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mercredi, 06 juin 2018

Un caporal du 28e RT d’Issoire secourt un enfant suspendu à un balcon à Lyon

Publié par Guy Jovelin le 06 juin 2018

 

 Par  le 05/06/2018

 

Vendredi 1er juin, le caporal Steven, membre du 28e régiment de transmission (RT) d’Issoire, est intervenu pour secourir un enfant de 18 mois dont les deux jambes étaient suspendues dans le vide à un balcon, situé au 1er étage d’un immeuble du 7e arrondissement de Lyon.

Depuis un mois, le caporal Steven participait à l’opération sentinelle dans la capitale des Gaules. Vendredi, alors qu’il était en repos entre deux patrouilles, il se promenait dans les rues du 7e arrondissement lorsqu’il a aperçu un enfant de 18 mois accroché au balcon du premier étage d’un immeuble.

 » Il ne pleurait pas mais il était terrifié et j’ai eu du mal à le décrocher du balcon »

Le militaire du 28e RT d’Issoire a immédiatement sauté sur le mur d’enceinte de la résidence, puis a réussi à atteindre le balcon pour sauver l’enfant de la chute.  » Il ne pleurait pas mais il était terrifié et j’ai eu du mal à le décrocher du balcon. Il avait échappé à la surveillance de ses parents et souhaitait récupérer sa chaussette, tombée plus bas », raconte le jeune homme de 26 ans.

Avertis par un motard passé par là et une jeune serveuse témoin de la scène, les pompiers sont intervenus très rapidement sur les lieux et ont pu constater que l’enfant était en pleine forme. Le militaire a reçu les remerciements des parents avant de s’éclipser, en toute discrétion.

Ce mercredi, le caporal Steven doit rentrer à Issoire, et retrouver son épouse, qui attend un heureux événement pour l’été.

 

La Bavière veut expulser par ses propres moyens les déboutés du droit d’asile

Publié par Guy Jovelin le 06 juin 2018

Par  le 06/06/2018

Selon les déclarations de Markus Söder (CSU), chef du gouvernement régional, la Bavière veut à l’avenir affréter elle-même des avions pour expulser les déboutés du droit d’asile. La Bavière doit jusqu’à présent attendre les avion affrétés par le gouvernement fédéral.

Au lieu de cela, l’État libre [de Bavière] veut maintenant prendre lui-même les choses en main et utiliser également des avions de taille réduite […]

Des policiers bavarois doivent recevoir une formation spéciale pour les expulsions. Le gouvernement envisage en outre de mettre en place de nouveaux centres de rétention afin que les déboutés du droit d’asile ne puissent plus échapper aussi facilement à l’expulsion. […]

(Traduction Fdesouche)

 

Focus via fdesouche

Bataille juridique autour du Rassemblement National

Publié par Guy Jovelin le 06 juin 2018

Ecrit par Léo Kersauzie

Le 1er juin 2018, sous l’impulsion de Marine Le Pen, le Front national est officiellement devenu le Rassemblement national.

Marine Le Pen prétend que ce changement de nom devrait permettre des alliances avec d’autres formations politiques. Mais on ne voit pas quel argument sérieux permet d’envisager que l’appellation Rassemblement National obtienne ce que le Rassemblement Bleu Marine n’a pas obtenu.

Ceci étant dit, c’est une autre épine qui refait surface. Comme nous l’avions déjà écrit il y a plusieurs mois, le nom Rassem­ble­ment natio­nal était déjà utilisée par Igor Kurek. Celui-ci dénonce une vente qui, quoique conclue en février 2018, n’aurait pas dû avoir lieu.

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Igor Kurek, qui avait déjà déposé une plainte en mars pour “faux et usage de faux”, a annoncé qu’il va dépo­ser une requête de référé d’urgence pour contes­ter cette vente.

Les tribunaux devront donc se prononcer sur cette affaire.

 

Source : medias-presse.info

Il faut rétablir la peine de mort !

Publié par Guy Jovelin le 06 juin 2018

Auteur Roland DUBOIS

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Quand la peine de mort est hors-la-loi, seuls les hors-la-loi infligent la peine de mort (*).

La majorité des Français est probablement favorable à l’application de la peine de mort aux auteurs de crimes particulièrement odieux et pour lesquels aucune circonstance atténuante ne peut raisonnablement être invoquée au regard du forfait perpétré.

Les nombreux sondages faits dans les années écoulées vont tous dans ce sens.

