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jeudi, 22 septembre 2016

La religion de plus en plus présente en entreprise

Publié par Guy Jovelin le 22 septembre 2016

Par lefigaro.frMis à jour Publié

 

 

VIDÉO - Demande d'absence, aménagement du temps de travail, prières… Selon une étude, 65% des salariés disent avoir observé une progression du fait religieux dans l'entreprise.

La religion se fait une place de plus en plus grande au sein de l'entreprise. C'est ce qui ressort d'une enquête réalisée entre avril et juin 2016 par l'Institut Randstad et l'Observatoire du Fait religieux en entreprise (OFRE), dévoilée ce jeudi. Ainsi 65% des salariés disent avoir observé des manifestations du fait religieux dans l'entreprise, contre 50% en 2015.

Selon les auteurs de cette étude, cette nette progression témoigne du fait que «la présence du fait religieux s'affirme» et «se banalise» dans les entreprises, mais «la plupart du temps sans que cela pose problème». Même si l'Islam est souvent cité, toutes les religions sont concernées, assure l'étude. Dans 91% des cas, ces convictions religieuses s'expriment par des requêtes et pratiques personnelles comme les demandes d'absence pour une fête religieuse ou d'aménagement du temps de travail (planning, horaires), le port ostentatoire de signes religieux et les prières pendant les pauses. «C'est la majorité des cas et ils n'entravent pas le travail», explique Lionel Honoré, professeur des universités et directeur de l'OFRE.

En revanche, certains cas, minoritaires, sont conflictuels. L'étude chiffre ces cas à 9% du total des faits observés en 2016, contre 6% en 2015, 3% en 2014 et 2% en 2013. Parmi les situations sources de conflit figurent le prosélytisme, le refus de réaliser certaines tâches, de travailler avec une femme ou sous ses ordres ou encore la demande de ne travailler qu'avec des coreligionnaires… Ces cas seraient concentrés dans certains secteurs de l'économie à la main-d'œuvre peu qualifiée (équipementiers automobiles, BTP, traitement des déchets, grande distribution...) et dans les zones géographiques périurbaines.

Sur 48% des managers confrontés à la question de l'expression des convictions religieuses au travail, ils sont 14% à avoir dû faire face à un fait conflictuel en 2016, contre 12% en 2015, selon l'étude. Les encadrants de terrain semblent cependant mieux armés pour faire face aux situations ayant trait au fait religieux, avec notamment une meilleure connaissance du cadre légal. «Ils ont plus de repères, font bien la différence entre ce qui relève du radicalisme religieux et de demandes ayant trait à leur savoir managerial classique», explique l'universitaire.

«Les salariés se regroupent pour imposer leurs prières pendant le travail, ils s'approprient des lieux comme salles de prière, font pression sur le manager en l'accusant d'islamophobie... C'est à prendre très au sérieux car ce n'est plus une question de comportement, c'est une remise en cause de la loi républicaine et il faut être très ferme», assure Lionel Honoré. Pour lui, «l'entreprise a besoin d'actes forts politiques en amont».

Pour les salariés interrogés, pas question toutefois d'imposer une loi sur la religion au travail. Plus de 60% des répondants y sont opposés. Alors que la loi travail prévoit que le règlement intérieur des entreprises puisse «contenir des dispositions inscrivant le principe de neutralité et restreignant la manifestation des convictions des salariés» sous certaines conditions, 65% des personnes interrogées y sont opposées. Elles «ne souhaitent pas que l'entreprise impose à ses salariés la neutralité religieuse notamment par l'intermédiaire d'un règlement intérieur». «Les personnes interrogées sont ouvertes à des réponses pragmatiques aux demandes des salariés ayant une dimension religieuse, mais non à ce que l'entreprise s'organise en fonction des prescriptions religieuses», commentent les auteurs.

