Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mardi, 23 septembre 2014

La France mendie un nouveau délai pour ses gabegies de dépense publique

Publié par Guy Jovelin

La France mendie un nouveau délai pour ses gabegies de dépense publique

Par Nicolas Doze : L’État français demande un nouveau délai pour diminuer son déficit et ses gabegies de dépenses publiques à l’UE.Lire la suite

lundi, 22 septembre 2014

Pendant que la France agonise, l’UMP se divertit avec une nouvelle guerre des chefs

Publié par Guy Jovelin

ump-pendu-visu-

Avant son intervention sur France 2 hier soir, le Journal du Dimanche publiait un entretien de Nicolas Sárközy dans ses colonnes. L’ex-président failli, auxquels les Français ont même préféré François Hollande, se plaçait en chef de l’UMP de fait organisant seul ce parti – avec un nouveau pour faire oublier les scandales passés – selon sa volonté.

« Je vais changer le nom du parti, mettre en place une nouvelle organisation, installer une relève et faire revenir les adhérents et donateurs pour redresser les comptes. […] Si je réussis cette nouvelle formation, ils [Alain Juppé et François Fillon] ne pourront plus me rattraper. »

chard-sarkozy_hollande_crise

Lors de son passage sur France 2 hier, il a évoqué à nouveau ses deux adversaires, avec un ton particulièrement condescendant :

« Alain Juppé c’est un compagnon, j’aurai besoin de lui. Je n’ai pas vu qu’il était candidat à la primaire de l’UMP. J’aurai aussi besoin de François Fillon »

a-t-il déclaré comme si la primaire n’avait pas lieu d’être.

Pendant que Nicolas Sárközy prenait la parole sur France 2 et lançait son appel à son « compagnon » Alain Juppé, ce dernier a fait paraître sur son site son programme, marquant autant son désintérêt pour son ancien chef de parti que sa volonté d’accélérer la cadence.

« Je ne suis pas une girouette. Si j’ai dit ça, c’est parce que j’y ai réfléchi, pensé, j’en ai envie et donc je vais aller jusqu’au bout. Je sais bien qu’aujourd’hui le match a commencé et que le tacle commence. On essaie de faire croire que je n’irai pas jusqu’au bout. Eh bien je vais en apporter la démonstration. Vous le verrez en 2016 et 2017 »

avait-il précisé dans la matinée, témoignant ailleurs de sa haine toujours intacte contre le Front national.

« L’intox a commencé […] je ne vais pas passer mon temps à me positionner par rapport à Nicolas Sarkozy, ce qu’il pense, ce qu’il est supposé penser ou ce que vous lui faites dire […] en matière d’ennuis judiciaires, vaut mieux pas se livrer à un match, hein »

s’est-il énervé après les premières violentes attaques de Nicolas Sárközy rappelant la condamnation pour corruption d’Alain Juppé.

« Je n’ai pas le culte des sauveurs, mais le culte des idées. Aujourd’hui, la question n’est pas de savoir qui peut battre François Hollande. A priori, tout le monde. […] Mon rôle au sein de la direction collégiale me commande de ne pas prendre parti, de rester au-dessus de cette compétition interne. Je ne donne aucune instruction »

a lâché de son côté François Fillon, sans même prononcer le mot de son ancien chef et tentant, lui aussi de se placer au-dessus de la mêlée. Comme ses deux adversaires principaux et tout comme Hervé Mariton et Bruno Le Maire, les déjà oubliés de la primaire.

Source : http://jeune-nation.com/2014/09/9538-pendant-que-la-franc...

La méthode syllabique marchait trop bien ! (par Caroline Artus)

Publié par Guy Jovelin

Lundi 15 septembre, Davis Pujadas présentait au journal de 20 heures, sur France 2, un reportage intitulé :« Quelle méthode pour apprendre à lire à l’école ? » (voir la vidéo).

Pendant deux ans, tous les deux mois, des enfants en situation d’apprentissage de la lecture se sont rendus au Commissariat à l’énergie atomique de Saclay pour expérimenter – grâce à l’imagerie par résonance magnétique (IRM) – les deux méthodes : la syllabique et la globale. Les résultats sont sans appel et confirment ce que les neurosciences, depuis une quinzaine d’années, permettent d’évaluer : à savoir l’indubitable efficacité de la méthode syllabique. Celle-là même qui fut utilisée pendant un siècle par des bataillons d’enfants, lesquels, entre 11 et 13, avec un certificat d’études, savaient lire, écrire et compter.

La méthode syllabique est celle qui fait travailler l’hémisphère gauche du cerveau, « le circuit universel de la lecture ». L’enfant visualise le mot, les lettres, puis repère les syllabes qui vont former les sons indispensables à la compréhension du mot. Il part donc du simple vers le compliqué, de l’analyse vers la synthèse.

« Tout autre circuit d’apprentissage éloigne l’enfant de la lecture », affirme le scientifique Stanislas Dehaene.

La reconnaissance des images passe par l’hémisphère droit, et les mots n’étant pas des images, bien plus ardu est de vouloir apprendre à lire en partant du compliqué pour aller au plus simple. Qui plus est, la méthode globale induit la reconnaissance d’une image par amalgame : pour exemple, le « » sera assimilé à une « colline. » En inculquant aux enfants à deviner plutôt qu’à décrypter, on empêche de facto aux capacités d’analyse et de synthèse décrites plus haut de se manifester et, par conséquent, de se développer.

