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vendredi, 12 octobre 2018

Accusé de viol et d’agressions sexuelles, Sidney Amiel crie au complot antisémite !

Publié par Guy Jovelin le 12 octobre 2018

Ecrit par Pierre-Alain Depauw

Sidney Amiel, ancien avocat spécialiste du droit social, est accusé d’un viol sur une ancienne collaboratrice et de plusieurs agressions sexuelles qui se seraient déroulées au sein de son cabinet sur deux clientes et une secrétaire.

L’individu nie les faits et a trouvé l’argument massue : il crie au « complot policier, professionnel et antisémite », ourdi au sein du barreau de Chartres ! 

Pourtant, il ne s’agit pas des premières accusations portées contre lui.  Son ex-belle fille l’avait accusé d’attouchements sexuels alors qu’elle était mineure et l’avait qualifié de « pervers ». « A cause de lui, le sexe était juste présent tout le temps à la maison », avait-elle déclaré. Une trentaine de victimes présumées, collaboratrices, clientes ou stagiaires, avaient témoigné lors du premier procès. Toutes décrivaient des gestes déplacés, des caresses imposées ou bien encore des propositions ou plaisanteries graveleuses, des faits aujourd’hui prescrits dans leur majorité.

L’un des experts qui l’a examiné estime que « la sexualité imprègne le psychisme de M. Amiel ». Il « méconnait ce qu’il y a d’agressif et de sexuel dans ses gestes » à l’égard de son entourage féminin « et l’effet que cela peut produire ».

Son procès devrait se terminer le 26 octobre.

 

Source : medias-presse.info

jeudi, 11 octobre 2018

La Chine part en guerre contre le halal

Publié par Guy Jovelin le 11 octobre 2018

Par  le 11/10/2018

 

La lutte des autorités chinoises contre tout ce qui ressemble de près ou de loin à un musulman continue dans la région Xinjiang. Après l’interdiction du port du voile et les barbes « longues », les autorités locales veulent maintenant mettre au fin au Halal.

Ainsi, une bataille décisive vient d’être annoncée par le Parti communiste chinois d’Urumqi, capitale du Xinjiang, dont les conseillers viennent de prêter serment pour mener une lutte sans merci contre le Halal et sa propagation, rapporte le site Saphirnews.

« Je crois au marxisme-léninisme. Je lève l’étendard et combats jusqu’au bout la mode du halal, ferme dans ma croyance, et même jusqu’à la mort », est-il écrit dans cette note dont le contenu a été relayé par le réseau WeChat.

Les autorités chinoises semblent vouloir tout faire pour mettre fin à l’Islam dans cette région et ont même lancé des « centres de rééducation » pour « éduquer et transformer les personnes qui ont été influencées par l’extrémisme » et « les aider à transformer leurs pensées et à revenir dans la société ou leurs familles », indique la même source.

Roland Hélie ce mercredi soir sur TV Libertés

Publié par Guy Jovelin le 11 octobre 2018

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Vidéo

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Intrusion supranationale : l’ONU veut légitimer la Burqa en France

Publié par Guy Jovelin le 11 octobre 2018

Ecrit par Pierre-Alain Depauw


Dans le cadre du processus menant à la réalisation d’un plan messianique, mondialisme, immigration et islamisation de l’Europe vont parfaitement ensemble, comme l’expliquent volontiers publiquement certains rabbins.

Ceux-ci se réjouiront donc de savoir que le Comité des droits de l’homme de l’ONU, organe de surveillance du Haut-commissariat aux droits de l’Homme (HCR), s’apprête à remettre en cause la loi française du 11 octobre 2010 sur la dissimulation du visage dans l’espace public. Les dix-huit juristes internationaux qui composent cette instance devraient publier avant la fin du mois d’octobre leurs «constatations» à propos de deux requêtes de femmes musulmanes verbalisées pour avoir violé cette loi.

Et ce Comité des droits de l’homme de l’ONU, organe supranational, s’apprête à annoncer que la législation française sur le voile intégral «porte atteinte à la liberté religieuse» et crée une «discrimination» à l’encontre de ces femmes.

