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vendredi, 15 août 2014

Rassemblement en solidarité avec les Chrétiens d'Irak

 

Tract-orient

Marie Bethanie

Source : http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

jeudi, 14 août 2014

Une fiction très éloignée de la réalité (par J-P Fabre Bernadac)

Publié par Guy Jovelin

Jeudi 7 août, passer une bonne soirée signifiait, pour moi, après une journée de plage et de soleil, regarder sur TF1, devant un petit verre de rosé de Provence, la série « Section de recherches ». Je sais bien que le mensonge est permanent derrière le petit écran ; malgré cela, c’était devant ce même écran que je m’apprêtais à savourer ces histoires policières mettant l’accent sur une unité de gendarmerie que je connais fort bien : celle de la SR, équipe se chargeant exclusivement des affaires judiciaires importantes au niveau régional.

C’était d’autant plus une joie de regarder ces téléfilms que je trouve les intrigues bien ficelées et les acteurs très crédibles, notamment Xavier Deluc dans le personnage du lieutenant puis capitaine Martin Bernier. Hélas, il m’a fallu encore une fois constater que, même dans les meilleures séries, le politiquement correct se retrouvait omniprésent. Cristina Arellano et Sylvie Coquart, les deux scénaristes, avaient concocté dans l’épisode « À la dérive » une fiction des plus éloignées de la réalité. On y voyait des primo-délinquants issus de la France profonde qui se retrouvaient dans un foyer pour jeunes sans qu’aucun des acteurs n’incarnât d’asocial provenant de la diversité. Les seuls émanant de l’immigration étaient les « gentils » : le commandant de la section de recherches et la directrice du foyer.

En résumé et en extrapolant le message délivrée par le producteur et nos deux dialoguistes, les délinquants étaient des Français de souche et les gens qui représentaient l’État dans ses fonctions protectrices étaient un officier issu de l’immigration algérienne et une jeune femme dont la famille venait du Burkina Faso. Pour compléter le scénario et mieux faire comprendre aux braves Français moyens où sont les coupables, l’assassin du flic se trouvait être un jeune « blanco » et son complice, le fils d’une fonctionnaire de police. Ce dernier, impulsif, cognant sa mère, nécessitait d’être enfermé au plus vite dans un hôpital psychiatrique.

Je sais ce qu’est une fiction, j’ai moi-même participé à l’élaboration d’une « bible » (résumé d’un scénario) sur la gendarmerie. La liberté de texte ne peut y être que totale. Il n’empêche que les personnages doivent, pour être crédibles, s’approcher au plus près de la réalité. Mais là est le hic, car transposer les nombreux faits divers journaliers à la télévision sans changer la provenance et la nature des délinquants n’est pas acceptable pour les médias quels qu’ils soient. Non seulement ce n’est pas acceptable mais il faut bien ancrer dans la tête de nos concitoyens qu’ils ne sont que des « Dupont Lajoie« , pour reprendre le titre du film d’Yves Boisset. Lire la suite

Un homme qui défendait sa vie et son bien jeté en prison


 

Publié par Guy Jovelin

Pendant que nos gouvernants laissent les Français les plus faibles à la merci de tous les criminels étrangers, elle tente d’empêcher que les honnêtes citoyens ne réagissent à la tragique situation où le régime plonge le pays. À Joué-sur-Erdre, en Bretagne, un homme de 59 ans a été mis en prison pour avoir défendu sa vie et son bien pendant un cambriolage commis par deux jeunes criminels. Dans la nuit de vendredi à samedi, la victime a été réveillée par des bruits près de sa maison. Déjà cambriolé à plusieurs reprises et vivant dans une bâtisse isolée, il s’est, par sécurité, armé d’un fusil. Dans les minutes suivantes, l’un de ses agresseurs, dont l’appartenance ethnique n’a pas été précisée, a été tué.

Malgré l’évidence de la légitime défense, il a été arrêté, jeté en prison et mis en examen pour homicide volontaire.

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mercredi, 13 août 2014

Luzenac : du talc mais pas de foot (par Patrick Crasnier)

Publié par Guy Jovelin

Luzenac, petit village de moins de 600 habitants dans l’Ariège, haut lieu de l’extraction du talc, industrie qui fait vivre une grande partie des habitants. Dans cette petite ville, une équipe de foot amateur méritante (mais le mérite, aujourd’hui…) pleine d’entrain et de valeurs sportives. Un exemple, quoi.

