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samedi, 28 avril 2018

Jawad Bendaoud où la faillite de la justice française

Publié par Guy Jovelin le 28 avril 2018

Rédigé par notre équipe le 28 avril 2018.

Tout a été dit sur la justice française. Laxiste, encline à protéger les coupables plutôt que les victimes, politisée, décrédibilisée… Les français ont dû avaler toutes les couleuvres d’un pouvoir devenu fou, mais il y a toujours matière à s’enfoncer encore plus dans la décadence. Cette semaine a confirmé tout le mal qu’on est en droit de penser de la justice. La vraie-fausse condamnation du tristement célèbre Jawad Bendaoud serait risible si elle ne signait pas la fin d’un système judiciaire suicidaire.

Jawad Bendaoud appelé communément Jawad s’est fait connaître en 2015 au moment où les forces de l’ordre investissaient le taudis qu’il louait aux assassins du Bataclan. Interviewé par les journalistes, il fanfaronnait et feignait la surprise. L’homme a aidé au plus grand acte de terrorisme dans l’histoire récente, mais il s’en est finalement sorti avec une relaxe. Triomphe de la justice française et surtout de celui qui prévenait ses potes louches d’éviter d’aller au McDo parce que ça allait sauter bientôt !

Plus c’est grave, moins la justice condamne…

Meurtrie, choquée, la France est KO et nos hommes politiques coupables de trop de renoncements et compromissions en appellent à l’Etat de droit pour ne pas sombrer dans la vengeance. Ce même état de droit relaxera donc Jawad, responsable de rien, coupable d’encore moins sauf peut-être de sa propre bêtise, car les déclarations aux juges éclairent sur la personnalité d’un individu paumé et à la morale tout à fait spéciale. Jawad n’aurait d’ailleurs jamais dû être mêlé aux attentats de novembre 2015 puisqu’il avait été condamné en 2008 à huit années de prison pour meurtre.

Mais voilà, une condamnation par la justice française équivaut à une petite tape sur les doigts. Un meurtre au hachoir est puni de huit années de prison qui dans les faits sont raccourcis de moitié. Jawad aurait dû sortir en 2016, mais il zonait fièrement à Saint-Denis bien avant sa date normale de sortie. Aussi étrange que cela puisse paraître, ce meurtre pour une histoire de téléphone portable ne constituait pas sa première condamnation… Jawad avait été notamment condamné à une amende pour avoir détruit un restaurant à coups de hache…

Devenu la risée des réseaux sociaux, Jawad a mal vécu sa détention préventive dans l’affaire des attentats et une fois relâché il jure « sur le Coran » qu’il a appris sa leçon. BFM TV le starifie encore plus avec une interview exclusive où la bêtise de Jawad n’a d’égal que le dégoût qu’inspire un tel média. Mais Jawad reste Jawad et dix mois après sa relaxe, il est envoyé en comparution immédiate pour menaces de mort sur son ex-compagne. Des menaces à prendre au sérieux puisqu’il a déjà tué son meilleur ami pour un portable…

Retour (rapide) à la case prison ? La justice française, égale à elle-même en décide autrement puisqu’elle le condamne à six mois de prison avec sursis. Les plaintes de l’ancien prévenu ont certainement ému la cour… Même les menaces proférées au cours de l’audience n’y suffiront pas. Jawad mérite d’être libre et s’en sort avec une obligation de soin… Une mauvaise plaisanterie d’autant que les psychiatres qui l’avaient évalué ont estimé qu’il ne souffre d’aucune pathologie, mais seulement d’une « intolérance à la frustration ». La boucle est bouclée. L’enfant-roi, le déni d’autorité et la faiblesse de la justice se combinent habilement pour produire des Jawad libres de leurs mouvements.

