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samedi, 09 avril 2016

Emmanuel Macron, invité des Amis du CRIF

Publié par Guy Jovelin le 9 avril 2016

Emmanuel Macron CRIF

Roger Cukierman, Président du CRIF, invite les Amis du CRIF à une rencontre « exceptionnelle » avec Emmanuel Macron, Ministre de l’Economie, de l’Industrie et du Numérique, animée par Nicolas Beytout, Directeur de la Rédaction de L’Opinion.

Cette rencontre est prévue le mardi 12 avril 2016 de 19h30 à 21h30 (début de la conférence à 19h45 précises), à l’Hôtel Intercontinental Le Grand, 2 rue Scribe, 75009 Paris.

Le très ambitieux Emmanuel Macron, proche de Jacques Attali, a été banquier d’affaires auprès de Rothschild & Cie avant de devenir ministre. Le jeune énarque y avait rapidement gravi les échelons au point d’y être rapidement nommé associé-gérant.

 

Source : http://www.medias-presse.info/

Écoles et maisons secondaires pour loger les migrants

Publié par Guy Jovelin le 9 avril 2016

2015-04-02 18.53.13.jpgC’est l’idée folle qui a germé dans les esprits déréglés des politiciens au pouvoir en Italie. Face à l’arrivée massive d’immigrés clandestins, le gouvernement italien est à la recherche désespérée de logements pour les accueillir.

Migrants économiques, extra-communautaires, les centres d’accueil de la péninsule en sont saturés et débordent. La crise migratoire est destinée à s’aggraver avec l’arrivée de la belle saison qui, comme on peut s’en douter, favorise les voyages de l’espérance !

270 000 migrants, et c’est une estimation au plus bas, sont attendus. Selon une indiscrétion recueillie par Affaritaliani.it, le ministère de l’Intérieur italien et le président du Conseil sont entrain d’élaborer une solution autre que les tentes et les casernes : réquisitionner les maisons secondaires vides pour une période limitée à deux mois en échange d’une indemnisation payée avec les fonds de l’Union européenne ou l’utilisation des écoles fermées pendant la période estivale. Toutes deux des mesures extrêmes et impopulaires. Le recours à des édifices publics vides est aussi à l’étude.

Dans certaines localités italiennes ces mesures ont déjà été adoptées de façon officieuse.  Malgré la colère des habitants. Colère que les bonnes consciences n’entendent pas et ne veulent pas voir !

Francesca de Villasmundo



Source : http://www.medias-presse.info/

Hillary Clinton déclare que les enfants n’ont pas de droits tant qu’ils ne sont pas nés

Publié par Guy Jovelin le 9 avril 2016

planned-parenthood-hillary-clinton

Hillary Clinton, candidate à la primaire du Parti démocrate pour l’élection présidentielle et ancien secrétaire d’Etat de Barack Obama, extrêmise encore sa position en faveur de l’avortement, en assurant que l’enfant à naître n’a pas de droits constitutionnels.

Interviewée le 3 avril dans l’émission Meet the Press sur NBC, la candidate a été interrogé sur les droits constitutionnels de l’enfant dans l’utérus. « Eh bien, en vertu de nos lois, maintenant, ce n’est pas quelque chose qui existe» et elle a réaffirmé que « la personne à naître n’a pas de droits constitutionnels« .

Pour Mallory Quigley, directeur des communications de la plate-forme pro-vie Susan B. Anthony List, Hillary Clinton « montre publiquement au lobby de l’avortement qu’elle soutient l’avortement sans restriction». Selon Mallory Quigley, la position de Clinton sur l’avortement est devenue de plus en plus radicale au fil des ans. Cela, refléte ce qui est arrivé dans le Parti démocrate au cours des dernières années.

« Les Clinton –Hillary et son mari, l’ancien président Bill Clinton, ont été célèbres pour avoir normalisé le mantra « sûr, légal et à moindre coût», mais au fil du temps le Parti démocrate est devenu plus extrême, en supprimant le «moindre coût» et en insérant  «sans nécessiter de payer», signifiant que les frais seront payés par le contribuable« .

Mallory Quigley rappelle que le couple Clinton, de même que Bernie Sanders, ont promu dans le cadre de leur campagne «l’avortement sur demande et sans restriction« .