Précisons cependant ce Comité des droits de l’homme de l’ONU n’a aucun pouvoir de contrainte. Son avis sur la burqa ne devrait donc pas être suivi d’une modification de la loi française sur la burqa. D’autant qu’en 2014, la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) avait validé la législation, mise en œuvre sous François Fillon. «Consciente que l’interdiction contestée pèse essentiellement sur une partie des femmes musulmanes», bien que des femmes juives porteuses de la frumka devraient également être concernées, la CEDH avait relevé que la loi «n’affectait pas la liberté de porter dans l’espace public des éléments vestimentaires qui n’ont pas pour effet de dissimuler le visage et qu’elle n’est pas explicitement fondée sur la connotation religieuse des vêtements, mais sur le seul fait qu’ils dissimulent le visage».

 

ource : medias-presse.info

VGE – Chirac : Ni oubli, ni pardon possibles

Publié par Guy Jovelin le 11 octobre 2018

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 Bernard Plouvier

Alors que l’un de ses enfants s’est fait agresser à Paris par deux Romanichels, ce qui a coûté quelques centaines d’euros à ce monsieur qui n’est guère dans le besoin, il semble que l’ex-Président Giscard estime que, tel qu’il fut appliqué, le décret de regroupement familial fut une erreur.

D’abord, il serait temps que ce funeste politicien comprenne que cela ne fut pas une « erreur », mais un crime et une forfaiture. Un crime contre la Nation française et une forfaiture car, lorsqu’on hypothèque l’avenir du peuple souverain, l’on prend au moins son avis. Quand y-a-t-il eu un referendum sur l’immigration de masse d’origine extra-européenne dans la VRépublique Française ?

Contrairement à ce que plaide le vieillard au bord de la tombe, ce ne fut pas « une mesure juste et généreuse ». Ce fut un décret publié le 29 avril 1976, sans débat parlementaire, donc à la sauvette, et non par « générosité », mais parce que la consommation intérieure française baissait en raison de l’inflation et du chômage et que grognaient les pontes de la distribution, aux bénéfices amoindris.

Ce décret 76-383, qui marqua le début du désastre pour la Nation, n’exigeait du migrant qu’une durée de séjour d’une année et rien ne l’empêchait d’amener toute sa smala au titre du « regroupement », les vieux parents et les femmes justifiaient l’implantation d’une multitude d’enfants, mais aussi de jeunes frères et de jeunes sœurs. Ce ne fut pas un regroupement familial, mais une entrée massive de clans, de familles élargies.

En 2003, devant la prolifération des émeutes raciales et des zones de non-droit dans notre pays envahi, et au lieu de prendre l’avis du seul souverain légitime de l’État : le corps électoral, on allongea simplement à deux années la durée de séjour du migrant avant qu’il puisse exiger son « regroupement familial ». Tout au plus, les hypocrites rédigeant le nouveau décret spécifièrent-ils que le migrant devait faire preuve « d’une bonne intégration dans la société française » !

Le trafic de haschich, les vols, les viols en tournantes et les émeutes raciales étaient monnaie courante en 2003. Depuis, nous avons connu pire : le terrorisme aveugle et lâche des mahométans djihadistes. Et personne, chez les titulaires des apparences du pouvoir n’envisage de referendum sur l’immigration-invasion.

De 1976 à 2018, rien n’a changé dans la forfaiture permanente. Les droits fondamentaux du peuple souverain : Sécurité, Préférence nationale en matière d’emploi public (c’était un dogme au temps du Front populaire, même au PCF !), protection des générations à venir, sont toujours bafoués.

Giscard et Chirac sont coupables d’avoir fait entrer la Nation dans cette spirale infernale. Et il ne faut pas oublier la Loi Veil sur l’avortement de complaisance du 17 janvier 1975, également publiée lors de la présidence funeste de VGE, Chirac piaffant d’impatience à Matignon, entre deux saillies et deux repas pantagruéliques.

En conclusion, il ne peut et ne doit y avoir ni pardon, ni oubli pour Giscard et Chirac.

 

Source : synthesenationale