Il y a toujours eu une majorité pour estimer qu’elle demeurait un mal nécessaire pour punir, et aussi, ce qu’on occulte trop souvent, mettre hors d’état de nuire à nouveau, les monstres que sont devenus certains hommes.

Remarquons que, sur ce sujet de société majeur, on s’est bien gardé de demander par référendum leur avis aux Français, sans doute parce que la réponse n’aurait pas été celle que nos dirigeants souhaitaient.

Ce qui a joué contre le principe même de son application, c’est, psychologiquement, le côté barbare de l’exécution au moyen de la guillotine.

Nous étions les seuls dans le monde civilisé à pratiquer encore la décapitation.

On aurait pu trouver quelque chose de moins choquant.

Mais que des criminels en série, des assassins d’enfants, de vieillards, des monstres joignant la barbarie au meurtre, des terroristes ayant perpétré leurs forfaits aveugles dans des lieux où, nécessairement, ils allaient tuer et blesser n’importe qui, n’encourent pas la peine qu’ils n’hésitent pas à infliger à des innocents est une injustice. Et un encouragement.

Un meurtrier a intérêt à tuer les témoins possibles de son acte.

Dans le meilleur des cas, il augmente ses chances d’échapper à la police et à la justice.

Dans le cas contraire, deux, trois ou quatre victimes ne changeront guère son sort.

En outre, si on veut que, demain, notre société trouve encore des défenseurs en la personne des juges et des policiers, il faut aussi penser à les protéger.

Et la meilleure protection, c’est la possibilité que leur assassinat puisse mener tout droit au gibet. Peu d’humains en Occident ont de l’attirance pour le martyre.

Un argument fort contre la peine capitale est le risque de l’erreur judiciaire, hélas sans recours. Mais on pourrait modifier les textes, au moins dans ce cas, pour que la sentence ne puisse pas être prononcée sur la seule « intime conviction des jurés » – notion qui, dans un pays démocratique, est en elle-même, et dans tous les cas, une étrangeté, convenons-en.

Quand une sentence irréversible est possible, il faut des preuves indiscutables de la culpabilité ; et c’est de moins en moins utopique grâce aux progrès considérables, accomplis dans les années passées, et ceux à venir, par la police scientifique.

Les humanistes autoproclamés de ce pays vont sans doute être horrifiés de ce propos.

Ils ont deux arguments principaux : retirer la vie à un homme, fût-il un assassin, est contraire à nos valeurs, c’est se rabaisser à son niveau, et le risque du châtiment suprême n’est pas dissuasif, n’a aucune vertu préventive.

Déjà discutable dans une société en paix, où les crimes sont rares et ne remettent pas en cause les fondements de la société, ce point de vue est hors du temps quand on a affaire à des groupes ou des individus qui s’attaquent à n’importe qui dans le but ultime de détruire une société qu’ils haïssent, par la confusion, le désordre et la peur qu’ils propagent, et in fine par les affrontements qui surgiront inévitablement au sein de la population si l’État n’est pas inflexible.

Voilà près de 5 ans que le président et le Premier ministre de ce pays ont prononcé le mot guerre pour qualifier ce qui se passe chez nous ; sans toutefois oser nommer l’ennemi.

Infliger la mort est inséparable de l’acte de guerre. D’ailleurs, on n’est pas si regardant quand il s’agit d’aller bombarder les Syriens qui ne nous ont rien fait, du moins dans le passé récent, et qui ont les mêmes ennemis que nous.

Alors ? On peut tuer là-bas des étrangers anonymes assez inoffensifs pour nous, mais pas chez nous des ennemis déclarés de notre patrie, Français de surcroît généralement, donc des traîtres ? Ça n’a pas de sens.
Malheureusement, je pense qu’il faudra encore bien d’autres attentats et massacres, pour que nos chefs descendent enfin sur terre. Le courage et le bon sens ne sont toujours pas au pouvoir en France.

* « Supprimer la peine de mort ? D’accord ! Que Messieurs les assassins commencent ! » (Alfred Capus)

 

Source : les4verites

La dictature de la solidarité

Publié par Guy Jovelin le 06 juin 2018

Auteur Lambert Christian

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La solidarité a toujours existé. On l’appelait autrefois la charité. Toutes les religions l’ont pratiquée. C’était un devoir que d’aider le pauvre, le faible, le malheureux. Les évangiles en font foi. Sous la monarchie catholique existait déjà une sorte de sécurité sociale, non contraignante, administrée par le catholicisme aux multiples activités caritatives.

