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dimanche, 29 avril 2018

UN GENERAL BOSNIAQUE RATTRAPE PAR LA JUSTICE

Publié par Guy Jovelin le 29 avril 2018

samedi 28 avril 2018par Michel Dantan

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Il aura fallu deux décennies pour que les crimes de guerre imputés à l’ancien commandant du 5e corps de l’armée bosniaque commis pendant la guerre civile de Bosnie entre 1992 et 1995 soient enfin pris en considération par la justice de Bosnie-Herzégovine. Un délai que le Président de la Républica Serpska, Milorad Dodic n’hésite pas un instant à mettre sur le compte des protections dont le présumé coupable aurait bénéficié tout ce temps et qui lui ont permis de se soustraire à la justice pourtant informée dés 1999 des crimes qui lui sont reprochés. En effet l’officine du TPIY à Sarajevo avait déja eu connaissance des pièces du dossier incriminant le commandant, mais le tribunal de la Haye n’en avait pas tenu compte, probablement sous la pression des américains ( ce qu’ils démentent formellement) dont l’intérêt n’était pas que celui ci raconte aux juges comment par exemple sur l’aéroport de Tuzla des tonnes de matériels militaires étaient livrés aux troupes d’Alija Izbegovic et comment les américains entraînaient les volontaires musulmans intégrés dans l’armée bosniaque. La position des américains aurait-elle changé. Les semaines à venir le diront. En attendant, c’est un dossier de 8000 pages que les juges devront étudiés, dans lesquelles sont recensés les centaines de civiles et de soldats serbes tués notamment pendant l’ opération Maestral du 8 au 17 septembre 1995 conduite dans la région située à l’Est de la poche de Bihac par le 5e corps de l’armée bosniaque associés aux troupes de l’armée croate. Plusieurs centaines de témoignages concernant les municipalités de Petrovac, Bosanski Krupa, Sanski Most et Klic qui furent le théâtre d’exactions, de même qu’une trentaine de villages incendiés, devraient fournir suffisamment de preuves établissant la réalité des faits et permettre aux juges de confondre leur auteur. Parmi ces documents figurent de nombreuses vidéos dont l’une accessible sur le site de RT où l’on voit le commandant Atif Dudakovic ordonner l’exécution de deux prisonniers serbes(1). Atif Dudakovic ne semble rien avoir perdu de la violeence des sentiments anti serbes qui l’animaient pendant la guerre civile en Bosnie. On l’a vu en effet ces derniers temps à maintes reprises inviter ses compatriotes âgés de 17 à 99 ans à revêtir un uniforme et à s’équiper en armes pour se préparer dit-il à affronter ceux qui selon lui appelleraient à la création d’une Grande Serbie. Des déclarations fracassantes qui ont créé un malaise à Sarajevo et qui peut-être ne sont pas étrangères à son arrestation. 11 anciens officiers de l’armée de Bosnie-Herzégovine ont également été arrêtés pour répondre de crimes présumés commis pendant la même période.

(1) https://youtu.be/5hLgUH_60Fk

 

