Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mercredi, 13 juin 2018

La Rupture ?

Publié par Guy Jovelin le 13 juin 20189

 

On sait pas si le monde passe par une phase de turbulences très passagère ou s’il est en train de connaître une véritable rupture. On ne sait pas davantage où conduira cette seconde hypothèse, si elle se vérifie. Ce dont on est sûr c’est que l’endormissement de l’Occident dans le consensus mou de ses dirigeants, approuvés par la foule des commentateurs adeptes du politiquement correct, est en train de s’achever. Aux Etats-Unis comme en Europe, le réveil est brutal. Durera-t-il ? Voilà la question. L’isolationnisme volontiers provocateur de Donald Trump a brisé l’idée que l’option unique du mondialisme économique et climatique était incontournable. Macron et Trudeau, les représentants de cette désespérante politique de la passivité devant les risques les plus grands, ceux que court notre civilisation, bien plus en danger que la terre, seront sortis décrédibilisés du fiasco du G7 canadien. Le second n’a pas surpris tant le ridicule lui colle à la peau, surtout depuis son grotesque déplacement en Inde. Il personnifie « l’autrisme » béat. Le premier se trouve à la tête du pays le plus menacé d’Europe par le remplacement de population et aussi celui qui connait le déclin économique le plus manifeste. Les Français, de plus en plus nombreux à percevoir le danger ont cependant élu l’homme qui correspondait le moins au besoin du pays. Ces deux dirigeants sont de pâles copies d’Obama, le champion des médias occidentaux qui adulaient son style et son apparence sans mesurer les conséquences de son absence de politique forte et courageuse , notamment à l’égard du monde musulman. Dans l’ensemble, les européens suivaient et quelquefois précédaient une stratégie tournée contre la Russie et incapable de désigner l’ennemi islamiste par son nom. Leur mauvaise conscience leur interdisait de défendre leur identité, leur souveraineté, et à terme de préserver leur existence. C’est fini… L’Italie, après la Hongrie, la Pologne et l’Autriche ont allumé la flamme de la résistance.

Quels que soient les doutes sur la personnalité du Président américain, on doit le remercier de casser les codes de bonne conduite qui faisaient de la politique internationale un ballet de déplacements et de rencontres entre amis pétris de bons sentiments, mais dénués de volonté, et incapables de changer les choses. Lorsque le vilain petit canard est un mastodonte, on évite de lui faire la leçon… « Six contre un » avait dit Macron, toujours furieux que ses cajoleries n’aient eu aucun effet sur « le Donald ». En un tweet, ce dernier a anéanti l’objet même du G7. Non seulement, il maintient sa politique protectionniste de « l’Amérique d’abord », mais il a divisé les six notamment en proposant contre toute attente le retour de la Russie que souhaite le nouveau gouvernement italien. Le Japon est trop imbriqué dans la politique américaine en extrême-orient pour déplaire à Washington au moment où la situation en Corée peut changer considérablement. Quant à l’Allemagne, il est probable que son pragmatisme habituel la conduira à traiter directement avec les Etats-Unis. C’est en cela que le changement est le plus manifeste. Désormais, la politique internationale des « Occidentaux » n’est plus guidée par une unanimité creuse pour satisfaire les groupes de pressions en faveur des minorités dans un monde sans frontières. Lorsque Donald Trump agit, c’est toujours avec l’intention de répondre aux exigences de ceux qui l’ont élu. Et les autre dirigeants vont devoir l’imiter.

Il y a chez le Président américain un art consommé de surprendre, et de jouer finement, tout en se faisant passer pour un fou. Cela lui permet d’être imprévisible tout en manifestant dans le fond la plus grande cohérence. En rencontrant Kim-Jong-Un, qu’il avait insulté sans retenue, Donald Trump fait preuve de souplesse et de pragmatisme. Il n’y a plus l’axe du mal et ses Etats-voyous, il y a des Etats avec lesquels on peut toujours discuter sans perdre de vue l’essentiel rapport de forces. La Corée du Nord, qui a un besoin vital d’échapper aux sanctions accepte la dénucléarisation, mais sans la qualifier de vérifiable ni d’irréversible. Les USA acceptent d’offrir des garanties de sécurité à Pyong-Yang, mais sans lever les sanctions, ni retirer les troupes. C’est donc le commencement d’un processus dont l’homme de la Maison Blanche tire le plus grand profit dans l’immédiat, sans hypothéquer l’avenir.

