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jeudi, 09 octobre 2014

Sécurité - Toulouse (31) De plus en plus d'agressions : le ras-le-bol des policiers

Publié par Guy Jovelin

Depuis quelques semaines, les agressions de policiers s'additionnent à Toulouse. Souvent pour des motifs ridicules. Les syndicats dénoncent, les ...

Lire la suite : http://www.ladepeche.fr/article/2014/10/09/1968599-plus-p...

Publié le 09/10/2014 à 07:46 par la Dépêche du Midi

lundi, 06 octobre 2014

Les agressions contre les policiers à Toulouse jugées « irrationnelles »

Publié par Guy Jovelin

Les quartiers envahis de Toulouse ont été le théâtre à nouveau ces derniers jours de graves incidents. Des policiers ont été caillassés à deux reprises dans le quartier occupé d’Empalot ; lors de l’une des attaques (insultes, menaces, caillassages), alors que les policiers intervenaient pour secourir un fugueur et un individu suicidaire, l’un des assaillants a braqué les fonctionnaires avec une arme factice.

« Ce contexte de violences urbaines, qui était inconnu depuis un bon moment dans ce quartier, relève totalement de l’irrationnel » a précisé la presse locale citant une « source policière » pour qui l’immigration, le racisme antiblanc institutionnel et les politiques procriminelles et ultra-laxistes du gouvernement Valls-Taubira n’existeraient donc pas…

Source

vendredi, 05 septembre 2014

Des caméras embarqués sur les policiers toulousains

Actualités

Publié le 05/09/2014 à 03:54, Mis à jour le 05/09/2014 à 07:59

Les policiers estiment que ces caméras vont faciliter leur protection en cas de litige lors d'une intervention./ Photo DDM, illustration

Les policiers estiment que ces caméras vont faciliter leur protection en cas de litige lors d'une intervention./ Photo DDM, illustration

Expérimentées, les caméras piéton vont bientôt équiper toutes les patrouilles de police. 4 500 caméras ont été commandées. «Un progrès» selon les syndicats.

«Moi je n'ai rien dit, Madame le président. Je vous le jure. C'est eux qui m'ont insulté !»

Dans le box du tribunal correctionnel, le prévenu se défend avec une candeur presque aussi remarquable que ses nombreux antécédents. Sur leur banc, deux policiers en uniforme, dont l'un a la main prise dans un impressionnant bandage, se désolent. «Dès que nous avons voulu l'interpeller, les insultes ont fusé, puis les coups…», détaille un des fonctionnaires qui a laissé son pouce dans la bataille.

Ce dialogue, courant notamment lors des audiences de comparutions immédiates, va-t-il bientôt appartenir au passé ? Sans doute. En effet d'ici 2017, les patrouilles de police vont être équipées de caméra piéton. De petits appareils capables d'enregistrer pendant 6 heures d'affilée et qui, quand ils sont déclenchés, enregistrent même les 30 secondes précédant le top départ.

Ce projet remonte à l'époque où Nicolas Sarkozy occupait un bureau place Beauvau. Manuel Valls, encore ministre de l'Intérieur l'a relancé, en même temps que les matricules d'identification que policiers et gendarmes doivent porter sur leur uniforme. Cette caméra portative pour filmer les interventions de police, et dont le projet avait fait grincer bien des dents en interne, va bien débarquer dans les commissariats. Première livraison dès 2015 et jusqu'en 2017. À terme, chaque patrouille en opération à l'extérieur sera équipée.

Une caméra par patrouille

«La phase d'essai a mobilisé 160 appareils. Elle est terminée et très positive», annonce Didier Martinez, représentant régionale du syndicat Unité SGP-Fo. Testées notamment en ZSP, les zones de sécurité prioritaire dont celle du Mirail à Toulouse, ces caméras dont les policiers ne voulaient pas ont pourtant vite marqué des points. «L'expérience montre que dans 70 % des cas, la présence d'une caméra calme le jeu et fait tomber la pression», souligne le syndicaliste. «Enfin une décision qui va dans le sens de la protection des policiers. Un plus très intéressant», apprécie Luc Escoda, le représentant régional d'Alliance.

«Aujourd'hui, quand une intervention se passe mal, on nous accuse de tous les maux. On passe notre temps à se justifier. Avec les enregistrements, plus besoin. Il suffira de visionner», apprécie un policier membre d'une unité d'intervention.

Tous les syndicats de gardiens (Alliance, Unité SGP-Fo) ou d'officiers (Synergie, SCSI) se disent favorables. À Toulouse, les caméras sont attendues courant 2015.

Jean Cohadon

Source : http://www.ladepeche.fr/article/2014/09/05/1945658-une-po...

dimanche, 23 mars 2014

Une association non-déclarée d’Afro-Maghrébins fiche les policiers

Publié par Guy Jovelin

 

Regroupés en collectif dénommé « Stop le contrôle au faciès », des Afro-Maghrébins ont lancé une application sur l’internet, permettant notamment de ficher les policiers, créant une base de données avec les visages des fonctionnaires du ministère de l’Intérieur. Cette pratique est déjà utilisée par les trafiquants de drogues et l’extrême-gauche. Il s’agit officiellement de « garder une trace » des contrôles en guise de preuve en cas de problèmes futurs. « Si une personne craque au bout de cinq contrôles la même semaine, elle pourra le prouver » prétend un membre du « collectif », qui revendique la constitution d’une base de données « systématisées » des agents. Gage de la fiabilité de l’opération, n’importe qui pourra, de façon anonyme, remplir un formulaire détaillant les conditions de contrôles.

Le logo de l’association fait explicitement référence au Black Power, qui désigne la frange extrémistes du mouvement raciste noir aux États-Unis, qui, comme les Black Panthers, commirent de multiples crimes, jusqu’au viol et au meurtre de femmes blanches.

Les Afro-Maghrébins sont contrôlés, selon une enquête non-officielle, 6 fois plus que les Blancs. Les populations étrangères sont donc largement sous-contrôlées au regard du risque qu’elles représentent : ainsi, dans les prisons, ces étrangers inassimilables représentent plus de 80 % des prisonniers.

Source