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vendredi, 20 avril 2018

Le renouveau des tatouages traditionnels des filles de Croatie et de Bosnie-Herzégovine

Publié par Guy Jovelin le 20 avril 2018

Par  le 19/04/2018

 

Dans les Balkans, le tatouage a une histoire très ancienne. Ses origines remonteraient à l’Antiquité, aux tribus illyriennes et celtes. À l’époque ottomane, on tatouait les filles catholiques de Bosnie-Herzégovine et de Croatie pour empêcher leur rapt et leur conversion forcée à l’islam. Oubliée sous le socialisme, cette tradition revient à la mode. […]

La tradition aurait survécu discrètement, avant de connaître un fort renouveau sous l’Empire ottoman, qui enlevait régulièrement des enfants aux populations occupées pour les intégrer à ses troupes, voire même à l’élite de son administration. C’est alors que se seraient imposés les symboles chrétiens, en guise de protection contre la pratique bien ancrée du devşirme, le rapt des enfants chrétiens.[…]

Sous l’Empire ottoman, du XVe au XIXe siècle, l’objectif premier de ces tatouages n’était pas ornemental : non seulement, ils devaient empêcher le rapt des fillettes et, si jamais elles l’étaient et devaient se convertir de force à l’islam, leur rappeler leur foi chrétienne originelle.[…] En Croatie, cette tradition avait été importée par des Croates ayant fui la Bosnie-Herzégovine sous occupation ottomane.

La tradition est restée très vivante en Bosnie centrale jusqu’aux années 1950. Après la Seconde Guerre mondiale, elle a perdu en influence et en visibilité, les symboles religieux n’étant pas particulièrement appréciés sous le socialisme, aujourd’hui, les motifs traditionnels de ces tatouages croates reviennent à la mode dans la jeune génération.[…]

 

Le Courrier des Balkans via fdesouche

Elections européennes : la propagande entre en Marche

Publié par Guy Jovelin le 20 avril 2018

Rédigé par notre équipe le 19 avril 2018.

 
 
 
Les politiques pro-européennes et tristement anti-françaises ne connaissent pas de pause. Entre deux lois copiées sur des directives bruxelloises iniques, les responsables politiques font comprendre aux Français qu’ils ne sont pas assez enthousiastes et qu’ils en prendront encore plus pour changer d’avis sur l’Europe et bien voter. Alors que les élections européennes n’auront lieu que dans un an, Emmanuel Macron est déjà entré en campagne. Il faut convaincre l’électeur aujourd’hui pour mieux l’enfoncer demain.

Macron croit-il avoir éteint l’incendie qui menace son château de perlimpinpin ? Il semblerait que ses deux prestations télévisuelles où il n’a cessé de s’auto-encenser aient suffi à lui regonfler un ego surdimensionné. Cette semaine est donc placée sous le signe d’une de ses marottes : l’Union européenne. Invité à prendre la parole devant les parlementaires européens mardi, Macron a ressorti les funestes refrains : l’Europe protège et doit être ouverte à tous les vents et donc à tous les migrants.

L’Europe bruxelloise jusqu’à la lie

Dans le viseur du président, les « démocraties illibérales » ont été vilipendées. Le concept porté par le président hongrois Viktor Orban est la hantise absolue du libéral Macron. Il faut tuer dans l’œuf les espoirs de millions d’Européens et de Français alors on fait mine de s’intéresser au peuple en faisant jaillir l’idée de « consultations citoyennes ». On aurait pu penser qu’une fois lancée à la volée, l’idée retomberait comme un soufflé, mais non. Macron a de la suite dans les idées et lors de son déplacement dans les Vosges ce mercredi, il a mené une première « consultation citoyenne » sur le thème de l’Europe.

C’est à Epinal précisément que cette première a eu lieu. Les Français vont avoir droit à toutes une séries de représentations théâtrales puisque ces fameuses consultations auront lieu jusqu’au mois d’octobre. De quoi bien préparer les esprits avant la campagne officielle des européennes… Et comme d’habitude, les risques pris par le fondateur d’En Marche sont aussi limités que calculés. Trois cent personnes avaient pris place pour écouter sagement le président dérouler son discours. Des Français conquis par Macron et qui étaient là en tant que fans et non pas comme des citoyens concernés par la question européenne.