Le développement de l’idéologie socialo-communiste, à base marxiste, a fait passer la charité spontanée à la solidarité imposée et gérée par l’État, non plus dans un esprit de compassion, mais, au contraire, dans un esprit d’agressivité. Les pauvres sont produits par les riches, qui ne sont devenus riches qu’en exploitant les pauvres. Donc la solidarité n’est qu’une restitution partielle de ce qui a été volé. Autrement dit, c’est la « lutte des classes » qui régit tout dans nos sociétés faussement démocratiques. C’est la classe des pauvres qui doit reprendre ce qui lui a été enlevé par la classe des riches. Avec une telle idéologie, le climat est évidemment toujours très tendu. Ce n’est pas de la charité, c’est la guerre. Ce n’est pas l’amour, c’est la haine. Il reste que la redistribution coûte très cher à l’État, des milliards d’euros. C’est une politique de Gribouille au vinaigre. Les très nombreux fonctionnaires de l’administration fiscale, plus toute une administration de redistribution, surveillée et harcelée par les associations, les partis politiques et les syndicats, tout ce monde-là se paie au passage.

Dans cet esprit, il n’y en a jamais assez. Ceci s’ajoutant au reste, on augmente sans cesse la dépense publique. On creuse les déficits et on instaure une sorte de guerre civile larvée permanente. Ainsi la France pratique-t-elle la redistribution sociale la plus élevée de tous les pays du monde : la production de la France représente 3,7% de celle de la planète, alors qu’elle redistribue 15% des transferts sociaux mondiaux. Pour autant, vit-on en France mieux qu’ailleurs ?

Autrefois, il existait de grandes entreprises où l’emploi était assuré pour les parents et les enfants qui, après l’école, prenaient la relève. Des hôpitaux, appelés hôtels-Dieu, gérés souvent par des religieux, assuraient des soins à tous. Mais cette paix sociale ne plaisait pas aux marxistes. Les socialistes dénoncèrent cette forme de réussite comme étant du paternalisme. Ce n’était pas acceptable, le patron étant plus riche que ses salariés. Ce système disparut, remplacé par le chômage, l’anarchie et l’anxiété pour beaucoup.

C’est là l’un des aboutissements du socialisme, dont on a tout le loisir de contempler les résultats, que ce soit ceux du socialisme en devenir ou ceux du socialisme au pouvoir. Rappelons ce qu’a été l’URSS de Staline, la Chine de Mao, la Corée des Kim. L’idéologie socialiste apparaît comme étant avant tout fondée sur l’illusion. Entre les mains de politiciens qui finissent par se constituer en sorte de gangs de type mafieux qui, au pouvoir, s’en approprient les mille avantages. Ils en profitent largement et cherchent à les conserver à vie. Ils remercient les électeurs par des discours, des promesses et des rêves.

Chez les immigrés, c’est la même mentalité.

Selon eux, la France coloniale s’est enrichie en exploitant notamment les populations africaines. Il est donc juste et logique que ces populations reprennent ce qui leur a été enlevé, soit par l’aide au développement – des centaines de milliards –, soit en France par l’aide sociale. Le problème est que ce raisonnement est complètement faux. La colonisation n’a été en aucune façon un enrichissement, mais bien plutôt un appauvrissement et une série de problèmes et d’ennuis multiples, avec pertes humaines et financières. Des conséquences telles que la France est aujourd’hui menacée par une guerre ethnique résultant de l’invasion qu’elle subit de foules dépourvues de toute qualification.

On remarquera à ce propos que c’est dans ces foules que les partis et les syndicats recrutent désormais leurs troupes. Les manifestations sont souvent conduites par des porteurs de drapeaux rouges – on n’a jamais vu autant de drapeaux rouges – venus d’outre-mer. On notera aussi que ces colonisés d’hier sont considérés par Emmanuel Macron, le premier magistrat de France, comme les survivants d’un « crime contre l’humanité » commis par la colonisation française. Donc tous en repentance ! Que le socialisme veuille bien remettre les péchés que nous n’avons pas commis.

Bref, les Français seraient des criminels (Macron dixit) – on peut heureusement en discuter. Mais ce qui est sûr, c’est que les contribuables paient l’addition, ces très nombreux contribuables dont la vraie nature est indiquée de façon claire et définitive par la première syllabe de leur nom !

 

Source : les4verites