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lundi, 18 avril 2016

Paris – L’extrême gauche traque les reporters de Russia Today

Publié par Guy Jovelin le 18 avril 2016

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Paris – Les antifas diffusent sur les réseaux sociaux  des photos de journalistes de la chaîne de télévision Russia Today appelant à les agresser.

Les reporters de Russia Today France, qui couvrent en direct les manifestations contre la Loi travail via l’application Périscope, reçoivent des menaces de la part des militants d’extrême-gauche.

Un journaliste de RT France s’est déjà fait agresser le 14 avril durant un reportage en direct pendant une manifestation contre la Loi travail à Paris.

Ci-dessous le tweet significatif d’un membre du mouvement Blocus Paris :

image: http://media.medias-presse.info/wp-content/uploads/2016/04/chasse-aux-reporters.jpg

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Source : http://www.medias-presse.info/

Général Soubelet : dire la vérité aux Français plutôt qu’à l’État

Publié par Guy Jovelin le 18 avril 2016

Le général Soubelet paye sa franchise et son honnêteté qui l’ont amené à dépasser son devoir de réserve de militaire.

Pendant que le Conseil d’État se dépatouille pour trouver un statut juridique aux fameux lanceurs d’alerte, il en est un qu’il faudrait protéger avec cette nouvelle et splendide définition (« Un acteur civique qui signale, de bonne foi, librement et dans l’intérêt général, des manquements graves à la loi ou des risques graves menaçant des intérêts publics ou privés, dont il n’est pas l’auteur ») : le général Soubelet.

Le général de gendarmerie Soubelet a déjà été décrié en 2013 pour avoir averti l’Assemblée nationale de la catastrophique situation de la délinquance des mineurs : entre moyens inadaptés et récidives, rien n’aura été épargné à une commission d’enquête qui n’en menait pas large. Jean-Marc Ayrault, Premier ministre, aurait affirmé « vouloir la tête » du général en question. Chose promise, chose due : le général, pour avoir dit la vérité devant un parterre de personnes qui préfèrent se complaire dans le mensonge, a été muté au commandement de la gendarmerie d’outre-mer.

Mais le brave homme a récidivé récemment en publiant un livre, Tout ce qu’il ne faut pas dire. Insécurité, justice : un général de gendarmerie ose la vérité, afin de révéler au peuple tous les abus et petits secrets que le gouvernement souhaite garder dans l’ombre. Cette publication a provoqué beaucoup d’émoi en haut lieu et la hiérarchie a placé le général temporairement « hors cadre » (en attente, sans doute avec un rôle de chargé de mission), le temps qu’une commission statue sur son compte. Cette commission aura, d’ailleurs, pour but de décider si le général doit toujours bénéficier des faveurs de la hiérarchie pour son avancement ou non (devinez !)… L’obligation de réserve du militaire reste un principe flou, qui peut engloutir tous ceux qui ne pensent pas comme tout le monde ou ceux qui disent une vérité qui n’est pas bonne à exprimer.

Ainsi, le général Soubelet paye sa franchise et son honnêteté qui l’ont amené à dépasser son devoir de réserve de militaire : il avait le choix entre savoir et se taire ou faire savoir et être mis au ban.

Rappelons également que ce haut gradé militaire (quatre étoiles) est un héros malgré lui : pris entre deux feux lors de son audition parlementaire de 2013, il devait soit dire une vérité que personne n’avait envie d’entendre, soit l’édulcorer par une langue de bois que les parlementaires réclamaient pour pouvoir, une fois de plus, mentir au peuple. Comme quoi, même accomplir un devoir de citoyen correctement peut vous mettre en défaut par rapport au pouvoir qui l’exige et l’impose.