Les conclusions du sociologue Jérôme Deauvieau sont tout aussi édifiantes : son étude portant sur des dizaines d’écoles en Zone d’éducation prioritaire (ZEP) prouve que la syllabique augmente les scores moyens des élèves de 20 %. Ce n’est pas rien, tout de même !

C’est dès les années 20, sous l’influence de certains pédagogues épris de « justice sociale », que la méthode syllabique a cédé, peu à peu, la place à la méthode globale ; à tel point, par exemple, que 4 % seulement des enseignants à Paris et petite couronne la pratiquent.

En outre, les sciences de l’éducation, adeptes des « nouvelles pédagogies », s’étant très largement répandues depuis une quarantaine d’années, comment s’étonner qu’après avoir passé 13 ans sur les bancs de l’école, on compte en France 9,5 % d’illettrés, 14 % aux Antilles, et que 23 % des Réunionnais de 16 à 25 ans le soient également ? Le désastre se situe en Guyane : deux Guyanais sur cinq de la même tranche d’âge ne maîtrisent pas la lecture !

En dépit des découvertes des neurosciences depuis déjà une quinzaine d’années, de l’indubitable efficacité de la méthode syllabique confirmée par les mesures de l’activité cérébrale des jeunes enfants en train d’apprendre à lire, les conclusions – en 2014 – du Commissariat à l’énergie atomique sont pourtant restées sans suite, entend-on dire dans l’émission.

La méthode syllabique marcherait-elle trop bien ?

Cette année encore, 63,4 milliards d’euros sont alloués au budget de l’Éducation nationale, soit 25 % du budget de l’État. C’est le premier poste de dépenses budgétaires : pour faire quoi ?

Source

dimanche, 21 septembre 2014

La web-culture au service de l’Etat islamique ?

Publié par Guy Jovelin

web_18.09-brochettes_scalewidth_460

20/09/2014 – IRAK (NOVOpress)

L’Etat islamique semble parfaitement maîtriser les codes de la web-culture, notamment pour recruter de nouveaux djihadistes.

Un selfie avec un doigt levé vers le ciel, un logo simple et efficace à la manière d’Apple, des photomontages de chat… Bienvenue dans l’univers de la “web-culture”. A quelques détails près. Les selfies ? Réalisés par des hommes barbus, brandissant leurs kalachnikovs vers le ciel. Le logo ? Présent sur le drapeau du groupe djihadiste le plus sanguinaire de ces dernières années. Les lolcats, eux, s’accompagnent de photos de décapitations.

Internet constitue donc une porte d’entrée pour rejoindre l’Etat islamique. Un constat partagé par Benjamin Ducol, doctorant à l’université de Laval (Canada) et spécialiste de la radicalisation en ligne :

“Si l’Etat islamique est si efficace sur Internet, c’est parce qu’ils ont recruté dans les pays Occidentaux. Il y a un effet de groupe des Occidentaux, qui, comme nous, passent la plupart de leur journée sur les réseaux sociaux et sur Internet. Et qui n’ont jamais changé leurs pratiques une fois sur place. Ce n’est pas tant une impulsion qui vient des membres fondateurs de l’Etat islamique”

Voir l'image sur Twitter

ENQUÊTE - Comment L’Etat islamique utilise les codes de la web-culture http://eur1.fr/eACIczw

 

Sarkozy, un long travail commence – par Pierre Saint-Servant

Publié par Guy Jovelin

Face à l'escroquerie politique Sarkozy, un long travail commence

20/09/2014 – PARIS (NOVOpress)

Vendredi 19 septembre 2014, Nicolas Sarkozy a choisi avec l’amour de la forme et le sens de la dignité qui le caractérisent de confirmer son retour – serpent de mer depuis de nombreux mois – dans la vie politique française. Retour qui avait d’ailleurs été anticipé grâce aux nombreuses mises en causes judiciaires dont il est le protagoniste.

Sa déclaration, qui singe la grandeur et le sens des responsabilités mais ne sonne finalement que factice et cérémonieuse, frappe surtout par sa vacuité. Fatigue du sens dirions-nous avec Richard Millet. Une millième fois, nous est joué le coup du changement, de la rupture, du nouvel élan, de l’avenir radieux. Encore heureux que Séguéla ne soit pas passé par là, lui qui appelait il y a quelques jours sur les ondes de Radio Classique à un “espoir d’espérance” en évoquant Sarkozy. Sont-ils tombés bas ? Et depuis combien de temps poursuivent-ils ces discours de basse fosse, nous imposent-ils cet air irrespirable ?

Sa déclaration, qui singe la grandeur et le sens des responsabilités mais ne sonne finalement que factice et cérémonieuse, frappe surtout par sa vacuité.

Malheureusement, plusieurs décennies de culture de masse, de vide culturel, de déracinement acharné, de destruction de l’école, de la famille et de tous les lignages des hommes francs (c’est-à-dire libres) nous portent à la plus grande vigilance. Qu’une nouvelle majorité de Français se forme autour du vide empli de mensonges n’est pas chose impossible. A coup de matraquage médiatique et de “story-telling” savament orchestré, l’imposture peut à nouveau faire son nid.

Lire la suite