Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

vendredi, 29 juin 2018

Conjoncture internationale brouillée, croissance en baisse, camouflage du chômage en hausse...

Publié par Guy Jovelin le 29 juin 2018

ob_b2b7e9_chomage-autoroute.jpg

 

Jean-François Touzé 

Membre du Bureau politique du Parti de la France

Après la Banque de France, l’Insee vient de revoir à la baisse ses prévisions de croissance pour 2018 : selon l’Institut d'études économiques, le ralentissement du PIB au 1er et 2e trimestre (- 0,2 et - 0,1 point) devrait conduire à une croissance de 1,7 % en fin d’année après 2,3 % en 2017. C’est 0,1 point de moins que les récentes prévisions de la Banque de France et - surtout - bien en deçà de celle du gouvernement (2 %) inscrite dans le programme de stabilité envoyé au printemps à la Commission européenne. Si les chiffres de l’Insee se confirment, c’est toute la trajectoire budgétaire de l’exécutif qui sera donc à revoir. On comprend mieux, dans ces conditions, la misérable volonté du pouvoir de trouver de nouvelles recettes en multipliant les taxes, et de faire des économies, non pas sur le train de vie de l’État comme il se devrait (hors devoirs régaliens et politique de santé), pas plus que sur les prestations indues accordées aux étrangers, mais en rognant sur les aides sociales légitimement accordées aux Français les plus modestes.

Investissements des entreprises à l’arrêt, consommation des ménages « atones » (-0,6), repli des échanges extérieurs… Tous les moteurs de la croissance française semblent s’être mis à l’arrêt au premier semestre, dans un contexte économique mondial et européen qui, selon l’institut, se « voile ». « La forte remontée du prix du pétrole, alimentée entre autres par les tensions géopolitiques au Moyen-Orient, fait sans conteste partie de ces facteurs », note l’Insee qui cite aussi, comme causes de cette mauvaise passe, « la forte appréciation de l’euro », « les tensions protectionnistes [aux] États-Unis », ou encore « la crainte d’une remontée de l’inflation plus vive que prévu » sur fond de hausse mondiale des taux d’intérêt. Résultat, la croissance de la zone euro serait de 2,1 % en 2018 après 2,6 % l’an dernier.

Si l’alignement des planètes a accompagné – sans qu'il sache, pour autant, en tirer profit  –, le quinquennat de François Hollande, un dangereux désalignement est en train de s’installer pour l’an II de Macron. Des signes de ralentissement et de fin de cycle semblent apparaître en Europe, tandis que le litre de gazole a grimpé, en France, en un an, de 1,16 euro à 1,48 euro, soit une hausse de 28 % (tendance lourde que ne viendra pas inverser la timide et modeste hausse de la production pétrolière décidée le 22 juin par les pays de l'OPEP), que les taux d’intérêt remontent, que les pays émergents sont frappés de plein fouet par la baisse des matières premières ou la remontée de l'inflation, et que les sanctions contre la Russie et l’Iran comme les débuts de guerre commerciale initiés par Trump ne peuvent que contribuer à la dégradation du climat économique mondial.

La France est, une fois de plus davantage touchée que la plupart de ses voisins, du fait de ses archaïsmes structurels et de l'ampleur de ses déficits. Le gouvernement ne peut cependant pas mettre ce ralentissement sur le dos des cheminots. « Les grèves ôteraient ainsi tout au plus 0,1 point à la croissance trimestrielle du PIB, tout en sachant qu’un retour à la normale au troisième trimestre 2018 entraînerait alors un contrecoup positif du même ordre », estime l’Insee pour qui le calendrier « intermittent » de la grève a permis aux entreprises d’adapter leurs approvisionnements. Et si le secteur de l’hôtellerie et de la restauration a vu des touristes annuler leurs réservations, il connaît des difficultés depuis le mois de février, soit avant la grève.

L’exécutif voudrait se consoler avec un indicateur : celui de la baisse du chômage. Malgré le ralentissement économique du premier semestre et une moindre création d’emplois  – 183.000 contre 340.000 en 2017 –, le taux de chômage au sens du Bureau international du travail (BIT) devrait descendre à 8,8 % fin 2018, soit - 0,2 point par rapport à la fin 2017. Mais il ne s'agit là que d'une manipulation comptable, le « plan d’investissement dans les compétences », gadget gouvernemental visant au camouflage statistique entrera, en effet, en pleine activité au deuxième trimestre, avec pour conséquence de faire disparaître du nombre de chômeurs des dizaines de milliers de personnes toujours sans emploi mais entrées en « formation ». Sans parler des radiations de plus en plus nombreuses encouragées par le gouvernement. Avec à la clé une baisse mécanique mais de seule apparence du chômage.

Rien de nouveau sous le ciel macronien.

Parti de la France cliquez ici

jeudi, 28 juin 2018

Macron rencontre le Pape et se prend pour un bon Samaritain

Publié par Guy Jovelin le 28 juin 2018

Rédigé par notre équipe le 27 juin 2018 

Le Pape François aurait-il rencontré le bon Samaritain ?