La grande muette, finalement, arrive encore à parler avec raison ! Le projet d’élimination des officiers qui donnent un avis différent ou un point de vue différent est toujours en place : la fameuse doctrine du« réfléchir, c’est désobéir » reste encore bien ancrée mais se fendille de plus en plus. Bon vent et bravo, Général, pour ces beaux actes de vérité, dans un monde qui ne la désire plus depuis bien longtemps !

 

Source : http://www.bvoltaire.fr/

dimanche, 17 avril 2016

L’ensauvagement de la France : des rixes de migrants du métro parisien au harcèlement scolaire

Publié par Guy Jovelin le 17 avril 2016

Ces hommes censés fuir la guerre semblent l’importer dans notre pays.

 
Nous assistons à l’ensauvagement progressif de la France. Progressif à l’échelle de nos vies mortelles, fulgurant à l’échelle de l’Histoire. Sous les effets conjugués du laxisme et de l’immigration massive, la tiers-mondisation du pays n’est plus désormais le seul « fantasme » de Jean Raspail et Louis Pauwels, vilipendés en 1985 pour avoir osé jouer les Cassandre avec une certaine prescience, mais un phénomène observable sur lequel nous n’avons, pour lors, aucune influence. Les exemples prouvant cet ensauvagement sont multiples, il faudrait un véritable almanach pour les recenser. Deux d’entre eux ont attiré mon attention cette semaine ; ils sont éminemment révélateurs.

Jeudi soir, deux « rixes » sont survenues sous la station du métro aérien Stalingrad à Paris. Depuis le début du mois de mars, des centaines de « migrants », originaires de plusieurs régions du monde (Érythrée, Soudan ou bien encore Afghanistan), campent à cet endroit. La cohabitation est difficile entre ces migrants aux origines ethnoculturelles variées, mais tout sauf européennes. Inévitablement, des tensions se font fait jour pour le contrôle du territoire, des trafics, la domination d’une communauté.

Comme le disait le philosophe anglais Thomas Hobbes : « À l’état de nature, l’homme est un loup pour l’homme (…) » Livrés à eux-mêmes, sans règles, sans menaces de sanctions ou d’expulsions, les migrants sont revenus à l’état de nature. Au cœur de cet inframonde barbare, la loi est la force. D’où ces bagarres de grande ampleur. Une vidéo diffusée par le journal Le Parisien en témoigne : jets de palettes, hurlements monstrueux, coups de bâtons…

Ces hommes censés fuir la guerre semblent l’importer dans notre pays. La brigade anticriminalité de nuit (BAC N) en a d’ailleurs fait les frais, accueillie par une volée de projectiles lancés par un migrant ivre. Les riverains sont sous le choc, une habitante du quartier déclarait ainsi au Parisien : « Jamais il n’y avait eu de violences, jusqu’à présent. Là, c’était vraiment impressionnant. » La crise migratoire amène au milieu de la capitale ce que les habitants des banlieues perdues connaissaient déjà : la violence, l’arbitraire de la rue, le chaos des ensembles multiculturels qui ne font pas société. Les Parisiens peuvent aussi enfin observer ce que signifie l’impuissance d’un État qui a renoncé à sa souveraineté, à son pouvoir d’agir. En effet, le 30 mars dernier, Bernard Cazeneuve et Anne Hidalgo annonçaient le démantèlement du camp. Quinze jours plus tard, les envahisseurs reprenaient leurs droits, installant matelas et tentes de fortune.

L’autre cas qui a retenu mon attention concerne une jeune fille, une très jeune fille. Sandra, âgée de 12 ans, a été littéralement torturée par des « camarades » à la sortie de son collège à Créteil, en banlieue parisienne. À la sortie des classes, plusieurs jeunes filles de son âge lui ont demandé la somme de 170 euros. Elle n’avait pas cette somme. Un déchaînement de violence d’une intensité sans nom s’est alors abattu sur la collégienne, menacée à l’aide d’un couteau de boucher : brûlures de cigarettes, lacérations, coups de genoux au visage, humiliations (les tortionnaires se sont filmées en train de lui uriner dessus et l’ont forcée à voler dans des magasins)… Laissée pour morte, à moitié nue sous une voiture, il lui restait à peine la force nécessaire pour rentrer au domicile parental.

