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dimanche, 03 juin 2018

Une activiste d’Amnesty International aide les clandestins : justice et presse complices

Publié par Guy Joveln le 03 juin 2018

Activiste Amnesty International Aide Clandestins Justice Presse Complices
Pour avoir aidé deux clandestins à entrer en France, Martine Landry, activiste septuagénaire d’Amnesty international, était jugée à Nice. La justice a mené l’accusation mollement et la presse fut complaisante : les élites du système sont complices des passeurs.
 
Cédric Herrou, « l’agriculteur » activiste de l’immigration clandestine qui profite de la position de sa ferme dans la vallée de la Roya pour faire passer en France illégalement un maximum de migrants, vient de recevoir une médaille d’or. Auparavant, grimpant les marches tapissées de rouge du festival de Cannes, il avait été mitraillé par les flashes des journalistes et interviewé comme une starlette, alors qu’il présentait, sans aucun complexe, un film célébrant ses délits à répétition. Il y a là une inversion de l’esprit public manifeste. Va-t-on décorer demain des gens qui enfreignent gravement la loi, avec intention et récidive ? Autrement dit, va-t-on traiter des malfaiteurs en héros ?
 

Super Nany aide les clandestins au nom de la Justice

 
C’est précisément deux jours après une perquisition chez Cédric Herrou, où furent découverts des clandestins qu’on renvoya en train, en juillet 2017, que fut signalée l’infraction commise par la militante d’Amnesty International. Martine Landry, agissant à Menton, est allée chercher à pied deux clandestins mineurs guinéens pour les aider à passer la frontière. Il n’y a pas eu de violence ni de scandale, ni d’invasion en masse, et c’est cela qui est intéressant. C’est vous, c’est moi, c’est la voisine d’en face, c’est le monsieur du dessus qui, sans bruit, avec un sourire aimable, contribue jour après jour, goutte après goutte, à la submersion du territoire français par la subversion de ses lois. C’est la révolution au visage de super Nany. Madame Landry est une femme tranquille et discrète, veuve d’un retraité, qui emploie son temps libre à « se rendre utile » par la vie associative.
 

Amnesty International « apolitique » ? Une imposture !

 
Est-elle très rouée, rompue à la manipulation des prétoires en vieille routarde de l’agit prop, ou très naïve au contraire ? A la présidente qui l’interrogeait, elle a répondu qu’elle avait choisi Amnesty International « parce que c’est une association apolitique » qui défend les droits de l’homme. Tout est dit : Amnesty International est précisément le modèle historique des ONG anglo-saxonnes qui instrumentaient les « droits humains » au profit d’une idéologie gauchiste et mondialiste, le masque apolitique étant la condition de sa réussite. Martine Landry tient parfaitement ce rôle. On lui donnerait le Bon Dieu sans confession. C’est une femme de cœur, une mamie concernée par les problèmes des gens et ouverte sur le monde. Elle ne fait pas de politique. Elle aide. Les clandestins à envahir la France. Ce n’est pas grave. C’est bien pour eux. C’est bien pour nous. Voyez Mamoudou.
 

Quand la justice se moque de la police avec les délinquants

 
Si la police des frontières se doit par fonction d’être sans pitié, la présidente Laurie Duca, elle, manifeste une indulgence sans borne à la prévenue. Elle écoutera ses explications sans jamais lui poser une question gênante, et, dès la lecture du procès-verbal dressé par les forces de l’ordre, elle aura choisi son camp : « Reconnaissons cette femme comme étant une activiste d’Amnesty International ». Elle a souri en prononçant ces mots rédigés par le fonctionnaire de police, et la salle a éclaté de rire. Ainsi la justice tournait-elle la police en dérision au profit de la délinquante. Pourtant, le terme activiste convient. Martine Landry travaille régulièrement pour une organisation dont les objectifs politiques et métapolitiques ne sont pas atteints sans enfreindre la loi. Rejeter le mot d’un simple sourire entre dans la stratégie de banalisation décrite plus haut, et la justice se fait ici complice active d’Amnesty International qu’elle poursuit pourtant.
 

La presse complice de l’activiste

 
A l’en croire, Martine Landry est une oie blanche, et la presse, le Monde en tête, prend son parti en tout, le ton et le vocabulaire choisis le montrent. Depuis sept ans, elle remplit pour Amnesty International des « missions officielles » (déclarées aux autorités), elle rencontre des migrants clandestins pour « savoir d’où ils viennent, ce qu’ils cherchent et s’ils veulent demander l’asile en France ». Traduit en Français, elle les aide à chercher les failles de la loi pour s’installer en France. En juillet 2017, sa « mission » fut clairement d’aider deux mineurs guinéens à passer en France. Ses homologues italiens l’avertirent par téléphone, lui remirent les deux clandestins, elle leur fit traverser la frontière pour « les accompagner à la police » afin qu’ils soient pris en charge. Elle remit aux fonctionnaires les copies des démarches engagées auprès de l’Aide sociale à l’enfance en faveur des deux clandestins afin qu’ils bénéficient de sa protection et qu’on ne puisse plus les renvoyer.
 

