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lundi, 11 août 2014

Le bras d’honneur du camarade Poutine

Publié par Guy Jovelin

Le billet de Patrick Parment

poutine.jpgIl ne fallait pas s’attendre à ce que Vladimir Poutine reste de marbre face aux sanctions décidées par Washington et suivies de près par les Toutous européens que nous sommes. Le ministère des Affaires étrangères russe a raison de déclarer que les Européens ne pèsent désormais plus rien sur l’échiquier international.

Le problème est que cet embargo sur les denrées alimentaires, décidé par Poutine, pénalise les Européens et fort peu les Américains. L’Europe est en effet l’un des premiers fournisseurs de la Russie en matière d’agroalimentaire. Ce qui risque, à court terme, de déstabiliser tout le marché intérieur européen. Ce dont, soi dit en passant, se fout complètement Barack Banania.

Quant aux Russes, ce ne sont pas les restrictions qui vont leur faire peur. Au contraire. Plus Poutine se montre intransigeant avec « l’Occident décadent » plus sa cote grimpe auprès des Russes. Voici de quoi faire avaler leur chapeau à tous les sociologues du ruisseau qui bavassent dans Libération ou Le Monde.

Ce qu’il faut bien comprendre, c’est que la décision de Vladimir Poutine est d’ordre politique et qu’il en assumera les conséquences, s’apprêtant même à aller plus loin, si nécessaire. Par ce biais, Poutine met aussi en lumière l’état de dépendance dans lequel se trouvent les Européens vis-à-vis des Américains. Et il les invite à se réveiller,d’être enfin eux-mêmes. Ce langage-là, tous les Européens l’ont compris, sauf ceux qui nous gouvernent. Et c’est bien là le problème. Car toutes ces couilles molles qui nous gouvernent n’auront pas raison face à Poutine. Soixante-dix ans de communisme ont formé les Russes à tous les goulags. Le peuple russe n’est pas encore avachi par la société de consommation comme le sont les Américains et les Européens, vautrés dans leur confort anesthésiant. Et c’est bien là leur force. Ils sont encore un peuple avec une conscience nationale et le sentiment de partager le même destin. 

Les Européens se casseront les dents au petit jeu des embargos. Ca commence déjà. La presse nous entretient de la dérégulation du marché de l’agroalimentaire. Voici qui va venir s’ajouter à l’état catastrophique dans lequel se trouve notre pays.  Sarkozy avait déjà appuyé sur la pédale du déclin. François Hollande n’a plus de pédale du tout, il est le déclin à lui seul.

La rentrée sera chaude, Camarades !

Source : http://synthesenationale.hautetfort.com/

dimanche, 10 août 2014

« 1934-2014 » Les temps changent ? Non, la corruption est toujours là ! »

Publié par Guy Jovelin

Ecrit par Franck Pech

corruption,nationalisme,peupleQuand nous nous penchons sur l’histoire de notre pays, il est des évidences qui ne trompent pas :

1934 : affaire Stavisky, crise politico-économique, mettant en relief la corruption. 

2013-2014 : affaire Cahuzac, affaire Bygmalion etc.

Décidément, les temps changent mais les pratiques restent les mêmes !

La « Ripoublique » a de « beaux jours » devant elle, malgré les multiples scandales qui l’éclaboussent depuis près de quatre-vingts ans.

Le peuple français assiste à ce piteux spectacle et dans sa grande majorité il commence à désavouer le monde politique, en ce sens nous pouvons le comprendre, mais l’inertie dont il fait preuve, le rend coupable à nos yeux.

Le Français râle, vocifère, mais ne mord pas, pis il est tel que le coq gaulois, les deux pattes dans l’excrément, mais ne se révolte pas !

Il fut un temps où le peuple était viril, réagissait avec passion, descendait dans la rue, construisait des barricades, cette époque est révolue.

Ceci est le signe d’une certaine lobotomisation des esprits.

A quand le réveil patriotique, nationaliste, si salvateur pour notre communauté de destin ?

