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mardi, 12 juin 2018

France : Entraîné aux explosifs par Al-Qaïda et mentor des Kouachi, Djamel Beghal va sortir de prison

Publié par Guy Jovelin le 12 juin 2018

A noter qu'en 2005 cet islamiste était logé dans un hôtel 3 étoiles, nourri, blanchi par les kouffars, grâce au préfet: 3000 euros par mois durant près d'une année. Et cela alors que de nombreux Français n'arrivent pas à joindre les 2 bouts.

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Un vétéran du djihadisme, formé aux explosifs par Al-Qaïda et qui a fréquenté Ben Laden et les Kouachi, doit être libéré au plus tard au mois d'août. Déchu de sa nationalité française, il aurait dû être expulsé en Algérie, mais Alger s'y oppose.

Djamel Beghal, 52 ans, va sortir de prison au plus tard en août 2018, parmi quelque 450 détenus radicalisés qui sortiront de leurs établissements pénitenciers avant fin 2019.

Le ressortissant franco-algérien avait été condamné à purger une peine de dix ans de prison pour sa participation à un projet d’évasion de Smaïn Ait Ali Belkacem, l'un des organisateurs des attentats de Paris en 1995.

En prison, ce vétéran de la lutte armée djihadiste fait figure de «star», selon le sociologue Farhad Khosrokhavar, cité par le Républicain Lorrain, qui ajoute : «Partout où il est passé, il a laissé une trace». Djamel Beghal a effectivement côtoyé plusieurs générations de djihadistes en France, depuis ses fréquentations avec le Groupe islamiste armé (GIA) à Corbeil-Essonnes dans les années 1990 jusqu'à sa rencontre, en prison, avec la filières des Buttes-Chaumont, dont feraient plus tard partie Amedy Coulibaly et les frères Kouachi (les assaillants de l'Hyper Cacher et de Charlie Hebdo).

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Source et article complet via lesobservateurs

Toulouse inaugure sa grande mosquée de 2800 places financée entre autres par l’Algérie et le Koweit. Elle est dotée d’une école coranique.

Publié par Guy Jovelin le 12 juin 2018

Par  le 11/06/2018 

Au terme de treize ans de travaux et de collecte de fonds auprès des fidèles, la Grande mosquée de Toulouse, dans le quartier d’Empalot, sera officiellement inaugurée samedi 23 juin

Le 23 juin, une centaine de personnalités civiles et religieuses sont conviées par l’association du Cercle de dialogue civilisationnel à l’inauguration de La grande mosquée de Toulouse. Pour Mohamed Tatai, l’imam de la mosquée Al Nour d’Empalot et président de l’association qui porte le projet depuis la pose de la première pierre le 28 avril 2005, cette inauguration officielle marque la fin d’un parcours semé d’embûches qui mobilise depuis treize ans la communauté des quelque 3 000 fidèles qui fréquentent chaque vendredi la petite mosquée implantée depuis 1989 au pied des barres d’immeubles. Celle-ci disparaîtra au profit du nouveau lieu de culte dont le dôme doré surplombe la rocade. Six millions d’euros ont été nécessaires pour ériger cette Grande mosquée de Toulouse dont le nom a été déposé en préfecture au début des années 2000. L’essentiel du financement provient des souscriptions des fidèles de la mosquée Al Nour appelés trois fois par an à verser leur obole sous forme de dons ou de prêts sans intérêts. Deux financements d’États triés sur le volet pour préserver l’indépendance de la mosquée et de ses fidèles ont complété le budget au fil de l’eau. Le ministère des affaires religieuses d’Algérie a versé 213 000 € et celui du Koweït 131 000 €. Mais à deux reprises en 2006 et 2007 lorsque deux officiers Libyens ont proposé à l’imam de se rendre à Paris pour rencontrer Saïf al Islam le fils de Mouhamar Khadafi afin d’envisager un financement libyen de la mosquée, Mohamed Tatai leur a suggéré «d’aller construire une mosquée à Tripoli pour être sûre de tout contrôler».