Trump veut bâtir un mur pour bloquer l’immigration en provenance du sud. L’Italie vient d’interdire ses ports aux migrants du sud de la Méditerranée. C’est la volonté du nouveau gouvernement italien. Ce dernier fait face aux critiques de la gauche, désormais le parti de l’étranger plus que la voix des couches populaires. L’Espagne, à nouveau socialiste, pour son malheur, veut accueillir les migrants. Les « nationalistes » corses se proposent aussi. Il faut les remercier d’avouer ainsi quel est leur camp. Enfin, SOS Méditerranée qui affrète l’Aquarius avec ses 600 migrants illégaux proteste. Il faut féliciter le gouvernement italien qui souligne ainsi l’hypocrisie de la « vague migratoire » et met en lumière ses complices. Les « ONG » immigrationnistes veulent le remplacement des populations et l’effondrement de l’Europe. Ce sont des « sauveteurs » parfaitement intégrés dans une chaîne migratoire dont le « sauvetage » est un maillon normal, avec les passeurs et leurs bateaux pourris en amont.. Les demandeurs d’asile qui veulent avant tout du travail et des aides sociales dans nos pays de Cocagne ne fuient pas la persécution politique, mais la pauvreté ou les combats. Ils pourraient parfaitement tenter de réduire la première ou de mettre fin aux seconds, en restant chez eux. On peut accueillir un opposant politique menacé de mort, non une foule d’individus qui cherchent seulement à vivre mieux chez les autres sans faire le moindre effort pour que ce soit chez eux.

L’Europe se réveille enfin !

 

Source : ndf

Danièle Obono : une bourgeoise chez Mélenchon

Publié par Guy Jovelin le 13 juin 2018

Rédigé par notre équipe le 12 juin 2018.

Danièle Obono, une députée sans le sou

Interviewée par Jean-Jacques Bourdin hier matin, la députée mélenchoniste Danièle Obono a réussi son exercice médiatique. En effet, son interview qui a enchaîné les clichés et les bêtises est finalement sortie de la triste norme politicienne habituelle. Obono a tiré la sonnette d’alarme en raison d’indemnités de député trop faibles ! On savait que les Français étaient dans la mouise, mais de là à ce que nos chers élus soient sans le sou !

En Marche – Les Insoumis : même combat ? Alors que la presse tente de faire croire que Mélenchon est le premier des opposants à la politique macronienne, ses ouailles semblent avoir été rapidement contaminées par l’idéologie dominante sur les bancs de l’Assemblée. Le toujours plus de fric prévaut et fonctionne avec d’autant plus de facilités qu’il vient directement des impôts des Français. Ainsi l’ancienne bibliothécaire trotskiste, Danièle Obono, s’est émue de la situation intenable de ses collègues députés qui doivent se payer un toit à Paris pour pouvoir être présents sur les bancs de l’Assemblée la semaine.

Députés – SDF : une même vie de misère

« Vous voulez qu’on les loge où, les députés ? Ils pourraient avoir les moyens de se loger s’ils avaient une indemnité suffisante pour le faire ». La bombe est lancée par Danièle Obono. Les députés ne sont pas loin d’aller crécher dans des centres d’urgence faute de pouvoir se payer un logement dans une ville aussi chère que Paris. Que fait la mairie socialiste d’Anne Hidalgo ? Que fait l’Etat face à cette situation indécente qui plonge dans la misère l’élite de la France ? L’Etat ne donne que 7 209,74 euros bruts mensuels (au minimum) à chacun des députés. Une misère selon Obono qui est peut-être plus habituée à des sommes ronflantes avec son salaire de petite fonctionnaire et une thèse universitaire commencée en 2003 et qui attend toujours une conclusion…

Rendez-vous compte ! L’indemnité de base n’est que de 5 599,80 euros, une indemnité de résidence de 167,99 euros est versée et une indemnité de fonction de seulement 1 441,95 euros est accordée. Comment vivre avec si peu ? Il est temps que les Français payent plus d’impôts pour que les députés puissent vivre décemment. Ce ne sont pas les 1 200 euros supplémentaires mensuels – justement pour louer un logement – que peuvent demander les députés non Franciliens qui vont changer la donne. Il leur faut un salaire décent et vite !

Obono a vite compris le fonctionnement de la machine politique. Il faut se servir avant de songer à servir les autres. Cela concerne apparemment même les députés soit disant les plus proches du peuple… Le Front de Gauche est une véritable cour des miracles. Après le couple léniniste, voici la députée prolo-bourgeoise trotskiste. Le prochain numéro risque de détonner !