L’échange était si grotesque que les journaux ont dû le souligner. A quoi sert de bassiner les Français avec des « consultations citoyennes » si c’est pour marcher sur le résultat des referendums (que les politiques se gardent désormais de manier) ? La question est finalement venue (via Internet) et Macron qui l’attendait certainement – était-ce encore une fois préparé ? – a répondu avec gourmandise : « Je comprends le malaise. Certains voulaient l’Europe mais pas celle-là. Avec ces consultations, on rentre dans le détail et on chasse les fausses idées. La responsabilité de la trahison démocratique revient à la France, pas à l’Europe ». Il y a donc eu trahison selon les propres mots du président, mais il serait dommageable de revenir dessus. L’Europe est si belle quand elle se moque éperdument de l’avis et des aspirations des peuples !

Les élections européennes seront un test important pour la macronie. Une victoire écrasante des candidats pro-Bruxelles serait perçue comme un blanc-seing pour saigner la France plus rapidement encore. Les patriotes de tous les pays devront se rendre aux urnes pour donner à l’Union européenne un Parlement qui ne leur fasse pas honte et qui ne travaille pas à leur élimination. Les Européens ont déjà fort à faire avec la Commission, se délester d’un Parlement aux ordres de l’ultra-libéralisme ne serait pas de trop !

 

Source : 24heuresactu

Quatrième nuit d’incidents à Toulouse après l’interpellation d’une femme en niqab : une quinzaine de voitures brûlées

Publié par Guy Jovelin le 20 avril 2018

Auteur : Pierrot

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La soirée de mercredi a été marquée par de nouveaux incidents dans certains quartiers de Toulouse, pour la 4ème nuit consécutive, qui se chiffrent, selon une source policière à une quinzaine de voitures brûlées et à 2 interpellations. En revanche, les affrontements ont été moins nombreux avec les forces de l’ordre.

Ces nouveaux événements interviennent alors qu’un premier auteur a été jugé l’après-midi même en comparution immédiate : le jeune homme de 18 ans a écopé de 6 mois de prison dont 3 mois ferme pour avoir lancé une pierre lundi soir sur un véhicule de police. Il n’y a pas eu de mandat de dépôt à l’audience et le jeune homme n’a donc pas été placé en détention. 10 autres seront jugés vendredi.

Dans la journée, mairie de Toulouse et préfecture avaient renoncé à établir un couvre-feu pour les mineurs, estimant que la situation était désormais « sous contrôle ».

La veille, la nuit avait été un peu plus calme mais une vingtaine de véhicules avaient tout de même été incendiés, principalement sur le parking d’un concessionnaire auto, situé à proximité du quartier du Mirail. Cinq personnes avaient été interpellées et placées en garde à vue. Lundi ce sont 18 personnes qui avaient été arrêtées et plus de 25 véhicules incendiés lors d’une soirée extrêmement mouvementée.

 

Source : francetv via contre-info

Yvelines : deux adolescentes enlevées, séquestrées et violées par un algérien et un marocain

Publié par Guy Jovelin le 20 avril 2018

Auteur : Pierrot

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Deux jeunes filles de 16 et 17 ans auraient été enlevées, séquestrées et violées par trois hommes dans la nuit du 18 au 19 avril, à Limay, dans les Yvelines, rapporte leparisien. Deux des suspects, âgés de 17 et 22 ans, ont été interpellés et placés en garde à vue au commissariat de Mantes-la-Jolie.

La police a été avertie vers 3h30 grâce à l’appel de la sœur d’une des victimes affirmant qu’elle et un ami venait d’échapper à un enlèvement. Mais sa sœur et sa cousine aurait été forcées, sous la menace d’une arme, à monter à bord d’une Renault Clio blanche avant d’être conduites dans un appartement. Connaissant l’adresse, elle l’aurait indiqué aux policiers. Ces derniers se rendent rapidement sur place et forcent la porte de l’appartement. Immédiatement, les trois suspects s’échappent par la fenêtre avant que deux d’entre eux soient rattrapés et interpellés. Il s’agit d’un Marocain et d’un Algérien sans domicile fixe.

Source : rtl via contre-info

jeudi, 19 avril 2018

Djamila Boutoutaou, crève en Irak, et ne remets jamais les pieds en France !