Kristen Day, directeur exécutif des Démocrates pro-vie, note que de nombreux électeurs américains, y compris parmi ceux qui défendent l’avortement, considèrent qu’il faut des conditions strictes pour autoriser l’avortement après 20 semaines de grossesse. La position d’Hillary Clinton, favorable à un droit à l’avortement sans aucune restriction, semble en opposition avec l’opinion de la majorité du peuple américain.

Clinton  s’entoure de gens qui lui disent que tous soutiennent l’avortement alors que c’est une opinion minoritaire, ce n’est pas ce que pense le reste du pays. « Si vous regardez, tous les Etats adoptent des lois interdisant l’avortement après 20 semaines de grossesse, et suppriment le financement de Planned Parenthood», a déclaré Kristen Day.

Mallory Quigley affirme que c’est la pression de la multinationale Planned Parenthood qui a conduit Hillary Clinton à adopter une position mortifère radicale.

C’est d’autant plus évident que les organismes pro-avortement ont apporté d’importants financements pour la campagne d’Hillary Clinton.

 

Source : http://www.medias-presse.info/

vendredi, 08 avril 2016

ZEMMOUR, BELGHOUL et BARJOT. VÉRITABLE "PAIN BÉNIT" POUR LA DICTATURE.

Publié par Guy Jovelin le 8 avril 2016

Photo de Jean Pierre Aussant.
Photo de Jean Pierre Aussant.
Photo de Jean Pierre Aussant.

ZEMMOUR, BELGHOUL et BARJOT. VÉRITABLE "PAIN BÉNIT" POUR LA DICTATURE.

(Extrait du livre "le complot inconscient") http://www.edilivre.com/le-complot-inconscient-jean-pierre-…

On ne peut qu'approuver le noble combat que mènent Éric Zemmour et Farida Belghoul contre la culture de mort. Cependant, que seul un juif et une musulmane soient autorisés par le système à dénoncer « médiatiquement et officiellement » les deux pierres angulaires de la culture satanique dominante (légalisation de l'avortement et du mariage gay), prouve en creux que tous les autres (c'est à dire les millions de Français catholiques) n'ont pas droit à la parole. Le phénomène « Zemmour-Belghoul » confirme au fond l'existence de l'effroyable dictature culturelle dans laquelle la France ne parvient pas à sortir et cela depuis la révolution. Qui eut cru, que la France, fille ainée de l’Église et avec son histoire chrétienne magnifique, se retrouve déchristianisée et dé-spiritualisée à un tel point qu’un juif et une musulmane viendraient un jour à sa rescousse ? Je ne doute pas de l’honnêteté de Zemmour et Belghoul mais je crois que sans le savoir, eux aussi, font le jeu du système. Eux aussi sont de simples marionnettes, de simples soupapes de sécurité. Laisser mener le combat par un juif et une musulmane est pour la dictature une moindre prise de risque en ce sens qu’ils ne seront jamais en mesure de rassembler le grand nombre. La France, étant, historiquement catholique, leur engagement, aussi noble soit-il, est condamné à rester une bulle. Dans cette même catégorie, bien que pour d’autres raisons, nous trouvons aussi madame Frigide Barjot. Certes cette personne est courageuse et son combat va dans le bon sens et j’espère qu’elle le continuera. Cependant n’est-il pas étrange qu’en France, le pays de René Girard, qui compte des intellectuels catholiques de la meilleure lignée, le combat médiatique contre le mariage gay et la théorie du genre soit menée par Madame Barjot ? Qui peut affirmer sérieusement que cela n’est pas voulu par le système ? Il est difficile de ne pas établir ici un parallélisme avec les « faux » débats concernant l’avortement des années 70 où le journaliste politiquement correct de service invitait des petites pointures pour venir condamner l’avortement et s’abstenait de faire intervenir de grands savants de sensibilité catholique, comme le professeur Lejeune, qui auraient pu clouer le bec à tout le monde.

 

Source : Jean Pierre Aussant à Monseigneur Louis XX et la Famille Royale de France

 

Sécurité routière : l'Etat va privatiser les radars

Publié par Guy Jovelin le 8 avril 2016

LE FAIT DU JOUR. Pour réaffecter les forces de l'ordre à d'autres missions, l'Etat va déléguer à des sociétés privées l'utilisation de radars mobiles. Polémique assurée.

Les radars embarqués ciblent en priorité les voitures responsables de grands excès de vitesse.
Les radars embarqués ciblent en priorité les voitures responsables de grands excès de vitesse.
(LP/Matthieu de Martignac.)
 