Reçu par le Pape François au Vatican, Macron a pris soin de se mettre en scène (comme d’habitude) en multipliant les petits gestes qui donnent l’impression d’une complicité débordante. Merkel, Trump, Trudeau, tant d’autres et maintenant le Pape lui-même sont passés à la moulinette du macronisme. Sachant adapter son discours, le président français avait endossé l’uniforme du bon Samaritain. Un rôle qui lui permet de faire vibrer sa fibre socialiste ou plutôt humaniste comme il est de bon ton de dire aujourd’hui.

Passage obligé de tous les présidents de la République, le Vatican est l’occasion pour eux de draguer un électorat catholique qui peine à comprendre qu’il a été mis sur la touche et que son avis importe peu. Mais rencontrer un Pape est surtout une occasion de réaliser des images souvent en complète contradiction avec leur politique. Le gros Hollande, bouffeur de curés mais pas que, avait osé se pointer après avoir forcé la main aux Français en imposant le « mariage pour tous ». Son successeur est déjà dans la sainte place et a un double agenda en tête.

Migrants, GPA, PMA : le triptyque pas si catholique de Macron

Le plus urgent est de « régler » la question migratoire, cela veut dire dans le langage macronien que les quelques centaines de migrants les plus médiatisés, car se trouvant sur des bateaux d’ONG que personne ne veut recevoir, devront être recueillis par la France et les quelques pays assez sots pour continuer le délire immigrationniste. Quelques migrants médiatisés, c’est bien pour la conscience de gauche et ça permet aussi d’évacuer le fait que des milliers d’autres entre chaque mois clandestinement en France et que ceux qui sont invités à partir restent ad vitam aeternam.

Les migrants du Lifeline seront donc en partie récupérés par la France et Macron a tenu parole. Il suit les commandements du Pape et fait preuve de « générosité » envers son prochain. Macron-Pape François : nouveau couple médiatico-politique après les échecs Macron-Trump et Macron-Merkel ? L’attelage est improbable et ne tiendra pas longtemps, car si Macron était au Vatican, c’était aussi pour dire à un Pape sans pouvoir qu’il allait bientôt forcer les Français à accepter la GPA et la PMA pour tous. C’est ça le progrès ! C’est ça le macronisme !

Mettre des ventres de femmes pauvres à disposition de couples riches, ça fait marcher le business. Le chômage baisse, et le PIB augmente ! Que demande le peuple ? Macron ne comprend pas les petites gens comme aurait pu dire un certain millionnaire, mais il sait comment leur imposer du travail au détriment de la morale. Oui, mais seules les femmes sont concernées par ce nouvel eldorado de l’emploi ! Que les hommes se rassurent. Les chômeurs seront réquisitionnés pour accueillir les prochaines vagues de migrants. Des emplois précaires, car une fois inutiles, les ex-chômeurs français seront invités à quémander un RSA si l’Etat-providence existe encore à ce moment-là. Mais avec un bon Samaritain à l’Elysée, pourquoi en douter ?

 

Source : 24heuresactu

Bientôt un service national obligatoire

Publié par Guy Jovelin le 28 juin 2018

Auteur : admin4

FB_IMG_1530131213754.jpg

 

Source : contre-info

 

Jacques Attali demande à l’Europe d’accueillir des millions d’immigrés !

Publié par Guy Jovelin le 28 juin 2018

Ecrit parPierre-Alain Depauw

accueil,attali,europe,immigrés

Dans L’Express du 20 juin 2018, le mondialiste Jacques Attali souhaite que des millions d’immigrés trouvent asile en Europe. Voici un extrait de sa tribune :

« Pour éviter ce désastre, nous n’avons donc pas d’autres solutions que de comprendre, au plus vite, qu’il est dans notre intérêt de développer massivement ce continent voisin, de l’aider à accélérer sa transition démographique ; à organiser l’arrivée de migrants à l’intérieur du continent ; et de créer chez nous les conditions d’un accueil, temporaire ou durable, et d’une intégration dans nos cultures (qu’ils rapporteront chez eux s’ils y retournent) de millions de personnes venant de ce berceau de l’humanité. Et pas seulement dans nos équipes de football. »

Plus que jamais, cette affiche est d’actualité…

accueil,attali,europe,immigrés

Source : medias-presse.info

 

mercredi, 27 juin 2018

La France accueillera une partie des migrants du navire humanitaire Lifeline, affirme Macron

Publié par Guy Jovelin le 27 juin 2018

Après sa visite au Vatican, Emmanuel Macron a déclaré qu'une partie des migrants du "Lifeline" serait accueilli en France.

Solution européenne ?

 
La France accueillera une partie des migrants du navire humanitaire Lifeline, affirme Macron

Une partie des 233 migrants présents à bord du bateau "Lifeline" pourront venir en France, a annoncé le président de la République lors d'une conférence de presse ce mardi 26 juin. L'Hexagone, ainsi que cinq autres pays, accueilleront ces personnes, il s'agira de «quelques dizaines d'individus par pays» d'accueil, a expliqué Emmanuel Macron.

Alors que le navire de l'ONG allemande était bloqué en pleine mer, on a appris dans la matinée qu'il lui serait possible d'accoster sur l'île de Malte.

Toutefois, le bateau sera «soumis à une enquête pour s'assurer de sa nationalité et du respect des règles du droit international de la part de son équipage», a rapporté Giuseppe Conte dans un communiqué de presse.

 

Source : atlantico