Les ressources du droit détournées au profit des clandestins

 
Selon elle, il s’agissait simplement de « faire respecter la loi ». Ici, démêlons un petit imbroglio. Martine Landry, Cédric Herrou, et Amnesty international prétendent que ces deux mineurs se seraient trouvés dans la fournée expulsée de la ferme de la Roya. C’est alors, après leur entrée en France, que les démarches auraient été faites auprès de l’ASE. En les ramenant à Menton à la police française des frontières, Amnesty International serait dans son droit. Tel quel, ce serait déjà révoltant pour tout esprit qui n’est pas gagné au laxisme ridicule de la pratique française. Mais il se trouve en plus que c’est faux. Dans l’interrogatoire où ils détaillent leur voyage de la Guinée jusqu’à Menton via la Méditerranée, ni l’un ni l’autre des clandestins n’ont mentionné la Roya. Les bénévoles, qu’il s’agisse de la Roya ou d’Amnesty international ont donc engagé des démarches en faveur de ces deux clandestins avant qu’ils ne mettent le pied en France afin de faciliter leur « accueil ».
 

Idiote utile ou non, la vieille dame est une activiste

 
Il y a bien eu action concertée entre les sections française et italienne d’Amnesty international et mensonge. Le délit est bien constitué. Martine Landry a bien aidé les deux clandestins à entrer en France. Mais la vieille dame était-elle au courant de la manœuvre ? Au bénéfice du doute, madame le procureur a requis la relaxe, en suggérant que d’autres auraient dû être poursuivis. Faisant cela, elle se fait elle aussi la complice des passeurs : la vieille dame a parfaitement tenu son rôle. On ne saura sans doute jamais si c’est une idiote utile ou non, mais elle a évité à Amesty International de subir les foudres de la justice. Les enfants sont des stimulateurs bien efficaces de l’affect, mais les vieilles dames peuvent aussi faire de bons boucliers.
 

Pauline Mille

 

Source :reinformation.tv

Morsang (91) : 40 migrants afghans et soudanais accueillis ce vendredi, les riverains inquiets et en colère

Publié par Guy Jovelin le 03 juin 2018

Par  le 02/06/2018

Les premiers migrants sont arrivés ce vendredi dans les deux gymnases réquisitionnés à Morsang-sur-Orge et Sainte-Geneviève. Une réunion publique été organisée dans la soirée.

Des hommes, principalement des Afghans et des Soudanais qui, après avoir passé plusieurs jours sous la pluie, profitent de ces hébergements pour se reposer.

Cette tranquillité s’oppose à l’inquiétude qui se lit sur les visages des riverains. Une réunion publique a été organisée dans la soirée au sein de l’école Robespierre, situé à quelques pas du gymnase. Une centaine d’habitants ont pu faire part de leurs craintes, mais aussi de leur colère à Marjolaine Rauze, maire (PCF) et Jean-Benoît Albertini, le préfet.

« Pourquoi avoir choisi Morsang, il y a des villes bien plus riches ? Pourquoi ce gymnase alors que nos enfants vont à l’école juste à côté ? » s’agace un homme. « Un diagnostic a-t-il été fait pour savoir s’ils avaient des maladies ? » s’alarme une infirmière. « Comment pouvez-vous assurer la sécurité de nos jeunes qui vont à pied tout seul au collège », renchérit une mère de famille.

(…)

 

Le Parisien via fdesouche

Un élu condamné pour corruption accueilli à l’Elysée : la PAF aurait eu l’ordre de ne pas l’interpeller à Orly

Publié par Guy Jovelin le 03 juin 2018

Par  le 02/06/2018

Léon Bertrand, le maire LR de Saint-Laurent-du-Maroni en Guyane, a été reçu par le chef de l’Etat jeudi 31 mai alors qu’il a été condamné en 2017 à trois ans de prison ferme pour corruption. La consigne avait été donnée à la police aux frontières de ne pas l’interpeller.

Léon Bertrand, comme plusieurs dizaines d’élus locaux, était venu représenter le patrimoine français. Une invitation qui s’inscrit dans le cadre de l’initiative présidentielle de sauver les monuments historiques français en péril. Et la maison du receveur des douanes, à Saint-Laurent-du-Maroni, dont Léon Bertrand est maire, fait partie des 18 sites prioritaires sélectionnés pour le « Loto du Patrimoine ».

Au moment du verdict, le maire de Saint-Laurent-du-Maroni ne s’était pas présenté à l’audience et il avait fait l’objet d’un mandat de dépôt. Ce dernier n’a d’ailleurs jamais été transformé en mandat d’arrêt, autrement dit, Léon Bertrand est libre de circuler partout en Guyane, mais pas en métropole. […]

Selon Le Parisien, la consigne aurait été donnée à la police aux frontières (PAF) d’Orly par le parquet de Créteil (Val-de-Marne) de ne pas arrêter Léon Bertrand à son arrivée à l’aéroport d’Orly. Des consignes qualifiées de « directes et politiques » par un policier interrogé par le quotidien. Le pourvoi en cassation de ce maire LR sera examiné le 13 juin prochain.