Cette équipe, dont le président n’est pas moins que Fabien Barthez, ancien champion du monde et Ariègeois de surcroît, a eu le mauvais goût de réaliser un superbe championnat en national. En juin, après le dernier match, le club de Luzenac s’est vu qualifié pour monter en Ligue 2 professionnelle. Énorme joie mais début de la galère pour ces jeunes sportifs amateurs. Le club s’est organisé pour cette montée, il a trouvé de nouveaux sponsors, il a recruté pour « être dans le coup » du championnat professionnel.

C’était sans compter avec les oligarques de la Ligue de football professionnel (LFP), voyant d’un très mauvais œil que des sportifs, à force de qualités sportives, viennent jouer dans « la cour des grands » et, surtout, jeter la zizanie avec leurs valeurs saines. Ils ne savaient pas que, dans le football, seul le fric compte. Nous le savions bien pour les joueurs internationaux, nous le savions pour la Ligue 1 achetée par le Qatar. Beaucoup avaient encore des illusions sur la Ligue 2, pensant que le sport était encore, à ce niveau, un élément déterminant.

Le feuilleton a duré tout l’été, la Ligue professionnelle prétextait des comptes fragiles dans ce club, refusait de voir les comptes consolidés après l’arrivée des nouveaux sponsors. Aucun argument ne trouvait grâce et le couperet était tombé : Luzenac ne jouerait pas en Ligue 2. C’était sans compter sur l’opiniâtreté de cette équipe qui a multiplié les recours pour en arriver, la semaine dernière, au tribunal administratif de Toulouse. Ce tribunal a validé leurs comptes et a exigé qu’ils soient rétablis dans leur droit, à savoir jouer la Ligue 2.

Cette semaine les instances du football ont bien été obligées d’entériner ce jugement et Luzenac a appris, le 7 août, qu’ils allaient enfin obtenir gain de cause, jouer dans ce championnat professionnel qui était déjà commencé sans eux. La Ligue professionnelle avait dit non, son président dictateur ne reviendrait pas sur sa décision et c’est ce qu’il a fait. Vendredi 8 août, le verdict est tombé à 13 heures : refus pour « stade non conforme ». Étonnant, non ?

Sachant que Luzenac doit jouer ses matchs à Toulouse pour des raisons évidentes de nombre de spectateurs, sachant que plusieurs stades – et les plus grands – leur avaient proposé un arrangement, on voit tout de suite la bonne foi de la Ligue de football professionnel. Résultat de cette affaire navrante à la fois humainement et sportivement : le club va disparaître, les nombreuses personnes qui y travaillaient vont aller pointer à Pôle emploi. Fin d’une belle histoire.

Je crains bien que les journalistes sportifs, tous si bien disposés pour le football, ne disent mot de cette affaire honteuse pour le sport en France. Heureusement, le sport, ce n’est pas que le football, loin de là.

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Pour Laurent Fabius, les palaces du Qatar à Paris ont priorité sur les chrétiens d’Irak !

Publié par Guy Jovelin

Le 1er août, le ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius tenait beaucoup à inaugurer l’hôtel Peninsula situé avenue Kleber à Paris. Il s’agit d’un palace qui propose 200 chambres – dont 45 suites -, fruit d’un investissement de 900 millions d’euros qui associe le groupe Shangai Hotels, propriétaire du nom Peninsula, et Katara Hospitality (anciennement Qatar National Hotels), puissant groupe qatari qui possède déjà en France l’Intercontinental Carlton Cannes.

Le Président de Katara Hospitality n’est autre que Son Excellence Sheikh Nawaf Bin Jabor Al-Thani, grande fortune du Qatar. Katara Hospitality appartient au Qatar Holding LLC fondé par la Qatar Investment Authority (QIA) dans le but de développer des rendements stables au profit de l’Etat du Qatar.

Or, le même jour que l’inauguration du Peninsula de l’avenue Kleber, Laurent Fabius devait recevoir  une délégation de chrétiens d’Irak. Pour obtenir des organisateurs de la cérémonie d’inauguration du Peninsula de pouvoir couper le ruban et faire le premier discours, Laurent Fabius était prêt à reporter d’une demi-heure le rendez-vous avec les chrétiens d’Irak. Mais les organisateurs qataris ont décliné l’aimable proposition de Laurent Fabius.

La démarche du ministre des Affaires étrangères est néanmoins très révélatrice. Et constitue un véritable affront pour les chrétiens d’Irak. Surtout au vu du rôle du Qatar dans le financement des djihadistes.

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