La Grande mosquée de Toulouse comporte trois salles de prière, dont une réservée aux femmes, d’une capacité de 2 800 fidèles. Elle abrite également une école où sera enseigné le Coran, la langue Arabe, la religion et les sciences islamiques supérieures pour les adultes. Des cours de soutiens scolaires y seront également dispensés. Une dizaine de personnes devraient y être employées. Les ornements de ce lieu de culte ont été importés de plusieurs pays musulmans : les tapis et les portes richement décorées viennent de Turquie, les lustres d’Égypte, les stucs qui décorent les murs sont marocains et les ornements de marbre proviennent de Tunisie.

 

Le département d’Ille-et-Vilaine prévoit une enveloppe de 5,6 millions d’euros pour les enfants des familles de migrants

Publié par Guy Jovelin le 12 juin 2018

Par  le 11/06/2018

Le conseil départemental d’Ille-et-Vilaine a prévu une enveloppe de 5,6 millions d’euros pour venir en aide aux enfants des familles de migrants. Et il assume parfaitement cette aide.

« Cette aide financière, au titre de la protection de l’enfance, est destinée à apporter un complément de ressources aux parents afin de répondre aux besoins éducatifs de leurs enfants. Elle est attribuée pour toute personne résidant en Ille-et-Vilaine sur évaluation sociale, pour une durée de six mois maximum, soulignent les deux élues. Bien que soumis aux fortes contraintes financières imposées par l’État, notre Département réaffirme son engagement en direction des familles et des enfants en difficulté. » […

Ouest-France via fdesouche

La réinsertion des détenus, une obsession étonnante

Publié par Guy Jovelin le 12 juin 2018

La réinsertion des détenus, une obsession étonnante

La réinsertion des détenus, une obsession étonnante

Par André Murawski, conseiller régional Rassemblement national des Hauts-de-France ♦ Le jeudi 31 mai 2018, le Conseil régional des Hauts-de-France a accueilli un colloque sur la prévention de la récidive et des radicalisations. Ayant assisté à une partie de ce colloque, j’ai souhaité partager mes réactions.

Depuis les temps les plus reculés, les sociétés humaines sont organisées dans le but d’assurer à leurs membres les meilleures conditions d’existence. Pour ce qui concerne les relations publiques ou privées, un pacte social est défini et matérialisé par un corpus législatif et réglementaire. Dès lors, toute infraction à la loi constitue une violation des règles de vie auxquelles la société réagit par la contrainte, voire par la force. La punition peut être pécuniaire. Elle peut être privative de liberté. Dans certains pays, elle va jusqu’à l’application de la peine de mort.

S’il est clair que l’auteur d’une infraction ne doit pas en subir les conséquences au-delà de la sanction qui lui est infligée et que sa réinsertion dans la société doit être toujours possible, il est clair aussi que la société ne saurait faire plus en faveur de ceux qui enfreignent la loi qu’elle ne fait en faveur de ceux qui la respectent. Or, les débats auxquels j’ai assisté m’ont donné le sentiment d’une décadence du droit et d’un dévoiement de la solidarité.

En effet, si les débats portaient sur les auteurs de délits ou de crimes, il est frappant de constater que les victimes ou leurs familles étaient, comme c’est trop souvent le cas, méconnues ou sous représentées. Par exemple, Maître Morain, avocat étant intervenu pour faire sortir de prison le plus ancien détenu de France, a longuement évoqué la lourdeur de la peine infligée à son client, sans jamais avoir un mot pour la victime, un sexagénaire invalide que Michel Cardon et son complice avaient torturé, puis battu à mort avant de s’enfuir avec un butin dont la valeur s’élevait à 200 francs (30 euros). Fallait-il vraiment faire sortir Cardon de prison ? Je pense que non.