 

actu.orange via fdesouche

RN

Publié par Guy Jovelin le 03 juin 2018

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samedi, 02 juin 2018

APPEL DE CARL LANG AUX MILITANTS DU FRONT NATIONAL HISTORIQUE

Publié par Guy Jovelin le 02 juin 2018

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Carl Lang, président du Parti de la France s'adresse aux militants du Front National historique


Je souhaite aujourd’hui m’adresser plus particulièrement aux militants élus et sympathisants du front national historique. 

Hier, le 1er juin 2018, Marine le Pen a liquidé le Front national. Finalement cela s’est fait assez vite. 

Héritière du Front National en 2011, elle en a exclu Jean marie le Pen, son père, fondateur et président d’honneur en août 2015 et donc annoncé en juin 2018 la mise à mort politique du Front National. Sept années ont suffi pour dilapider l’héritage politique et détruire le mouvement fondé par son père en 1972. 

Il est à noter que dans ce discours d’enterrement du Front national elle n’a pas cité une seule fois le nom de Jean Marie Le Pen. Pas un mot pour celui qui a fondé et présidé durant près de 40 le FN avant de le léguer à sa fille. 

À l’infâme trahison politique s’ajoutent l’ignominie personnelle et l’abjection morale. 

Mais cette situation nouvelle a au moins le mérite de la clarté. La boucle de l’imposture, du parricide, des reniements et des allégeances honteuses est enfin bouclée. 

Marine Le Pen a réalisé ce dont rêvait toute la classe politique et médiatique depuis l’émergence électorale du FN en 1983 : dissoudre le Front National. 

Même dans leurs rêves les plus fous, les ennemis de la cause nationale ne pouvaient imaginer que le mouvement fondé par Jean Marie Le Pen en 1972 serait détruit par sa propre fille. C’est leur divine surprise. Et pour la famille nationale, c’est une abomination. Il ne reste plus aujourd’hui du FN de Marine Le Pen qu’une montagne de dettes et les rendez-vous multiples à venir devant le tribunal correctionnel. Après la liquidation politique, la liquidation financière. 

Lorsque nous avons créé le Parti de la France, j’ai déclaré que je n’avais aucune confiance, ni politique, ni personnelle, ni technique en Marine Le Pen et que je refusais de cautionner sa prise de contrôle de fait du Front national dès 2007. 

Les faits ne cessent de nous donner raison et ce, malgré sa promotion médiatique et ses anciens résultats électoraux. Tout ce processus politique qui a conduit à l’élimination du Front National repose sur quelques éléments. 

Tout d’abord, la recherche obsessionnelle de la soi-disant dédiabolisation. À croire qu’elle devait penser que les idées du Front national étaient diaboliques. Pourtant, chacun sait que la diabolisation médiatique et politique est une arme psychologique utilisée en particulier par la gauche, autoproclamée morale contre tous ses adversaires. Les dictatures communistes, quant à elles, diabolisaient leurs opposants en les qualifiant d’ennemis du peuple, de contre-révolutionnaires, d’agents du capitalisme ou de la CIA. La gauche française traite ses adversaires de racistes, d’antisémites, d'extrémistes de droite ou d’homophobes, au choix, en fonction de l’actualité. 

Croire que l’on peut mener le combat politique de résistance nationale sans subir la diabolisation par les ennemis de la nation est d’une affligeante stupidité. Dans cette naïve démarche de dédiabolisation qui conduit mécaniquement à l’allégeance, Marine le Pen n’en fera jamais assez. Elle a exclu son père, liquidé le Front national mais elle s’appelle encore Le Pen. Afin d’aller au bout de sa logique de reniements il faut qu’elle change de nom. C’est d’ailleurs ce qu’elle devrait faire, rendre son nom et son parti à son père. 

Un autre élément qui permet de comprendre la volonté de tourner le dos au Front national est tout simple, Madame Le Pen ne croit pas aux valeurs et aux principes de la droite nationale, elle fait du souverainisme de gauche et, finalement, pour résumer, elle pense comme Chevènement. 
 Enfin cette démarche correspond aussi à une quête de normalisation médiatique dont le but est de rester toujours médiatiquement compatible. 

Telle est la triste réalité. 

Dans cette situation et quelles que soient les désillusions et l’immense déception bien compréhensibles de nombreux militants de l’ancien Front National, l’heure n’est pas aux atermoiements, à la résignation ou au renoncement, il est à l’engagement. 

J’appelle les militants, les élus et les sympathisants de la droite nationale de conviction qui ne se reconnaissent pas dans le parti de madame Le Pen à rejoindre le Parti de la France. 

Ensemble nous avons défendu durant de longues années au sein du Front national historique de Jean-Marie Le Pen, les valeurs et des principes de notre droite nationale populaire et sociale. 

Ensemble, nous allons continuer à le faire au sein du parti de la France. 

Et toujours au service de la cause, du peuple et de la nation. 

Nous savons que renoncer ce serait disparaître. 

Rejoignez-nous. 

Continuons le combat de résistance de la droite nationale.