Source : national-hebdo

LES CASQUES BLANCS REMIS A LEUR PLACE PAR UN CHANTEUR DE ROCK

Publié par Guy Jovelin le 29 avril 2018

samedi 28 avril 2018par Michel Dantan

casques blancs,chanteur de rock,jihadistes,syrieA l’occasion d’un concert qu’il a donné à Barcelone le 13 avril, l’ex leader du groupe « Les Pink Floyd » Roger Waters s’adressant aux milliers de fans venus l’écouter, a qualifié les Casques Blancs » opérant dans les territoires syriens contrôlés par les jihadistes, d’imposteurs au service de la propagande du terrorisme jihadiste (1). Leurs allégations à propos d’une attaque chimiques présumée sur la Goutha orientale dans la banlieue de Damas n’avaient pour but selon lui que de provoquer une intervention militaire de la coalition et d’ajouter après une première salve d’applaudissements du public « qu’en partageant la propagande des casques Blancs, nous encouragions nos gouvernements à bombarder le peuple syrien, ce qui pour nous en tant qu’êtres humains serait une faute aux conséquences monstrueuses ». Autant dire que dans le climat d’hystérie xénophobe anti Assad qui sévit dans les salles de rédaction de la presse mainstream depuis le début du conflit en Syrie, il y avait peu de chances pour que des propos aussi anti conformistes tombées de la bouche d’un artiste chanteur considéré pourtant comme une vedette internationale de la musique rock, reçoivent l’écho qu’ils méritaient. D’où le mur du silence aussitôt érigé par la presse aux ordres autour de l’évènement mais que les sites d’information alternative non encore lestés du poids de la dictature de la pensée unique ont pu aisément contourner pour délivrer aux millions de fans du chanteur le message qu’ils méritaient d’entendre. C’est également aussi grâce aux informations fournis par le journaliste indépendant Max Blumenthal sur son blog Gray Zone (2) qui quelques jours avant le concert de Barcelone avait interviewé l’artiste, que l’on apprend que peu de temps avant sa venue dans la capitale catalane le chanteur avait été pressenti par un photographe français, Pascal Hanrion, connu pur son soutien aux enfants syriens et aux casques Blancs, pour lui demander dans un mail de faire sur scène une déclaration en faveur de l’action des casques blancs. Une proposition que le chanteur devait laisser sans réponse, de même que renseignements pris sur la réputation sulfureuse de l’ONG, il avait décliné de la même façon l’invitation qui lui fut faite en octobre 2016 de participer à un gala de bienfaisance organisé en leur faveur par un anglo saoudien multi millionnaire du nom de d’Hani Farsi en relation avec la société de relations publique The Syria Campaign chargée de faire la promotion des Casques Blancs (3) en les faisant passer pour d’héroïques sauveteurs. Inclassable au regard de ses prises de positions iconoclastes, dont certaines néanmoins dans l’air du temps, le chanteur se revendique comme contestataire, pas prêt en tout cas à se laisser enrôler sans résister sous la bannière des va t-en guerre qui en Syrie ont décidé de continuer à faire couler le sang.

 

Source : national-hebdo

(1) https://www.youtube.com/watch?v=KpVHl1r9Z9E

(2) https://grayzoneproject.com/2018/04/19/exclusive-emails-s...

(3) https://globalepresse.net/2016/10/01/exclusif-la-vraie-pr...

samedi, 28 avril 2018

Chalon-sur-Saone (71) : « au nom d’Allah je vais violer tous vos enfants, au nom de Daech, dès que je sors je me fais plaisir, par Allah je vais me faire plaisir, France de merde »

Publié par Guy Jovelin le 28 avril 2018

Il s’est « vu en prison » dit-il à plusieurs reprises, pour justifier ses réactions. Il dit aussi n’avoir « pas besoin de soins psychologiques », ce n’est pas l’avis du ministère public. Il a un problème de logique, dans tous les cas, car vu son casier (12 mentions dont des outrages, des rébellions, des violences), ses « réactions » étaient le plus sûr moyen de finir par être incarcéré. Mohamed X, 38 ans, ci-devant « père au foyer », est poursuivi pour outrage, menaces de crime, et apologie du terrorisme, refus de se soumettre à l’éthylotest.

« C’est un imbécile » En a-t-il également l’imagination ?

Il n’était que 10h30 du matin, le 22 avril lorsqu’une patrouille de la police nationale lui a demandé, dans le centre-ville de Chalon, de baisser le son de son autoradio, ce qu’il fit, en lâchant, rapporte le procès-verbal : « pauvre France ! », puis il démarre au vert mais aurait grillé le second feu. La patrouille le contrôle, il refuse de donner son identité, « arrogant, ironique ». « Il se serait tu, plaidera maître Varlet, on n’en serait pas là, c’est un imbécile ». En a-t-il également l’imagination ? « Je pisse sur la police, sur les flics comme vous », « au nom d’Allah je vais violer tous vos enfants », « au nom de Daech, dès que je sors je me fais plaisir », « par Allah je vais me faire plaisir, France de merde », « je ne partirai pas seul, je n’ai pas peur de mourir comme un djihadiste ». On vous fait un florilège. Lles menaces furent décochées au commissariat puis à l’hôpital. Oui, on a dû l’hospitaliser : sa garde à vue devrait laisser trace un moment dans la mémoire collective du commissariat de Chalon. (…)