Evidemment, les personnes invitées à s’exprimer participaient pour la plupart du système judiciaire, de l’administration pénitentiaire ou d’associations d’aide à la réinsertion. Une aide dont on devine à la lueur des échanges qu’elle est plus active que celle à laquelle peut prétendre n’importe quel demandeur d’emploi, de logement ou de prestations sociales qui n’a jamais commis d’infraction. Cette inversion des priorités est anormale : la personne qui respecte la loi et qui est en difficulté devrait être accompagnée mieux que la personne qui a enfreint la loi et qui a causé à autrui une souffrance ou un préjudice parfois irréversibles. La défiance d’une frange importante de la population à l’égard des institutions procède souvent de tels constats.

Les discours prononcés lors de ce colloque montrent, en tout état de cause, que face à des conceptions erronées de la réinsertion, il reste beaucoup à faire. Dans ce domaine, la réforme devrait s’appuyer sur des valeurs morales dont la pertinence et l’efficacité ne sont plus à démontrer. La certitude de la sanction. Des peines intégralement exécutées. Des conditions de détention convenables sans exagération. Une contribution par le travail au coût de la détention… Ces valeurs sont-elles celles d’un certain conservatisme politique et sociétal ? Assurément. Et c’est tant mieux.

André Murawski
9 juin 2018

Source : Correspondance Polémia

Crédit photo : Domaine public, via PixaBay

L’idéologie du « genre » : le refus de la réalité

Publié par Guy Jovelin le 12 juin 2018

enceinte,état civil,idéologie du genre,lgbt,transexuelleOn vit une époque renversante ! La réalité est niée et l’utopie érigée en certitude.

Une histoire survenue en Grande-Bretagne illustre parfaitement cette révolutionphilosophique et anthropocentrique qui corrompt l’intelligence et la société, et mène à la déconstruction de l’humanité.

Une femme veut devenir un homme et faire changer son inscription à l’état civil. Elle commence le processus clinique et bureaucratique de changement de sexe. Entre-temps elle est enceinte et accouche. Après la naissance du bébé, cette femme, désormais pour l’État britannique « homme », veut que sur l’acte de naissance de son enfant elle apparaisse comme « lui ». Le système juridique anglais évidemment ne le permet pas puisque seules les femmes accouchent.

La mère de l’enfant n’est pas d’accord. Elle débute un procès contre l’administration britannique en soutenant qu’avoir été enregistrée comme « mère » « viole son droit humain au respect pour la vie humaine et familiale » et qu’il s’agit « d’une interférence disproportionnée et non nécessaire à la lumière des changements survenus dans la société ». Face à l’objection que seule les femmes peuvent concevoir et accoucher, l’avocat de cette transsexuelle a répliqué que c’est désormais une pratique que les transsexuels puissent conserver certaines fonctions reproductives de l’ancien sexe. Donc les « hommes » transsexuels peuvent accoucher !

Cette histoire d’outre-Manche est la synthèse des aberrations monstrueuses échafaudées par la société nihiliste contemporaine : la réalité n’est plus reconnue comme telle mais n’est que le fruit de la volonté humaine, volonté qui, dans un délire d’omnipotence, ne doit connaître aucune limite. Les règles naturelles sont ainsi subverties par le désordre moral ambiant, chaque désir est élevé en droit. Et puisque est vrai tout et son contraire, alors la vérité n’existe pas : c’est le summum du nihilisme. La personne devient le centre de l’univers et elle est l’architecte de sa propre vérité, du moins cela est-il vrai pour les déjà nés, les sains, les protégés du politiquement correct. L’État est assujetti aux vouloirs des citadins mais pas de tous les citadins. Ce sont les modes qui font la vérité, Dieu et ses lois sont remisés au placard.

Le monde que veulent et préparent les Lgbt, le politiquement et sexuellement correct, défie dans un geste de révolte la Création divine ! Ce n’est que la continuité de la première révolte de Lucifer…

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info