Publié par Guy Jovelin le 19 avril 2018

 

À Djamila Boutoutaou,

Petite vipère, sous ton voile réglementaire cousu d’insignifiante lâcheté, tu réclames pitié, et tu veux rentrer en France. Cela parce que les gens que tu as contribué à transformer en esclaves soumis au pouvoir le plus cruel de notre temps, ces gens-là t’ont condamnée à la solitude et à l’ennui pour le restant de tes jours.

Mise devant ta part de responsabilité des crimes commis au nom de ton Dieu, tenant entre tes doigts le chapelet qui t’attache à son Ordre, tu implores, soudain en pleurs, la compassion d’un pays que tu as fui pour celui des misères et des souffrances les plus terrifiantes de ce siècle à peine commencé.

Aucun remords. Et surtout, fille sans âme ni conscience, vilain robot sorti du moule pour une mission de mort absolue, aucune pitié.

As-tu participé, toi-même, aux bastonnades sur les femmes dont un simple bout de peau paraissait au bas d’une burqa ? As-tu fait partie, Djamila Boutoutaou, de ces commandos féminins de la vertu chargés de finir le travail d’anéantissement commencé par leurs émules machistes et formatées, dans les rues de nos banlieues françaises ?

As-tu vu ces homosexuels que l’on balançait du haut des immeubles, et qui tombaient en hurlant aux pieds d’une foule qui, sans doute pour exorciser sa propre terreur de vivre, lapidait leur cadavre ?

As-tu eu pitié, Djamila Boutoutaou, de leurs soeurs Yazidis, Chrétiennes, Kurdes, Irakiennes, syriennes, enlevées dans la plus pure tradition de l’Islam, rassemblées au marché, exhibées aux intermédiaires des acheteurs ou aux acheteurs eux-mêmes, et vendues : 10 dollars la femme mûre, 50, la jeune mariée, 100 la vierge pubère, 150 si elle avait les yeux bleus ? As-tu eu pitié de celles qui se sont suicidées pour échapper à cela ? Et de celles qu’une balle dans la tête a délivrées de leur martyre ? N’as tu même pas eu envie de vomir lorsque tu as appris que ces choses-là se faisaient dans l’enfer nommé État Islamique ? As-tu réalisé, à ce moment là, que dans le mot islamique, il y a le mot islam ? As-tu réalisé cela, Djamila Boutoutaou ?

As-tu eu une pensée pour les milliers et les milliers de prisonniers, militaires et civils, massacrés au mépris de toutes les lois de la guerre, brûlés vifs, noyés dans des cages, jetés vivants dans des fosses communes, écrasés sous des chenilles de chars, traînés derrière des voitures, livrés aux chiens, pour ce qui constitue la plus parfaite reviviscence des jeux du cirque de l’Antiquité ?

T’es-tu demandé, enfin, Djamila Boutoutaou, parce qu’il faut qu’à toute douleur humaine, il y ait un paroxysme, quelque chose d’indépassable, ce qu’ont pu ressentir des gosses de sept ou huit ans alignés, eux aussi les mains liées dans le dos, et recevant les rafales de kalachnikov qui les envoyèrent saluer Mohamed de la part du Calife ?

Et tu demandes pitié ? Comme si d’ores et déjà, tu te plaçais au-dessus de tout cela ? Comme s’il devenait normal, soudain, qu’une fois achevé le rêve que tu fis du monde idéal d’Allah, ton réveil un peu brutal soit rassuré par le câlin de ton pays natal, par la maternelle compassion d’un Lasfar, d’un Ramadan ou d’un Dupont-Moretti plaidant pour toi devant une Cour ? Par son devoir envers toi, en quelque sorte ?

Son devoir !

Crève, Djamila Boutoutaou. J’ignorais sincèrement la haine jusqu’au jour où je t’ai rencontrée. C’est un sale sentiment, dont je vais vite me débarrasser. Crève au fond de ton trou, à Bagdad ou mieux, à Mossoul. Là, tu verras venir vers toi, jour après jour, nuit après nuit, la cohorte ensanglantée à laquelle tu as assisté, active ou complice quelle importance, à l’agonie puis à la mort. Ils seront tous là, yeux crevés, thorax ouverts, tripes à l’air, gamines violées au ventre en bouillie, morts-vivants pissant rouge par mille trous dans leur peau.

Victimes de ton insupportable bêtise.

Fais-t’en des colliers. Et crève, ainsi parée à ton tour pour aller en enfer.

Jean Sobieski

 

Source : ripostelaique