Par ailleurs, 80% des personnes interrogées «connaissent en général la religion de leurs collègues» et 82% n'en sont «pas gênées». Néanmoins, la «gêne est en nette hausse: 18% contre 8% en 2015», selon l'étude.

 

Source : lefigaro

Nord: Les policiers belges interpellés parce qu'ils convoyaient des migrants en France

Publié par Guy Jovelin le 22 septembre 2016

Olivier Aballain

 

POLICE Deux agents de police d'Ypres (Belgique) ont été interceptés sur le territoire français, le 20 septembre, en train de convoyer treize migrants...Rekkem, le 21 février 2013. Opération dans le cadre de la coopération transfrontalière des polices a l'ancien poste frontière sur l'autoroute A22 entre la France et la Belgique.Rekkem, le 21 février 2013. Opération dans le cadre de la coopération transfrontalière des polices a l'ancien poste frontière sur l'autoroute A22 entre la France et la Belgique. - M.LIBERT/20 MINUTES

Olivier Aballain

« On se croirait dans un Benny Hill », commente un policier français. Deux agents du commissariat d’Ypres, en Belgique, ont été interceptés à Nieppe, mardi soir. Ils convoyaient dans leur fourgon 13 personnes migrantes, qu’ils comptaient déposer en France.

L’affaire a jeté un froid entre les autorités belges et françaises, cette pratique n’étant pas conforme aux traités, ni aux « habitudes de travail entre la France et la Belgique », a indiqué la préfecture du Nord.

Les deux agents interceptés étaient en tenue et utilisaient un véhicule siglé de la police belge. Ils ont été entendus au commissariat d’Armentières, où ils ont expliqué, selonM6Info, avoir agi « sur instruction » de leur hiérarchie.

« On a seulement donné un coup de main »

Trois mineurs figurent parmi les 13 personnes en situation irrégulière. Ils avaient initialement pénétré clandestinement dans un camion. Le conducteur du véhicule a voulu les signaler à la police. Las, alors qu’il venait de pénétrer en territoire belge, c’est la police française qu’il a eue au bout du fil.

Coopération transfrontalière oblige, les autorités des deux pays se sont retrouvés sur place, mais c’est le commissariat belge d’Ypres, sur ses terres, qui a récupéré la gestion de l’enquête.

Jusque-là, la procédure était normale. C’est ensuite que ça s'est gâté. Une fois terminé l’interrogatoire au commissariat, la police belge a choisi de refaire un bout de chemin aux migrants vers la frontière française. « On a seulement donné un coup de main. On ne voulait pas les relâcher dans une ville où ils ne connaissent rien juste avant la nuit »,explique fraîchement un commissaire d’Ypres, au site d’information rtbf.be. Contactée, la police belge n’a pas répondu à nos sollicitations.

La préfecture du Nord, elle, indique que « les autorités françaises ont exprimé leur plus vive réprobation à la suite de cette initiative ». Les deux agents belges ont indiqué que ce type « d’initiative » avait déjà eu lieu par le passé. Interrogé par 20 Minutes, un membre syndicaliste policier dit toutefois « n’en avoir jamais entendu parler », tout comme un responsable associatif officiant au camp de migrants de Grande-Synthe.

Réunion franco-belge ce mercredi

En attendant, c’est bien la France qui a pris en charge les passagers. Les dix personnes majeures sont en « retenue administrative » le temps que leur situation soit examinée, et les trois mineurs ont été placés dans un foyer.

Représentants belges et français ont pu échanger de vive-voix sur le sujet, puisqu’un comité de suivi des accords franco-belges dits « de Tournai-II » était justement au programme. On ne sait pas si les officiers des deux pays ont fait un bout de chemin ensemble.

