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mardi, 09 février 2016

Roger Holeindre aux côtés du Général Piquemal

Publié par Guy Jovelin le 9 février 2016

Voici le communiqué de Roger Holeindre, président du Cercle National des Combattants, ancien député :

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Le 6 février dernier, le général Chistian Piquemal, ancien « patron » de la Légion Étrangère, ancien président de l’Union Nationale des Parachutistes (UNP) et ami notoire de notre Cercle a eu le courage de s’opposer publiquement à une interdiction de manifestation à Calais. Ce faisant, le général Piquemal n’a pas hésité à s’opposer aux autorités gouvernementales au nom de l’intérêt supérieur du pays, notre pays, la France. Nous lui en saurons toujours gré. Précisons que Calais – ville française ? – est devenue, de fait, une enclave soumise à un autre droit que le droit français légal, ville dont les habitants de certains quartiers sont devenus des otages en puissance que la force publique n’est plus en mesure de protéger. Le scandale est patent.

Le rassemblement entièrement pacifique qui s’est opéré autour du général Piquemal le 6 février dernier était là, comme dans d’autres villes de France, pour justement dénoncer ce scandale. Alors que les trois sommations d’usage avaient été effectuées, le général, dans une adresse aux forces de l’ordre, plus particulièrement en direction des gendarmes présents qu’il traita de « frères d’armes », venait de donner la consigne de dispersion de la manifestation et allait achever son discours, un groupe de policiers en tenue se précipita, l’encercla et, sans ménagement, bousculant même une personne âgée, s’empara de sa personne… Ce, en vue d’une comparution immédiate.

Dans cette affaire, les provocations délibérées sont multiples :

  • le deux poids deux mesures systématique pour l’autorisation de manifester malgré l’état d’urgence, les casseurs gauchistes manifestent et cassent joyeusement ;
  • les manœuvres de désinformation de la part des autorités et de la presse serve au sujet de la nature de cette manifestation de Calais ;
  • les persécutions en tous genres, y-compris fiscales, contre les associations qui déplaisent, comme actuellement nos amis de CIVITAS ;
  • l’interpellation abusive et médiatisée d’un officier général populaire dans le milieu combattant…

Malgré notre indignation légitime, sachons garder le moral et la sagesse des vieilles troupes et ne cédons pas à ces provocations qui visent à nous faire sortir de nos gonds et à manifester bruyamment notre réprobation, ce qui serait le prétexte attendu pour nous faire dissoudre. Rappelons-nous du 6 février 1934 qui servira de prétexte à la dissolution par le gouvernement de tout un ensemble de ligues et associations patriotes, le tout couvert, comme toujours, par le mensonge officiel qui s’imposa par la suite comme vérité…

Ne tombons pas dans leur piège, soyons patients, le régime actuel, à l’agonie, se délite peu à peu…

 

Source : http://www.medias-presse.info/

"Combien de Vincent faudra-t-il pour qu'on entende enfin la douleur des enseignants ?"

Publié par Guy Jovelin le 9 février 2016

Dans une lettre ouverte, des enseignants du collège Hubertine Auclert de Toulouse reviennent sur le suicide d'un de leur collègue, enseignant-stagiaire de mathématiques. Ils dénoncent la violence au quotidien et le manque d'encadrement des enseignants qui débutent. 

 
Le collège Hubertine Auclert de Toulouse © Google Maps

© Google Maps Le collège Hubertine Auclert de Toulouse

 
Des enseignants du collège Hubertine Auclert dans le quartier de Croix-Daurade à Toulouse ont écrit une longue et émouvante lettre ouverte (lire l'intégralité dans l'encadré ci-dessous) après le suicide d'un collègue, un jeune professeur stagiaire de mathématiques de 27 ans, qui a mis fin à ses jours fin janvier. 

Ses collègues estiment que c'est le climat délétère et la violence quotidienne dans ce collège qui ont poussé le jeune professeur à bout. Ils reprochent au rectorat de sous-estimer la situation dans ce collège récent et de refuser de lui allouer les moyens nécessaires. 

