de la mise en examen, c'est carrément le principe même de cette procédure que l'élue et son conseil contestent : "l’article 80-1 du code de procédure pénale qui permet au juge d’instruction de mettre en examen, est un article qui n’a jusqu’à présent jamais fait l’objet d’un examen par le Conseil Constitutionnel, alors pourtant qu’il contrevient à la Constitution. Le point de droit qui est soulevé est le fait de faire reconnaitre au Conseil Constitutionnel que ce pouvoir donné au juge d’instruction par l’article 80-1 est en fait un véritable pouvoir juridictionnel et qu’à ce titre donc, il devrait être motivé par le juge après un débat préalable permettant l’exercice des droits de la défense, ce qui n’est pas le cas en l’état du texte"

D'autres affaires en cours

Brigitte Barèges conteste cette procédure au moment où les informations filtrent sur plusieurs nouvelles enquêtes financières menées autour de l'hôtel de ville, comme nous le révélions mercredi 3 février. 
D
es révélations qui sonnent pour Brigitte Barèges comme "un véritable lynchage médiatique sans aucun respect pour les sacro saints principes que tout citoyen, et notamment la presse, devrait respecter : à savoir la présomption d’innocence et le secret de l’instruction" et qui auraient selon elle pour but d'influencer les magistrats toulousains qui vont devoir se pencher sur la nullité de sa mise en examen

Comme on dit traditionnellement sur ce type de sujet : affaire à suivre !
 

La Belgique gonfle ses effectifs et ses moyens contre le radicalisme islamiste

  • Publié par Guy Jovelin le 6 février 2016 

    L’entrée l’agglomération Molenbeek, issus terroristes attentats Paris.

    L’entrée de l’agglomération de Molenbeek, dont étaient issus plusieurs terroristes des attentats de Paris. - AFP PHOTO/Emmanuel Dunand

    Le gouvernement belge annonce le recrutement de 1.000 policiers, et la mise en œuvre d’un plan doté de 39 millions d’euros, centré sur plusieurs communes proches de Bruxelles, dont Molenbeek.

La Belgique, montrée du doigt après les attentats qui ont ensanglanté Paris, semble avoir décidé, près de deux mois de après les événements, de prendre à bras-le-corps le problème de sécurité national et européen liée au radicalisme djihadiste. Le gouvernement belge a annoncé vendredi le recrutement d’ici 2019 de 1.000 policiers supplémentaires pour la lutte contre le terrorisme, et un plan doté de 39 millions d’euros pour contrer le radicalisme dans plusieurs communes proches du canal de Bruxelles, dont Molenbeek.

Les recrutements de policiers fédéraux s’échelonneront au cours des prochaines années - 300 en 2016, 500 en 2017 - pour atteindre le nombre de 1.000 en 2019, a indiqué le gouvernement belge, selon lequel la mesure aura un coût de 300 millions d’euros.

Ces policiers auront pour mission « d’appréhender les différents phénomènes criminels en lien avec le terrorisme », selon le gouvernement.

« Nettoyer Molenbeek »

Le conseil des ministres a également débloqué 39 millions d’euros au bénéfice de la police et de la justice dans le cadre d’un plan d’action contre « la radicalisation, l’extrémisme violent et le terrorisme dans la zone du canal » qui relie Bruxelles à l’Escaut.

Le ministre de l’Intérieur, Jan Jambon, avait annoncé au lendemain des attentats du 13 novembre à Paris vouloir « nettoyer Molenbeek », la commune populaire de Bruxelles d’où sont notamment originaires le fugitif Salah Abdeslam et d’où l’était Abdelhamid Abaaoud , tué dans l’assaut de Saint-Denis, près de Paris, le 18 novembre.

Après consultation avec les maires concernés, l’initiative - baptisée « plan canal » - a été étendue à sept autres communes touchées par le radicalisme et qui bordent la voie d’eau: de Vilvorde, au nord de la capitale, à Anderlecht, au sud, en passant par Schaerbeek.

« En début de semaine, les premiers agents supplémentaires ont (déjà) été déployés sur le terrain », a expliqué le Premier ministre Charles Michel à l’issue du conseil des ministres.

Dans son volet policier, le plan prévoit « 160 policiers en plus pour la police judiciaire et 325 pour la police administrative », selon un communiqué officiel.

Le volet justice prévoit des renforts de 110 personnes, notamment pour le parquet de Bruxelles et le parquet fédéral, en charge des affaires de terrorisme, et l’engagement de 12 « spécialistes » pour la Sûreté de l’Etat, le service de renseignement civil belge.

Un suivi plus proche des personnes revenues de Syrie

« On veut un suivi plus proche des +returnees+ de Syrie (volontaires partis combattre dans les rangs jihadistes et revenus en Belgique, NDLR), on va attaquer les criminalités sous-jacentes - trafic de drogue, faux papiers, armes -, l’économie au noir, dont on sait qu’elle sert à financer le terrorisme, et puis mettre des policiers dans la rue pour le maintien de l’ordre », a détaillé à la télévision belge le ministre Jan Jambon.

La piste belge est apparue immédiatement après les tueries du 13 novembre à Paris (130 morts et des centaines de blessés), revendiquées par l’Etat islamique (EI).

Depuis la mi-novembre, 11 personnes ont été arrêtées et inculpées en Belgique dans le cadre de l’enquête.

Source AFP



Marine Le Pen remporte le prix 2015 du menteur en politique

Publié par Guy Jovelin le 6 février 2016

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RECOMPENSE La présidente du Front national, «primée» pour une série d'affirmations fauses sur les migrants et le djihadisme, succède à Nicolas Sarkozy, président des Républicains…

Marine Le Pen, le 7 janvier 2016 à Nanterre.

C’est un prix dont la patronne du Front national se serait bien passée. Après Nicolas Sarkozy l’an dernier, Marine Le Pen s’est vu décerner le prix 2015 du menteur en politique « pour son accumulation d’affirmations fausses sur les migrants (par exemple sur l’ampleur de la vague d’arrivants, sur leur sexe et leurs motivations, sur le faux assaut de migrants contre des pompiers à Calais, par martelage de cette question lors des régionales alors que ce n’est pas une compétence régionale…) ou sur le djihadisme. »

Une distinction décernée avec humour qui vise, selon son concepteur le politologue Thomas Guénolé, à « inciter la classe politique à moins mentir », à « sensibiliser le journalisme politique à l’importance du fact-checking », et à « encourager le grand public à vérifier la véracité de ce que dit le personnel politique ».

 

Source : www.20minutes.f