L'an dernier, plus d'un million et demi d'automobilistes ont été flashés sans le savoir. Il leur a suffi de croiser (trop vite) la route d'une des 319 voitures-radars banalisées équipées de flashs infrarouges indétectables. Dans l'habitacle : des policiers et des gendarmes en tenue. Mais le gouvernement a décidé de confier, à partir de janvier prochain, la conduite de ces véhicules à des sociétés privées agréées par l'Etat.

Objectif : les faire circuler jour et nuit et multiplier les contrôles à l'heure où le nombre de morts sur la route est reparti à la hausse depuis deux ans.

D'après une enquête Harris Interactive* commandée par l'association 40 Millions d'automobilistes, et que nous vous dévoilons en exclusivité, 83 % des Français voient d'un mauvais œil cette perspective. 76 % estiment que cette mesure « aura pour objectif d'augmenter le montant des contraventions collectées par l'Etat » et 86 % craignent que les sociétés concernées ne réalisent des contrôles aux endroits où elles ont le plus de chance de constater des infractions. « Les radars ne peuvent pas être gérés par des sociétés privées dont l'objectif est la réalisation de bénéfices et qui flasheront à tout-va, dénonce le délégué général de l'association provoituresPierre Chasseray. Personne ne sera épargné par ce système impitoyable car ces voitures fonctionneront à longueur de journée avec pour seul objectif le profit sur le dos des conducteurs. »

QUESTION DU JOUR. Comprenez-vous que l'Etat confie au privé la gestion des radars embarqués ?

Alors que l'association craint une explosion du nombre de PV, le délégué interministériel à la Sécurité routière dénonce un faux procès. « La rétribution de ces prestataires agréés ne dépendra pas du nombre d'amendes, affirme Emmanuel Barbe. C'est la voiture et elle seule qui procédera comme aujourd'hui au contrôle automatique de la vitesse, et l'analyse du flash continuera à être effectuée par un officier de police judiciaire basé à Rennes au centre de traitement automatisé des infractions. » La sécurité routière ne cache pas toutefois que son but est de mieux rentabiliser ces voitures. « A tout endroit et à tout moment, les automobilistes doivent savoir qu'ils pourront se faire flasher » insiste Emmanuel Barbe.

« Faute d'effectifs suffisants, ces voitures-radars circulent aujourd'hui à peine plus d'une heure par jour et nous avons été les premiers à réclamer cette mesure de sous-traitance, explique la présidente de la Ligue contre la violence routière, Chantal Perrichon. Cela permettra de réaffecter les gendarmes et policiers, jusqu'ici chargés de conduire ces véhicules, à d'autres missions prioritaires comme les contrôles d'alcoolémie ou de comportements dangereux. »



 

Péages et fourrières déjà privatisés
Nombre de services publics ont déjà été privatisés dans le domaine des transports. En 2006, pour diminuer le déficit de l'Etat, le gouvernement de Dominique de Villepin concède une bonne partie du réseau autoroutier à des entreprises privées. Vinci Autoroutes, Eiffage, Albertiset six autres sociétés concessionnaires se partagent le territoire. Ce qui a conduit à une augmentation régulière des prix au péage. Cette année, cette hausse s'élevait, en moyenne, à 1,12 %. Même démarche pour les services de fourrière automobile, où dans de nombreuses villes les municipalités et les préfectures de police ont fait le choix de confier cette tâche à des prestataires privés.

Une nouvelle gestion souvent critiquée au vu de leurs tarifs et de certaines de leurs pratiques. Ainsi, quelques entreprises, payées aux nombres de véhicules confisqués, imposent un quota mensuel d'interventions à leurs salariés. Un fait qui a été dénoncé à Paris, en 2014, par le député-maire LR du XVe arrondissement, Philippe Goujon, qui souhaitait une « remunicipalisation » de ce service. En 2015, le prix de l'enlèvement d'un véhicule a bondi de 116 € à 150 € dans la capitale.Petit nouveau sur le marché de la privatisation : l'examen du Code la route. Inscrite dans la loi Macron, la réforme du permis de conduire prévoit de confier la surveillance du test théorique à des organismes privés agréés. But de l'opération, réduire les délais d'attente à la suite d'un échec, actuellement évalués à 98 jours. L'entrée en vigueur de la réforme est fixée au 18 avril.

 



*Enquête réalisée en ligne du 22 au 24 mars auprès d'un échantillon représentatif de 1 002 personnes.

 

Source : http://www.leparisien.fr/