"Quel mépris pour notre métier et le travail accompli !, écrivent-ils quand ils apprennent que pour l'éducation nationale, ce collège n'est pas connu pour de grandes difficultés.Quelle méconnaissance de la situation de notre établissement, alors même que le Rectorat est en possession de l'état des lieux déplorable dressé en 2014! Par ailleurs on nous propose un soutien psychologique individuel, là où nous dénonçons un dysfonctionnement institutionnel". 

En février 2014, déjà, certains enseignants du collège Hubertine Auclert s'étaient mis en grève pour réclamer des moyens pour lutter contre la violence dans l'établissement. 

Des enseignants réclament le classement du collège en zone d'éducation prioritaireou l'exclusion des élèves les plus difficiles. "On ne peut pas ballotter ces quelques élèves d'un établissement à un autre, ni mettre un surveillant derrière chaque enfant. il faut valoriser les bonnes pratiques des enseignants, comment se comporter face à l'irrespect", leur a répondu Jacques Caillaut, inspecteur d'académie chez nos confrères de France Bleu Toulouse
La lettre ouverte d'enseignants du collège Hubertine Auclert (texte intégral)

Notre jeune collègue de mathématiques a mis fin à ses jours mercredi 27 janvier 2016. Il avait 27 ans et commençait tout juste dans le métier. Vincent était professeur stagiaire en mathématiques, tout comme Anne-Marie, comme Alice en français, ou Ana et Georges en anglais. L'équipe enseignante avait pourtant demandé au Rectorat, en juin dernier, de ne plus affecter de stagiaires dans notre collège. Personne ne peut ignorer les conditions difficiles dans lesquelles nous exerçons notre métier: insultes, incivilités, coups portés sur les adultes, dégradations des locaux, déclenchements incessants de l'alarme incendie, violence dans la cour, en classe ou devant le collège, harcèlements conduisant certains élèves à des absences répétées voire à des départs de notre établissement. Il se tient dans le collège plus de 15 conseils de discipline par an, et tout autant ne sont pas tenus pour faire baisser les chiffres... Il faut regarder les choses en face.

En quatre ans nous avons obtenu la création d'un poste supplémentaire de CPE. Or depuis notre dernière audience au rectorat en 2014, la situation, déjà préoccupante à l'époque, s'est fortement aggravée. L'Équipe Mobile de Sécurité a fait acte de présence de temps à autre, en simple observateur dont nous n'avons jamais lu les conclusions. Rien de plus. Aucun label ZEP, REP, Eclair ou autre, qui permettrait d'alléger les effectifs en classe, d'apporter des réponses à la violence et aux difficultés des élèves. On nous dit que le label fait peur, qu'il risque de pousser certains élèves vers le privé, de faire disparaître pour de bon la mixité sociale. Dans les faits, de nombreux élèves de CM2 évitent notre collège et partent dans le privé. D'autres le quittent en cours d'année, excédés, effrayés par le comportement des camarades et l'absence, de la part de l'institution, de réponse rassurante et de nature proprement éducative. Les professeurs stagiaires, l'an dernier, ont démissionné: celui de mathématiques en décembre 2014 puis celle de français en janvier 2015. Personne ne s'en est ému.

En septembre dernier, ils étaient cinq stagiaires, emplis d'espoir et d'appréhension à la fois, mais la foi a vite cédé la place au désenchantement et à l'angoisse la plus profonde. La réalité du terrain est cruelle: confrontation permanente au bruit et à l'indiscipline, difficulté voire impossibilité de faire cours, furie des élèves dans les couloirs, dans la cour de récréation ou au réfectoire, violence verbale et physique à l'encontre des adultes ou des élèves eux-mêmes, mépris affiché de l'autorité. Les rapports s'amoncellent, symptôme de l'impasse dans laquelle l'institution se trouve. Au final, quelle solitude pour chacun lorsqu'il se retrouve seul dans sa salle de classe! Quelle absence de reconnaissance de la part de notre hiérarchie, nous renvoyant sans cesse à notre responsabilité individuelle, remettant en cause nos compétences, nous rappelant que nous sommes « des professionnels et non des personnes » alors même qu'on nous somme d'incarner « la bienveillance » en toute situation! On nous punit même comme des enfants! On nous interdit même, dans une telle situation, l'exercice de notre droit de retrait!