Ce cas sinistre montre une autre facette de l’ensauvagement généralisé. Quel monde laisserons-nous à notre descendance ? Une France ruinée économiquement, vidée de son peuple, oublieuse de sa culture, envahie ? Notre pays est gouverné de l’extérieur, mais, avant tout, il s’effondre de l’intérieur. Le chronomètre tourne…

 

Source : http://www.bvoltaire.fr/

La construction du mur israélien à Crémisan, en Palestine, continue dans une indifférence quasi-générale. La condamnation du patriarche de Jérusalem

Publié par Guy Jovelin le 17 avril 2016

mur_palestineIl est des murs dont on parle sur tous les médias mainstrean, qui sont dans toutes les bouches des clercs et des laïcs bien-pensants pour être condamnés et voués aux gémonies même s’ils n’ont pour but que de protéger des populations autochtones établies sur leurs terres depuis des millénaires. Et il est des murs qui se construisent dans la quasi-indifférence la plus totale, qu’il est politiquement incorrect de dénoncer alors qu’ils provoquent l’expropriation de familles chrétiennes installées elles-aussi depuis deux millénaires. Il y a les soi-disant « réfugiés » qui déferlent en Europe, la plupart musulmans, sur qui on pleure. Et il y a les Palestiniens chrétiens, qui veulent rester chez eux, qui meurent !

« Située entre les villes de Jérusalem, Beit Jala et Al Walaja, Crémisan est une vallée riche de plusieurs siècles d’histoire. Elle abrite deux couvents salésiens, l’un de religieux, l’autre de religieuses, qui courent le risque d’être séparés si les Autorités israéliennes poursuivent leur projet de construction du mur.

La vallée abrite également les maisons et les propriétés de 58 familles palestiniennes qui risquent l’expropriation forcée (…) Elles risquent d’être coincées dans le no man’s land, comme tous les Palestiniens qui, depuis la construction du mur de séparation en Cisjordanie, vivent dans la Seam Zone, zone charnière, du côté israélien. Certaines de ces 58 familles, la plupart d’entre elles chrétiennes – resteront du côté israélien de la barrière et perdront le libre accès à leurs terres agricoles, du côté israélien elles aussi mais dans un espace devenu interdit. (…) Ces familles seront obligés d’utiliser une porte spéciale, construite dans le mur de séparation et ouverte par l’armée trois fois par jour à heures fixes (…) Israël a commencé la construction de la “barrière de sécurité” en Cisjordanie en 2002 pour des “raisons de sécurité”.

Une grande partie de cette barrière se compose d’une clôture métallique avec capteurs, mais dans les zones urbaines et autour de Jérusalem, elle prend la forme d’un mur en béton, de 6 à 10 mètres de haut. (…) Mais cette barrière – de métal ou de béton – pénètre dans le territoire palestinien et en annexe de facto une partie importante, comme à Bethléem et Beit Jala. (…) La vallée de Crémisan est bien représentative de ce phénomène. » (Terra Santa.net)

Le jeudi 2 avril 2015, après 9 années de bataille légale, la Cour suprême israélienne a finalement  émis son verdict final, en faveur des chrétiens de la région, sur la vallée de Crémisan, menacée depuis 2006 par la construction du mur de sécurité. La cour a « jugé préjudiciable pour la population locale et les monastères de la vallée » la construction du mur prévue par l’armée israélienne. « Le tracé du mur, comme suggéré par le ministère de la Défense, n’est pas l’unique possibilité qui permette de garantir la sécurité en nuisant le moins possible, conformément à la loi Administrative israélienne. »

Verdict rendu mais verdit non appliqué. La construction se poursuit d’où un communiqué de presse le 8 avril 2016 du patriarche latin de Jérusalem « affligé face à l’injustice faite aux familles chrétiennes » :

« COMMUNIQUELes travaux de construction du mur de séparation à Crémisan s’intensifient en ce début du mois d’avril 2016. Après les pelleteuses et les bulldozers, ce sont désormais des grues qui plantent des pans de bétons de huit mètres de haut dans la terre de cette vallée qui abritait autrefois des oliviers pluriséculaires.