L’Assemblée nationale ferait bien de ne pas revenir sur sa politique accommodante avec les députés sans toit. Car ce que ne dit pas non plus Obono, c’est que l’argent des Français sert aussi à rembourser les frais d’hôtel des députés lorsqu’ils sont à Paris à raison de 200 euros par nuitée maximum. Un pécule minuscule qui serait à l’origine d’une révolution de masse si jamais il venait à être supprimé. Mais que la députée se rassure, les parlementaires votent rarement des lois qui vont contre leurs intérêts… Penser aux autres d’accord, mais penser à soi c’est encore mieux.

Une question se pose désormais à Obono et sa vocation immigrationniste. Comment accueillir des centaines de milliers de « migrants » dans des conditions décentes si la République n’est pas capable de s’occuper de ses propres parlementaires ? Autant dire à nos lecteurs que cette question ne trouvera pas de réponse même avec l’aide de son mentor Jean-Luc Mélenchon.

 

Source : 24heuresactu

Liège (Belgique) : Une handicapée mentale violée et séquestrée par un migrant pour obtenir des papiers. Il voulait lui faire un enfant de force.

Publié par Guy Jovelin le 13 juin 2018

Par  le 12/06/2018

Il empêchait la jeune fille de prendre son contraceptif et lui a fait passer un test de grossesse.

Karim, 30 ans, a écopé de quatre ans de prison ferme par défaut pour avoir violé une handicapée mentale pendant trois jours. Il avait déjà été expulsé du territoire et était interdit de séjour pendant six ans. Cela ne l’a pas empêché de se retrouver à Liège et de croiser la route d’une jeune handicapée de 19 ans, mais dont l’âge mental est estimé par les experts à 7 ou 8 ans.

En novembre 2014, la jeune fille a disparu pendant trois jours. Elle était avec une connaissance lorsqu’elle a rencontré Karim. Ce dernier l’a emmenée dans un squat. Selon la mère de la jeune fille, l’homme a violé celle-ci dans le but de la faire tomber enceinte pour régulariser son séjour. Karim a empêché la victime de prendre sa pilule et s’est rendu avec elle dans un planning familial pour lui faire passer un test de grossesse !

La jeune fille a expliqué qu’il l’avait violentée et forcée à entretenir des relations sexuelles. Il lui avait fait mal au point de la faire saigner. Il lui a également administré des somnifères.

Le suspect a admis qu’il s’était directement rendu compte que la jeune fille présentait un retard. Il a accusé leur connaissance commune d’être l’auteur des viols. Il a prétendu qu’on l’avait accusé car « on voulait à tout prix le mettre en prison ».

Quant à la victime, son audition ne laisse planer aucun doute. « Je n’avais pas le choix parce qu’il allait me taper. Il m’a tirée par les cheveux. » Cette jeune fille avait déjà été violée par un autre individu.

mardi, 12 juin 2018

Mario Borghezio propose d’expulser « 300 clandestins par jour »

Publié par Guy Jovelin le 12 juin 2018

clandestins,mario borghezio,expulsion,ligue du nord

Il est l’une des figures les plus connues de la Lega Nord. Le député européen Mario Borghezio refait parler de lui avec des propositions de mesures draconiennes face à l’immigration extra-européenne en Italie.

« 300 clandestins par jour »

Les déclarations de Mario Borghezio passent rarement inaperçues car l’homme est réputé pour ses prises de positions souvent tranchées. Une réputation confirmée lors de son interview par la radio RTL le 8 juin dernier.

Actuel député européen de la Ligue du Nord, il est aux premières loges pour commenter les intentions politiques du nouveau gouvernement italien. Rappelons tout de même que c’est désormais Matteo Salvini, dirigeant de la Lega, qui occupe les fonctions de ministre de l’Intérieur.

Tandis que ce dernier a déclaré il y a quelques jours que « le bon temps pour les clandestins » était terminé et qu’ils devaient se préparer « à faire les valises », Mario Borghezio a apporté quelques précisions sur les modalités de ces expulsions. Pour lui, « on pourrait commencer par 300 clandestins par jour ».

Expulsions coûteuses

Dans un premier temps, les services du ministère de Matteo Salvini vont se concentrer sur les « sans-papiers et en particulier ceux qui n’ont pas donné de bonnes garanties ». Au cours de son interview, Mario Borghezio affirme alors que « le problème ce ne sont pas les immigrés, ce sont les délinquants qui migrent ».

Cependant, la mise en œuvre de ces mesures va nécessiter des moyens financiers conséquents si l’on en croit le député européen. Celui-ci évoque une somme de plusieurs millions d’euros afin de mener à bien ces expulsions. Au passage, il a rappelé que les gouvernements précédents s’étaient montrés très discrets sur les dépenses qu’une politique migratoire laxiste engendrerait : « Personne n’a jamais dit avec une certaine loyauté aux Italiens ce que coûte cette immigration irrégulière ».