Quelle fascination exercent les attentats sur l’esprit faible de Mohamed X ? « Je ne voudrais pas qu’on lui colle une étiquette », continue maître Varlet : son client, ce prévenu-là, n’a rien de radicalisé, ne s’identifie à personne, à « pas grand-chose ». Du reste la perquisition à son domicile n’a rien donnée. « Il n’a été rien d’autre qu’un guignol dans ce dossier. L’esprit de la loi de novembre 2014 n’est pas de faire condamner les guignols et les imbéciles qui veulent provoquer les policiers. » L’avocat rappelle que son client ne s’est pas rebellé (pas de violences physiques), et qu’une fois calmé, il pleurait : « il s’est vu en prison ».

C’était bien vu : le tribunal condamne Mohamed X, né au Creusot en 1980, désormais 13 mentions à son casier judiciaire, à 8 mois de prison ferme, et à indemniser 5 policiers à hauteur de 400 euros chacun. Il est maintenu en détention.

 

Royaume-Uni: pour la justice les cadavres juifs et musulmans seront prioritaires sur les autres

Publié par Guy Jovelin le 28 avril 2018

Par  le 27/04/2018

 

Les juges de la Haute Cour ont ordonné à une femme médecin légiste de changer son système de files d’attente « illégales » pour le traitement des enterrements.

Des groupes religieux ont intenté une action en justice contre la politique établie par Mary Hassell, médecin légiste en chef du nord de Londres, dont la politique dit que les décès dans sa juridiction sont traités selon le principe du premier arrivé, premier servi.

Cette politique stipule qu’aucun décès ne sera priorisé par le médecin légiste ou ses officier selon la religion de la personne décédée ou de sa famille.

Mais le juge Singh a décidé que la politique était discriminatoire et qu’elle devait être annulée.

(…)

Le juge a ajouté : « Le problème fondamentale avec la politique du défendeur est qu’elle n’établit pas du tout un juste équilibre entre les droits en question. »

« Il s’agit plutôt d’une politique rigide qui exige que le médecin légiste et ses agents ne tiennent pas compte des exigences du peuple juif et musulman en ce qui concerne l’examen précoce et la libération anticipée des corps de leurs proches. »

Les avocats ont fait valoir lors d’une audience le mois dernier que cette politique ignore les « croyances profondes » de certaines communautés religieuses qui exigent que leurs morts soient enterrés le plus tôt possible.

Ils ont déclaré que la position de Mme Hassell était illégale et violait la loi sur les droits de l’homme et la loi sur l’égalité.

À la suite de cette décision, le maire de Londres, Sadiq Khan, a envoyé un tweet : Je me félicite de cette décision de la Haute Cour.

(…)

DailyMail via fdesouche

Grigny (91) : un journaliste d’Europe 1 détroussé à la Grande Borne, il était venu illustrer le « plan Borloo » pour les banlieues

Publié par Guy Jovelin le 28 avril 2018

 

Il était venu illustrer le «plan Borloo» pour les banlieues. L’un des deux voleurs a été interpellé et sera jugé en juillet prochain.

Le reportage sur le « plan Borloo » a tourné court. Ce mercredi, vers 13 heures, un journaliste pigiste de la station de radio Europe 1 a été pris à partie par deux jeunes. Il s’était garé place aux Herbes, en plein cœur du quartier de la Grande-Borne à Grigny (Essonne), quand ils sont venus lui parler. Mais la discussion tourne rapidement à l’agression verbale. Ils lui demandent ce qu’il fait là et le questionnent sur son matériel. Ils finissent par le menacer et lui volent ses clés de voiture ainsi que la veste dans laquelle se trouvait son portefeuille.

 

Le Parisien via fdesouche