Le Patriarcat latin de Jérusalem fait part de sa profonde déception quant à la poursuite des travaux et réitère la condamnation de cette opération menée par les forces israéliennes.  La construction d’un mur de séparation et l’injuste confiscation de terres appartenant à des familles chrétiennes de Beit Jala constituent une violente offense au processus de paix.

Le Patriarcat latin en appelle, une fois de plus, aux autorités israéliennes afin que les travaux cessent et que justice soit faite aux habitants de la vallée. La Cour Internationale de Justice a jugé le 9 juillet 2004 illégale la construction du mur et exigé son démantèlement, de même que l’Assemblée générale de l’ONU.

Ce mur n’a aucune justification d’ordre sécuritaire comme l’avait d’abord souligné un an plus tôt, en avril 2015, la Cour Suprême israélienne elle-même, suscitant à l’époque de nombreux espoirs.

Exproprier ces familles chrétiennes de leurs terres revient à leur confisquer leur héritage et contribue davantage au déracinement des chrétiens de cette région.

Patriarcat latin de Jérusalem »

Francesca de Villasmundo

 

Le pape a ramené de Lesbos 3 familles de musulmans avec lui… Pas un seul chrétien!

Publié par Guy Jovelin le 17 avril 2016

protégés du pape

Le chef de la chrétienté a choisi de favoriser 13 réfugiés musulmans -pas un seul des nombreux persécutés chrétiens- pour les ramener en Europe. Ils seront hébergés au Vatican après avoir voyagé avec lui dans son avion qui le ramènait aujourd’hui de Lesbos en Grèce où il est allé plaider pour que tous ceux qui le désirent puissent rentrer en Europe. Photo des protégés du pape à l’aéroport de Mytilène en Grèce.

Trois familles de réfugiés syriens musulmans sont montées à bord de l’avion du pape François, samedi après-midi, au terme de sa visite sur l’île grecque de Lesbos. «Le pape a souhaité adresser un signe d’accueil aux réfugiés, en revenant à Rome accompagné de trois familles de réfugiés syriens, soit 12 personnes au total, dont dix enfants», a déclaré le Vatican dans un communiqué.

Il s’agit de trois familles, deux originaires de Damas et l’autre de Deir Azzor, dans les territoires occupés par l’organisation Etat islamique (EI), précise le Vatican.

Selon les autorités grecques, ces familles, considérées comme «vulnérables», étaient hébergées au camp ouvert de Kara Tepe. «Il s’agit de personnes qui se trouvaient déjà dans les camps d’accueil de Lesbos avant l’accord entre l’Union européenne et la Turquie», ouvrant la voie au renvoi des arrivants vers Ankara, affirme le Vatican, qui évoque un accord entre le Saint-Siège et les «autorités compétentes grecques et italiennes».

L’accueil des trois familles sera pris en charge par le Vatican, aidé dans un premier temps par la communauté de Sant’Egidio, organisation catholique proche du Vatican. Le tout petit Etat du Vatican, qui compte moins d’un millier d’habitants, héberge déjà deux familles de réfugiés. (Source)

Il faudra donc que François veille à leur faire construire une mosquée au cœur de l’État du Vatican afin que ses protégés puissent prier Allah, sinon il n’y aurait plus de liberté religieuse! Il faut croire qu’il ne se trouvait pas un seul chrétien à Lesbos pour inspirer la compassion paternelle du pape. 

Emilie Defresne

emiliedefresne@medias-presse.info