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dimanche, 07 octobre 2018

« Les Blancs préfèrent les Blancs sur les sites de rencontre », des universitaires veulent éradiquer ce « racisme sexuel »

Publié par Guy Jovelin le 07 octobre 2018

Par  le 06/10/2018

 

Les Blancs préfèrent les Blancs sur les applications de rencontres – mais cela peut changer, selon une étude.

Une nouvelle étude indique que les applications de rencontres permettraient aux utilisateurs de tomber dans des « préjugés raciaux » lorsqu’ils recherchent un partenaire.

Dans leur étude, des universitaires de l’Université Cornell affirment que le «racisme sexuel» qui sévit dans des applications comme Grindr, Tinder et Bumble peut être éradiqué avec quelques modifications simples, comme le fait de ne pas indiquer la race/l’ethnie de la personne et d’insister davantage sur ses hobbies, ce que l’on aime, plutôt que sur son identité, ce que l’on est. Les auteurs indiquent également qu’écrire sur la diversité et l’inclusivité serait une solution pour promouvoir des couples métissés.

Selon l’étude, l’objectif final est de promouvoir des couples plus divers et métissés sur les sites de rencontre.

Jevan Hutson, auteur principal de l’étude, a déclaré dans un communiqué de presse : «Les rencontres en ligne ont un succès sans précédent, ce qui nécessite un examen plus approfondi de la prévention des discriminations dans ces applications de rencontres.»

« De plus en plus de personnes utilisent ces applications et il s’agit d’infrastructures essentielles qui ne suscitent pas beaucoup d’attention en matière de partialité et de discrimination », a-t-il déclaré dans le communiqué de presse. «L’intimité est privée, à juste titre, mais notre vie privée a des répercussions sur des schémas socioéconomiques plus vastes qui sont systémiques.»

(…) Phumlani Kango, de Johannesburg, en Afrique du Sud, a déclaré dans une interview avec NBC que le racisme était également répandu dans son pays.

« Certains hommes diront « Pas de riz, pas de chocolat, pas de curry », ce qui signifie pas d’Asiatique, pas de Noir ni d’Indien. »

Comme le note l’étude – qui a rassemblé les données de recherches antérieures – les Blancs ont dix fois plus de chances de recevoir un message d’une personne noire que de contacter l’utilisateur noir eux-mêmes. Cela suggèrerait une hiérarchie raciale.

L’étude a révélé d’autres exemples d’inégalité dans les applications de rencontres, notamment:

  • Les hommes asiatiques et les femmes noires ont moins de chances de recevoir une réponse positive sur les applis de rencontre.
  • Les Blancs de «tous les âges» préfèrent sortir avec d’autres Blancs.
  • Les étudiants ont tendance à éviter les rendez-vous avec les femmes noires.

Stephanie Yeboah, une blogueuse, a déclaré qu’elle avait vécu le racisme en tant que femme noire dans les applications de rencontres en ligne, même lorsque les gens étaient prêts à là rencontrer, selon The Independent. Elle a ajouté que certaines personnes posaient des questions choquantes, par exemple s’ils pouvaient «attraper le virus de la fièvre jaune».

(…) Kansas City via fdesouche

samedi, 06 octobre 2018

Dijon (21) : les migrants squatteurs de Stalingrad portent plainte pour violation de domicile

Publié par Guy Jovelin le 06 octobre 2018

Par  le 05/10/2018

 

Ce vendredi, en début d’après-midi, une vingtaine de migrants qui occupaient fin août l’immeuble situé 41, avenue Stalingrad, à Dijon, et la Ligue des droits de l’homme se sont donnés rendez-vous devant la cité judiciaire.

Contestant la légalité de leur expulsion, ils vont déposer une plainte pour violation de domicile.

Pour rappel, le 28 août dernier, environ 80 demandeurs d’asile originaire du Tchad, du Mali, du Soudan, d’Érythrée ou encore du Nigeria étaient délogés d’un bâtiment de l’armée de l’air désaffecté, situé avenue de Stalingrad à Dijon.