 

Source : 20minutes

Le Club de Rome préconise de fortes primes pour les femmes occidentales ayant au plus un enfant

Publié par Guy Jovelin le 22 septembre 2016

Par le 21/09/2016

Moins d’enfants, davantage de congés et un recul de l’âge de la retraite : dans son nouveau rapport, le Club de Rome souligne l’urgence d’un changement de politique dans les nations industrielles. C’est en particulier l’augmentation de la population qui inquiète ces experts : ils demandent des mesures radicales pour faire baisser le taux de natalité.

Dans le livre « Un pour cent, c’est suffisant [...] » présenté mardi [13 septembre] à Berlin, les deux futurologues Jorgen randers et Graeme Maxton [ secrétaire général du Club de Rome] avancent 13 thèses « qui seront immédiatement utiles à la majorité des hommes » et combattront à long terme les deux principaux problèmes du monde moderne dans les pays riches, le chômage et les inégalités croissantes.

[...]

Et les femmes dans le monde occidental doivent bénéficier d’une aide particulière quand elles ne mettent au monde qu’un enfant.

[...]

L’Occident doit donner l’exemple et commencer la réduction de la population mondiale.

La société doit réduire encore davantage le taux de croissance de la population et « dans l’idéal le rendre négatif ». En clair : les femmes qui ont élevé au plus un enfant devraient recevoir « lors de leur 50e anniversaire une prime de 80 000 dollars ».

[...]

(Traduction Fdesouche)

Source

LE PAPE FRANCOIS NE FAIT PAS L’UNANIMITE EN ITALIE

Publié par Guy Jovelin le 22 septembre 2016

mercredi 21 septembre 2016, par Michel Dantan

Résultat de recherche d'images pour "pape françois et islam"Le pape François n’est pas en odeur de sainteté auprès de la Ligue du Nord. A l’occasion de la fête annuelle de son parti la Ligue du Nord, le leader Matteo Salvini devant un parterre de militants revêtus de chemises portant l’inscription « Mon Pape c’est Benoit XVI) a déclaré « Je n’aime pas celui qui ouvre les églises à des imams » et pour être bien compris, ajouté que le pape Benoît XVI lui, avait les idées claires à propos de ce qu’il fallait penser de l’Islam. Autrement dit selon son point de vue, du moins en ce qui concerne l’Islam, le pape ferait rimer esprit large avec idées courtes. Le leader populiste s’en est également pris aux technocrates de Bruxelles et au passage confesser l’admiration que lui inspirait la personnalité de Vladimir Poutine.

 

Source : national-hebdo

mercredi, 21 septembre 2016

Un million de musulmans prêts à la guerre civile en France

Publié par Guy Jovelin le 21 septembre 2016

Publié le 19 septembre 2016 - par  

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L’Institut Montaigne, un cercle de réflexion (think tank au budget de 3 millions d’euros provenant de contributions de 90 entreprises) vient de publier sous la direction de Hakim el Karaoui, Un islam français est possible[1].

El Karaoui, originaire d’une grande famille tunisienne vivant en France (père, professeur d’anthropologie juridique sur l’islam à la Sorbonne, mère professeur de mathématiques financières à Polytechnique, oncle Premier ministre de Tunisie de 1989 à 1999), marié à Delphine Pagès, chercheuse à l’Institut national des langues et civilisations orientales, ancien élève de l’Ecole normale supérieure de Saint-Cloud, titulaire d’un DEA de géopolitique sur la Palestine, a été conseiller de Jean-Pierre Raffarin quand il était Premier ministre, puis celui de Thierry Breton, ministre des Finances.

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Directeur chez Rothschild & Cie, il est aujourd’hui associé (partner, dit-on dans ce milieu) du cabinet de conseil en stratégie Roland Berger Strategy Consultants, chargé notamment du développement du cabinet en Afrique.

Il est membre du conseil scientifique de la Cité nationale de l’histoire de l’immigration qu’il a contribué à créer lors de son passage à Matignon auprès de Jean-Pierre Raffarin.

Proche d’Emmanuel Todd, il a soutenu Ségolène Royal au deuxième tour de l’élection présidentielle de 2007 via une tribune publiée par Le Monde: «Chiraquien mais pas sarkozyste!».