Le soutien apporté par le collège n'aura pas suffi à aider Vincent. Aujourd'hui nous crions notre colère et notre désespoir. Quelle réponse nous est faite? Le secrétaire général adjoint de l'académie, M. Jean-Jacques Vial, a témoigné dans la presse locale, il considère que lier ce suicide à nos conditions de travail relève d'un «raccourci un peu grossier». L'article qualifie le collège Hubertine Auclert (affublé d'une belle faute d'orthographe) d'«établissement pas connu pour être compliqué». Quel mépris pour notre métier et le travail accompli! Quelle méconnaissance de la situation de notre établissement, alors même que le Rectorat est en possession de l'état des lieux déplorable dressé en 2014! Par ailleurs on nous propose un soutien psychologique individuel, là où nous dénonçons un dysfonctionnement institutionnel.

Le jour de ses obsèques, nous avons appris que Vincent était malade: son dossier médical n'était pas un secret pour l'institution. En toute connaissance de cause, il n'aurait jamais dû être envoyé dans notre collège. Le métier d'enseignant requiert une solidité certaine. Mais à l'heure où il faut absolument mettre des adultes dans les classes, on fait peu de cas de la santé mentale de chacun. Professeurs stagiaires, contractuels ou titulaires sont placés çà et là, qu'ils connaissent, ou pas, la réalité du terrain, qu'ils soient préparés, ou pas, à vivre les situations les plus déstabilisantes, qu'ils aient les épaules, ou pas, pour esquiver les coups. Une fois la porte de la classe fermée, les souffrances sont étouffées: on nous demande coûte que coûte de garder tous les élèves en classe, y compris ceux qui nous insultent et qui empêchent le cours de se dérouler. Et même si les souffrances parviennent jusqu'en salle des professeurs, muselées, elles ne passent pas la porte de l'établissement. Les enseignants souffrent en silence. Nos ministres nous imposent sans cesse de nouvelles réformes, comme des réponses à tous les maux. Nos pratiques pédagogiques ne sont jamais les bonnes, nous sommes, dit-on, responsables de ce qui nous arrive...

En tout cas, nous nous sentons collectivement responsables du décès de notre collègue. Personne n'a su préserver son intégrité physique et morale; personne, surtout pas le grand appareil de l'État.

Combien de Vincent faudra-t-il pour qu'on entende enfin la douleur des enseignants?

Un collectif de professeurs du collège Hubertine Auclert de Toulouse, le 1er février 2016

 

Source : http://france3-regions.francetvinfo.fr/

FN 66 - Après Font, Kortanek claque aussi la porte

Publié par Guy Jovelin le 9 février 2016

 L’ex-conseillère régionale frontiste, Irina Kortanek, aujourd’hui conseillère d’opposition à Bompas, ne veut plus de l’étiquette FN. Irina Kortanek, encartée depuis 2007 mais qui a "toujours voté FN", dit ne pas avoir renouvelé son adhésion.

Et cogne, fort, sur Louis Aliot : "Il semble oublier qu’un de ses sports favoris consiste à se faire élire, quel que soit le mandat, mais de préférence bien rétribué, d’encaisser les indemnités et de battre ensuite des records d’absentéisme". Kortanek digère mal l’arrivée, suivie de l’élection à la Région, de l’ex-UMP Jean-François Fons : "L’ouverture c’est bien mais il y a des limites, il ne faut pas que ça devienne le rassemblement des petits copains ! J’ai découvert la liste des Régionales dans la presse sans qu’on m’en ait parlé avant."

Après Clotilde Font à Perpignan, c’est le second élu frontiste qui se désolidarise du FN 66.

"Qu’elles démissionnent !"

De quoi faire réagir les "cadres et élus" de la fédé catalane qui demandent"solennellement à ces deux élues de respecter les électeurs en démissionnant de leurs mandats. Nous rappelons qu’elles ne doivent leurs sièges qu’à l’investiture du FN ou RBM, et leurs responsabilités à l’aval de Louis Aliot". "Qu’ils demandent ce qu’ils veulent, ce ne sont pas eux qui m’ont élue et je garde mon mandat",réagit Kortanek.

Même inflexibilité chez Clotilde Font : "Je ne démissionnerai d’aucun mandat !" Font est aussi conseillère communautaire. Elle lance par ailleurs son association, "Évolution 66", pour continuer à fédérer autour d’elle : "J’ai beaucoup de monde autour de moi".