Macron en pèlerinage chez le général de division…

Publié par Guy Jovelin le 06 octobre 2018

 le

Macron en pèlerinage chez le général de division…

 

L’adepte du “nouveau monde” fait comme tout le monde en se rendant au sanctuaire de la république moderne, sur la tombe de celui que l’on doit adorer si l’on veut se faire une place sur l’échiquier politique français, du Rassemblement National à la France Insoumise.

Comme tous les autres, il se donne l’illusion d’être un homme d’Etat en s’inclinant sur ce tombeau. Avec De Gaulle, Emmanuel Macron s’offre une cure de jouvence aux sources de la Ve république. Il prendra quelques points dans les sondages.

Le Président en marche y est d’ailleurs allé de son petit couplet sur la grandeur de l’Etat. Cet Etat qui, la la veille de la visite présidentielle, s’est vu condamné pour la première fois par sa plus haute juridiction administrative pour sa responsabilité dans les “conditions indignes” dans lesquelles ont été accueillis les harkis après l’abandon de l’Algérie.

On se demande qui organise l’agenda de Macron car, là encore, il fallait le faire !

Qui d’autre que De Gaulle est responsable des “conditions indignes” d’accueil de ces harkis parqués dans des camps de concentrations ? Et l’on n’évoque dans cet arrêt que ceux qui ont pu rentrer en métropole grâce à des soldats de l’honneur ayant désobéi aux ordres du chef de l’Etat tant adulé. Les autres, à cause de ces mêmes ordres, ont été torturés, violés, massacrés, comme des milliers de pieds-noirs, quelquefois à quelques pas de militaires ou de policiers français, armes à la bretelle, qui obéissaient aux consignes criminelles données par De Gaulle et ses complices.

C’est le prince machiavélique de la raison d’Etat que Macron est allé honorer, celui de qui Jacques Perret pouvait écrire en 1963 : “général de brigade à titre provisoire, de division à titre définitif !

Tant que l’on n’en finira pas avec ce mythe fondateur de la décadence française, rien ne changera au royaume de France. On ne construit rien sur le mensonge et l’imposture.

 

Source : lesalonbeige

vendredi, 05 octobre 2018

L’Etat ambitionne d’héberger 86 % des demandeurs d’asile à l’horizon 2020. le budget consacré à la mission « immigration, asile et intégration » est chiffré à 1,58 milliard d’euros en 2019 (+14%)

Publié par Guy Jovelin le 05 octobre 2018

Par  le 05/10/2018

 

Côté hébergement des demandeurs d’asile, l’objectif suppose une augmentation du parc, qui devrait atteindre plus de 97 000 places en 2019.

Les documents budgétaires publiés cette semaine font apparaître un gros coup de pouce à l’intégration de réfugiés. L’Etat se fixe pour objectif d’héberger 86 % des demandeurs d’asile à l’horizon 2020, contre 50 % seulement en 2018.

Au total, le budget consacré à la mission « immigration, asile et intégration » est chiffré à 1,58 milliard d’euros en 2019 (à périmètre constant), soit une hausse de 200 millions par rapport à 2018 (+ 14 %), dans un contexte de tour de vis budgétaire (+ 0,6 % pour le budget général). « Il y a un redimensionnement de la politique d’intégration », dans le sillage du comité interministériel de cet été, qui permettra notamment de financer le doublement des cours de langue et les mesures d’insertion professionnelle, a-t-on expliqué à l’intérieur. Le budget prévoit ainsi une hausse de plus de 40 % l’an prochain des crédits de l’intégration, à 395 millions d’euros, dont 52 millions pour la formation linguistique.

Côté hébergement des demandeurs d’asile, l’objectif « ambitieux » suppose une augmentation du parc, qui devrait atteindre « plus de 97 000 places en 2019 », selon les annexes budgétaires. Pour cela, diverses mesures sont prévues: 1 000 places créées en centres d’accueil pour demandeurs d’asile (CADA), 3 500 en hébergement d’urgence, transfert de places déjà existantes…

 

« Gégé » Collomb, un septuagénaire dépressif ?