Ceci n’est qu’un aperçu du C.V. du personnage. Un hors sol typique avec un nom très marqué en cette fin de France sur «fond de terrorisme islamique, d’immigration massive, d’interrogation identitaire» comme l’écrit Richard Millet à propos de Madame el Kohmry. J’ajoute avec lui: «Ne pas le voir, et surtout ne pas le dire, relève de l’aveuglement volontaire comme de la servitude, trop aisément supposée volontaire dans ce qu’il reste de peuple français

Les médias se sont gargarisés du travail d’el Karaoui.

Ils l’ont instrumentalisé, pas dans un sens islamophobe comme il veut nous le faire croire, mais dans celui de la plus parfaite islamo-collaboration.

La plupart n’ont saisi qu’un chiffre : 5,6. Ce serait le pourcentage de musulmans en France, loin des 10 à 12 % donnés par les « islamophobes ». Mais ce prétendu faible pourcentage fait tout de même près de quatre millions d’agents d’Allah à l’intérieur de nos frontières.

On apprend dans ce rapport que la moyenne d’âge des musulmans sur notre territoire est de 35,8 ans contre 53 ans pour les chrétiens et 43,5 ans pour ceux sans religion, Le Monde s’est dépêché de titré: «Les musulmans de France, une population jeune et diverse».

Parlons-en de la diversité.

92 % mange halal, 65 % sont pour le port du voile partout (surtout à l’école où les collégiennes musulmanes ne comprennent pas qu’il soit interdit par une loi).

On fait mieux côté diversité.

Mais là n’est pas le plus alarmant.

El Karaoui partage les musulmans en trois groupes.

Le premier baptisé «majorité silencieuse», représenterait 46 % des prosternés vers La Mecque. Ils auraient un système de valeurs «en adéquation avec la société française, qu’ils contribuent d’ailleurs à faire évoluer par leurs spécificités religieuses». Ces spécificités se sont les prières de rues, les mosquées qui poussent plus vite que les champignons dans nos sous-bois, les tabassages de mécréants et de jeunes femmes en short?

Le deuxième groupe est celui des «conservateurs». 25 % du total. «Fiers d’être musulmans, ils revendiquent la possibilité d’exprimer leur appartenance religieuse dans l’espace public. Très pieux (la charia a une grande importance pour eux, sans passer devant la loi de la République), ils sont souvent favorables à l’expression de la religion au travail, et ont très largement adopté la norme halal comme définition de « l’être musulman ». Ils rejettent très clairement le niqab et la polygamie et acceptent la laïcité». Où? Dans les zones où ils sont encore minoritaires?

Enfin, voici les «autoritaires», 28 % du cheptel. Majoritairement jeunes, peu qualifiés et peu insérés dans l’emploi, ils vivent dans les quartiers populaires périphériques des grandes agglomérations. Ils sont favorables au port du niqab, à la polygamie, contestent la laïcité, considèrent que la loi religieuse passe avant la loi de la République. Ils ont une vision “dure” des pratiques religieuses.

Si l’on ne retient que 28% de musulmans finalement proches de l’Etat islamique (ce que l’Institut Montaigne appelle «les autoritaires»), cela fait un million de personnes qui vivent en France, souvent grâce à la solidarité que le gouvernement nous impose, qui haïssent le pays, sont fans de la charia à tous les étages. Si l’on ajoute les 22% de «conservateurs», nous voilà face à deux millions de musulmans qui n’attendent que l’appel de l’imam pour hurler leur «Allahou Akbar» et passer à l’action.

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Ce n’est plus à l’opération “Ronces” que l’armée doit se préparer pour déloger 15 000 fichés S mais à l’opération “déstockage massif”. Et elle ne réussira peut-être pas seule à la mener à bien.

Marcus Graven

 

Source : ripostelaique