 

Source : http://www.lindependant.fr/

SERAIT-IL POSSIBLE QU’UN JOUR UN « PENSEUR » DIFFÉRENTIE LE POPULISME DE « L’EXTRÊME DROITE » ?

 Publié par Guy Jovelin le 9 février 2016

 

2941283946.jpgDr Bernard Plouvier

Lorsqu’à l’Assemblée, auto-proclamée Constituante en juillet 1789, on disposa les places de députés (ceux-là même qui avaient été envoyés aux États Généraux du royaume de France), les réactionnaires, partisans de la poursuite de l’institution monarchique de droit divin, siégèrent à l’extrême-droite du fauteuil présidentiel… depuis lors, l’on a toujours – et très justement – assimilé l’extrême-droite au conservatisme politique, économique et social.  

À dire vrai, certains monarchistes des années 1830 à 1914 étaient partisans de l’établissement de lois sociales et d’un salaire équitable. Certains d’entre eux inspirèrent à Léon XIII son encyclique Rerum novarum, rendue publique le 15 mai 1891… qui effraya tant le patronat européen. En France, ce patronat était généralement républicain, volontiers de tendance « radicale », voire affilié au Grand-Orient, mais ses membres ne voulaient ni de réformes sociales ni d’augmentation notable des salaires. L’histoire réelle – pas celle enseignée dans nos écoles & facultés – offre de petites joies au chercheur !

Comment qualifier des patriotes (voire des « nationalistes chauvins ») qui veulent améliorer le statut culturel et le pouvoir d’achat des couches les plus pauvres de la Nation ? Par le nom d’Extrême-droite, nous dit-on… mais pour un observateur lucide, cette appellation devrait plutôt être attribuée à un patronat rétrograde, qui permet, par son immobilisme et son égoïsme, aux marxistes, aux socialistes de salons et aux permanents syndicaux de donner périodiquement de la voix, justifiant ainsi leur existence et leur gagne-pain : sans patronat stupide et arriéré, pas de gauche ni d’extrême-gauche ! L’un et l’autre s’entretiennent en une cynique interaction, dont les pauvres font les frais. À octroyer trop vite de décentes conditions de vie au bon peuple, on risquerait de mettre au chômage les démagogues.

De nos jours, les deux groupes complices (patronat et pseudo-gauche) soutiennent l’immigration-invasion, utile pour fournir des travailleurs engagés à bas coût par les patrons – qui ne reculent pas devant l’emploi de « clandestins » davantage sous-payés encore -, utile pour gonfler des effectifs syndicaux désertés par des autochtones désabusés. Tous hurlent auprès des mols politiciens pour que l’on accroisse par des allocations de toutes sortes les bas salaires, ce qui est excellent pour la consommation, donc au premier chef pour la grande distribution.

Pour désigner les hommes et les femmes qui refusent l’invasion de la patrie par des éléments extra-européens, violents, incultes, importateurs d’une religion conquérante et meurtrière par son Djihâd (recommandé à tout musulman en bonne santé), ces patriotes qui réclament la priorité d’embauche pour les nationaux, une meilleure protection de la production nationale exposée à une concurrence extra-européenne qui bénéficie d’un dumping d’État ou de l’exploitation – selon nos critères européens – de populations encore peu exigeantes… pour les désigner, plutôt que d’user à tort du qualificatif d’extrême-droite (qui sous-entend un conservatisme économique et social), il convient de parler de Populisme, soit une doctrine de promotion de la culture en milieu populaire, de revalorisation du travail manuel, d’exigence d’un juste salaire – adapté à la qualité et à la quantité du travail fourni par chacun… bref, comme l’ont écrit divers théoriciens depuis le Moyen Âge, c’est une doctrine qui se résume par l’expression : à chacun selon son dû.  

On conçoit que ne soit guère à l’honneur cette notion très démocratique, qui définit la méritocratie, en une Europe des Économies Unies dans le cadre de cette économie globale et de cette mondialisation des vies politiques et sous-culturelle, qui sont plus proches de la merdocratie que de la méritocratie.

 

Source : http://synthesenationale.hautetfort.com/

A méditer :

Publié par Guy Jovelin le 9 février 2016

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