Publié par Guy Jovelin le 05 octobre 2018

Rédigé par notre équipe le 04 octobre 2018

La démission rocambolesque de Gérard Collomb va continuer de faire couler beaucoup d’encre. Pour la défense des journalistes, l’ancien ministre de l’Intérieur se plaît à alimenter la machine médiatique. Depuis sa passation de pouvoir ubuesque, Collomb multiplie les interviews avec une idée en simple en tête : passer pour un vieux sage qui prédit des lendemains difficiles. A LaREM, on ne retient que la vieillesse de Collomb quitte à le faire passer pour un pauvre type sénile.

Avec un si mauvais bilan et une sortie qui a mis toute la majorité en émoi, Gérard Collomb aurait dû prendre le premier train et se cacher au moins quelques semaines. Un enterrement de première classe à l’Hôtel de Ville de Lyon où l’opération municipale 2020 est dans les tuyaux depuis déjà de longs mois. Mais non, Collomb accepte tous les micros qu’on lui tend et assure qu’il part sur un bilan excellent même si le vieux politicien a prédit une guerre civile en France…

Collomb en freestyle pour longtemps ?

Quelques commentateurs s’extasient devant la non-langue de bois de Collomb et en oublie qu’il a été un ministre de l’Intérieur inactif et trouillard qui n’a absolument rien fait. Avec un tel parcours ministériel il aurait pu durer tout le mandat de Macron, mais la peur de se retrouver sans rien au jour de ses 80 ans a été trop forte. Dans les coulisses du pouvoir, d’autres explications commencent pourtant à être avancées et elles ne sont guère flatteuses.

Ainsi, un « ponte de la Macronie » interrogé par Le Parisien explique que « Gérard est triplement sous pression : extrêmement fatigué, dépressif et poussé par sa femme à partir. Il est en mode : J’envoie tout balader. Il est à bout ». S’il est vrai que la dépression chez les personnes âgées est un mal dont on parle trop peu souvent, on est en droit de se demander ce qui a bien pu rendre dépressif notre ex-Gérard national… Le Monde pense avoir trouvé la cause : « Cela fait des années que Collomb n’a pas de patron. A Lyon, il n’a jamais eu personne pour lui donner des directives, et voilà qu’il a désormais un président de 40 ans et un Premier ministre de 48 ans au-dessus de lui ». Il est vrai que le changement d’habitudes et les remises en cause sont difficiles chez les vieillards, mais pas que… Il suffit de regarder à l’Elysée pour en avoir la preuve.

D’ailleurs, il est incorrect de parler de « rupture » entre Macron et Collomb. Ce dernier tient à dire et redire que tout va bien et pense même convaincre son monde en assurant que Brigitte l’appelle « Gégé ». Nous sommes ravis pour lui. Tout va bien entre le couple présidentiel et « Gégé » (d’ailleurs que vient encore faire Brigitte Macron dans cette affaire ?), mais au sein de la majorité, la colère gronde. Edouard Philippe était au près des députés pour dire que Collomb était aussi solide que formidable quand il a appris la démission de la tête brulée lyonnaise… On comprend le malaise sur le perron du ministère.

Il est encore tôt pour pousser les critiques trop loin, mais moins de 24 heures après son départ, Collomb est déjà habillé pour l’hiver. « Vieux », « dépressif », incapable de bien diriger son ministère… Si Collomb multiplie les sorties médiatiques et donc les propos pas assez plaisants vis-à-vis du pouvoir, il pourrait bien vite terminer avec la pancarte de vieux sénile accrochée au front. La Macronie est en difficulté, car il faut court-circuiter l’ancien jockey de Macron sans renier une première année pourtant catastrophique. Un travail d’équilibriste qui sera certainement la tâche principale du successeur de Collomb… Dommage que la violence, l’insécurité et le terrorisme passent derrière les enjeux politiciens.

 

Source : 24heuresactu