Cerise sur le gâteau, pendant l’audience Jawad se félicite de gagner 3 000 euros par mois grâce à son compte Snapchat et ses 80 000 vues par jour. Une célébrité et des revenus qui auraient rendu jalouse son ex-compagne qui aurait ainsi mérité des menaces de mort. Logique toute jawadienne qui n’a pas ému outre mesure la justice avec une condamnation au rabais. Il sera difficile à la justice française de se couvrir encore plus de honte, mais à défaut d’être laxiste, elle trouve toujours un moyen (déplaisant) de nous étonner.

 

Source : 24heuresactu

vendredi, 27 avril 2018

EN FRANCE, ON AIME ...

Publié par Guy Jovelin le 27 avril 2018

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 Jean-Claude Thialet

Quelle potion magique rendra suffisamment de virilité aux "Souchiens", non pour prendre au colback (à la façon du dessin ci-dessus, ce qui ne serait pas jugé républicainement "correct" !) nos hôtes dont une minorité grandissante commence à dépasser les bornes, mais simplement pour oser leur dire en face : ras-le-bol de vos exigences accrues, ras-le-bol aussi de vous voir couvrir par votre silence (voire votre solidarité plus ou moins affichés) tous les actes dont vos correligionnaires se rendent coupables et qui remplissent nos prisons, quand ils n'ont pas plongé dans la désolation les familles victimes d'attentats commis au nom de votre Dieu, le Puissant et le Miséricordieux !

Oui, quelle potion magique rendra leur virilité à ceux auxquels il reste encore quelques gouttes de sang gaulois et qui, formatés à la "pensée unique" et au "politiquement correct" par l'Ecole de la République, les Médias et les Assoces en tous genres qui ont fait de l'antiracisme leur fonds de commerce (avec les subventions payées par le contribuables !), sont émasculés par la "Police de la Pensée" et la loi "scélérate" !(1) Fabius/Gayssot aggravée sur proposition du député "de droite" Lellouche ? Des Gaulois qui sont de plus en plus aux prises avec d'autres Associations (toutes animées par l'esprit de gauche !) qui passent leur temps à vouloir interdire aux autres ce qu'ils n'apprécient pas, ou ce contre quoi ils militent. Tout cela au nom de (faux) principes moraux ou philosophiques ! Par exemple la chasse et la corrida (2) ... 

Notes

(1) le mot est de Toubon Jacques, passé aujourd'hui à la Socialie (avant de rejoindre "La République en Marche" ?) comme "Défenseur des Droits" (sûrement pas ceux des "Souchiens" !) et qui avait oublié - devenu Ministre de la Justice (Garde des Sceaux) dans les gouvernements Juppé I et II - de demander l'abrogation de cette "loi scélérate" dont il se sert peut-être aujourd'hui...

(2) précision pour les adeptes de la bien-pensance : je ne suis ni chasseur ni aficionado. Tout juste un monarchiste qui entend que son Pays, la France, Pays à la Culture bi-millénaire, conserve ses moeurs et ses traditions, sans être obligé d'adopter celle d'étrangers au nombre sans cesse grandissant (3) et dont le but final (plus ou moins affiché par certains imans et dirigeants d'Associations de Musulmans) est d'imposer au Pays du "Dâr al-Harb" (le "Pays de la Guerre", ce qu'est la France pour le Coran, Livre qui a force de Loi pour l'Islam !) l'Ouma et la Char'ia. Sinon avec le sabre, du moins par le nombre qui, si l'on en croit les démographes de tous bords (eh oui ! il y a des démographes de gauche !) finira par l'emporter. Au plus tard en 2050 si l'on en croit, disons les moins ... optimistes !

(3) merci à Giscard Valéry et à Chirac Jacques pour leur "Regroupement familial" et leur "IVG", merci à leurs dignes successeurs, particulièrement à Macron Emmanuel et à Edouard Philippe dont la Loi "Asile et Immigration" ne fera qu'aggraver certain "regroupement"...

 

Source : synthesenationale

Rediffusion. Le réseau Soros se dévoile (vidéo 3’22).