Mauvaise politique de la France

Alors que la journaliste de RTL fait remarqué à Mario Borghezio le coût de cette politique de renvoi vers les pays d’origine de ces migrants en situation illégale, le député de la Lega rétorque que conserver ces populations sur le sol italien coûte, en revanche, « des milliards ». Ce qui représente « une facture active pour [le] gouvernement » avec un impact sur « la sûreté publique et le niveau de qualité de vie ».

Quant au cas de l’Hexagone, Mario Borghezio ne manque pas de souligner que « la France n’a pas soutenu une bonne politique européenne de changement des règles de Dublin ». De même, le pays n’a pas contribué « au renforcement de la défense extérieure des frontières européennes ». Reste à savoir si l’arrivée de Matteo Salvini modifiera la donne dans les États voisins de l’Italie.

 

Crédit photos : Wikimedia Commons (CC)

Source : breizh-info

Nouvelle Route des Balkans : l’Autriche se prépare à fermer sa frontière

Publié par Guy Jovelin le 12 juin 2018

 

Autriche – Quelques semaines après l’ouverture d’une nouvelle « Route des Balkans » passant par l’Albanie, le Monténégro, la Bosnie et la Croatie, le ministre autrichien de l’Intérieur, Herbert Kickl (FPÖ), a annoncé l’organisation d’un exercice grandeur nature de fermeture de la frontière austro-slovène à Spielfeld en Styrie.

Cela fait à peine un mois que nous évoquions l’ouverture d’une nouvelle « Route des Balkans » via la Bosnie et cette question commence à s’imposer sur l’agenda politique des pays de la région : le Monténégro envisage de renforcer sa frontière avec l’Albanie sur le modèle hongrois, la police croate a été contrainte d’ouvrir le feu sur une camionnette qui forçait le passage de la frontière croato-bosniaque avec des clandestins à bord et le Parti démocratique slovène (SDS) de Janez Janša – soutenu par Viktor Orbán – est arrivé en tête des législatives slovènes sur un programme de refus des migrants.

Selon des estimations actuelles, environ 80.000 migrants se prépareraient actuellement dans les Balkans à tenter de rallier l’Europe occidentale.

L’Autriche quant à elle n’est pas en reste et prend d’autant plus au sérieux l’évolution de la situation dans les Balkans, que depuis l’automne dernier, la donne politique a changé à Vienne où la nouvelle coalition ÖVP-FPÖ dirigée par le chancelier Sebastian Kurz (ÖVP) se situe sur une ligne semblable à celle de la Hongrie de Viktor Orbán.

En témoigne notamment l’annonce ce vendredi matin, lors d’une conférence de presse convoquée expressément pour cela, par le chancelier Kurz et le vice-chancelier Strache, de la fermeture de sept mosquées extrémistes, de la dissolution d’une association confessionnelle arabe et de l’expulsion d’une soixantaine d’imams qui ne se conformaient pas à la loi autrichienne sur l’Islam (Islamgesetz).

Dès l’annonce donc de cette nouvelle « Route des Balkans », le ministre autrichien de l’Intérieur, Herbert Kickl (FPÖ), avait indiqué que l’Autriche n’hésiterait pas à fermer hermétiquement sa frontière avec la Slovénie si le besoin s’en faisait sentir. En d’autres termes, il est pour le gouvernement autrichien actuel absolument hors de question que les frontières autrichiennes redeviennent la véritable passoire à migrants qu’elles étaient en 2015.

En contact continu avec ses collègues des pays des Balkans, le ministre de l’Intérieur, Herbert Kickl, a donc décidé de préparer ses troupes et ordonné en conséquence la tenue d’un exercice grandeur nature de fermeture hermétique de la frontière austro-slovène le 25 juin prochain à Spielfeld en Styrie, dans le Sud du pays. Cet exercice qui mobilisera un millier de policiers et de soldats, dont l’unité de gardes-frontières « Puma » nouvellement constituée, simulera la prise d’assaut des postes-frontières par des migrants comme cela s’est produit en 2015 à Röszke à la frontière entre la Hongrie et la Serbie.

« Je veux être préparé pour le cas où tout en espérant que cela ne sera produira pas, » a déclaré à ce sujet M. Kickl qui a convié ses collègues des Balkans à assister à cet exercice de défense active de la frontière.

 

Source : visegradpost