Publié par Guy Jovelin le 27 avril 2018

 

Source : lesobservateurs

Paris, « capitale des migrants » : 3000 clandestins installés, 550 supplémentaires arrivent chaque semaine

Publié par Guy Jovelin le 27 avril 2018

Par  le 26/04/2018

 

Près de 3000 migrants sont installés dans le nord de la capitale et 550 supplémentaires arrivent chaque semaine. Le Parisien est allé à la rencontre « de ses hommes déracinés » et des riverains qui vivent au plus près de ces camps.

De dérisoires habitats de fortune, au pied du colossal centre commercial du Millénaire. Sur les rives du canal Saint-Denis, quais du Lot et de l’Allier, aux confins du XIXe arrondissement et d’Aubervilliers (Seine-Saint-Denis), les tentes igloo ne cessent de fleurir, depuis le mois de février dernier, pour accueillir les migrants qui continuent d’affluer — quelque 80 personnes chaque jour — dans la capitale.

Aujourd’hui, ils sont près de 2 500, originaires en majorité de la corne de l’Afrique. 60 % d’entre eux sont Erythréens ou Soudanais. La plupart obtiendront probablement, à la fin d’un interminable parcours migratoire, un titre de séjour en Europe. […]

 

Le Parisien via fdesouche.

jeudi, 26 avril 2018

LE PARTI DE LA FRANCE OU LA CONTINUITÉ DU FRONT HISTORIQUE

Publié par Guy Jovelin le 26 avril 2018

Un article de Rémi Tremblay (EuroLiberté) sur Un chemin de résistance, le livre de Carl Lang 

Ceux qui ont aimé les récentes mémoires de Jean-Marie Le Pen – et ils sont nombreux – apprécieront cet entretien de Carl Lang mené par Jean-François Touzé qui amène un point de vue différent sur l’histoire du Front National.

 

Le Parti de la France ou la continuité du Front historique

Lang, qui célèbre cette année 40 ans de lutte pour la nation, 40 ans de résistance sans compromission, « sans courber l’échine » et « sans baisser la tête », s’est joint au Front à l’âge de 20 ans, en 1978. Refusant le communisme, mais aussi le libéralisme, il rejoignit le camp national pour entreprendre le combat de sa vie aux côtés du charismatique Jean-Marie Le Pen. 

Son ardeur et son militantisme le firent remarquer et il gravit rapidement les échelons, dirigeant notamment le Front National de la Jeunesse ainsi que le Mouvement des Jeunesses d’Europe et devenant le secrétaire général du parti. Au-delà des souvenirs militants, en lisant cet entretien, on revit l’émergence du Front comme alternative sérieuse aux partis du système et comme force révolutionnaire, mais aussi sa transition vers un parti compatible à la pensée dominante. 

Loin d’être aigri malgré les trahisons dont il fut victime, Lang fait revivre cette glorieuse époque et donne au lecteur les clés permettant de comprendre la situation qui prévaut actuellement au front mariniste duquel il fut d’ailleurs exclu en 2009, année où il décida de fonder le Parti de la France, véritable continuité du Front historique. 

Plutôt que de prendre une retraite de la vie politique qui aurait été bien méritée, il a continué son combat pour la nation, « communauté physique et de destin », perpétuant ainsi son engagement de jeunesse. Refusant le défaitisme ou la fatalité, il affirme que « le rôle des dirigeants politiques n’est pas de subir l’histoire mais d’agir sur les évènements historiques. » 

Partant de ce postulat, il ne propose rien de moins que la remigration, ce qui est fort courageux pour un politicien. Son programme est décrit dans ces pages et en le lisant on comprend rapidement qu’il existe toujours un parti proposant une alternative au système, un parti qui refuse les compromissions et les magouilles, le Parti de la France. 

Carl Lang, Un chemin de résistance, Les Bouquins de Synthèse Nationale, 189 p., 2018. Pour commander ce livre, cliquez ici. 

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