Jusqu’où iront les usurpateurs au pouvoir ?

Telles sont les questions que devraient se poser les Français sains d’esprit...

Le désespoir en politique est une sottise, c’est pourquoi nous devons être à l’écoute de notre peuple, répondre à ses aspirations.

Un nationaliste doit s’imprégner du peuple, il lui faut le sentir, le faire vibrer, le galvaniser, lui  transmettre l’amour de la Nation, le sens de la solidarité nationale.

Il doit être un fervent défenseur de la justice sociale et être fier de son identité.

Telle est notre conception du nationalisme français.

Franck Pech

Chargé de communication du Pdf 31

10 août 1792 : naissance de la République dans un massacre

Publié par Guy Jovelin

Depuis la fuite de Varennes, le roi Louis XVI et sa famille sont assignés à résidence au palais des Tuileries (aujourd’hui disparu), à l’ouest du Louvre.
La tension est vive et, excités par Danton, une foule de sans-culottes se massent aux abords du palais.

La résidence royale est défendue par 900 gardes suisses et quelques centaines de gardes nationaux.
Louis XVI les passe en revue. Selon l’usage, les Suisses et les gardes nationales crient : «Vive le roi !». Mais les artilleurs et le bataillon de la Croix-Rouge crient de leur côté : «Vive la Nation !». Situation confuse.
Le roi gagne là-dessus une terrasse et observe la foule des Parisiens massés. Ceux-ci l’insultent : «À bas le veto ! À bas le gros cochon !».
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DONBASS : QUAND UNE PARTIE DE LA PRESSE AMERICAINE S’AUTOCENSURE

  • 7 août, par Michel Dantan

    438 militaires ukrainiens qui refusent de servir de chair à canon au profit des intérêts de Bruxelles, de Washington et des oligarques ukrainiens et qui dans la foulée demandent asile aux autorités russes, voilà un évènement dont n’importe quel journaliste digne de ce nom se serait aussitôt la nouvelle répandue, rendu sur les lieux pour en savoir plus. Or à en juger par l’indifférence avec laquelle les correspondants de la pesse américaine basés en Russie ont accueilli cette information, il ne fait aucun doute que ces derniers sont uniquement là pour relayer les communiqués de presse de l’armée ukrainienne. Invités par les autorités russes à se rendre dans la région de Rostov pour aller à la rencontre de ces 438 demandeurs d’asile cantonnés dans un camp, les journalistes de CNN, The New York Times, The Washington Post et The Christian Science Monitor, ont décliné l’invitation qui leur était faite estimant sans doute que cette information ne méritait pas d’être exploitée. A moins, et c’est la raison la plus probable, que l’ordre leur ait été donné par leurs rédactions aux ordres de ne point parler d’une affaire qui risquait de mettre à mal la version officielle de la crise ukrainienne où quoi qu’il arrive les rebelles du Donbass sont à ranger du côté des « méchants », l’armée des putschistes et ses milices, du côté de celui des « bons ». Que les désertions de ces dernières semaines parmi les militaires ukrainiens se chiffrent par centaines, qu’un mouvement hostile à la guerre ne cesse de croître dans l’Ouest du pays, ne devraient rien changer à l’affaire. Seul importe de ne pas troubler la conscience des citoyens de base qui continueront d’ignorer comment une armée soutenue par leur pays provoque en Europe des destructions massives d’infrastructures civiles par des bombardements aveugles à l’artillerie lourde, des centaines, voir des milliers de victimes parmi la population et l’exode déja de centaines de milliers d’hommes, de femmes et d’enfants innocents, sans compter les crimes de guerre et les crimes contre l’humanité perpétrés par des milices impregnées d’idéologie raciste.

    Source : Ria Novosti

Le Conseil constitutionnel interdit les hausses des petits salaires, mais valide la criminelle réforme pénale

Publié par Guy Jovelin

Les services du petit-fils de rabbin Jean-Louis Debré, un jour après avoir interdit au gouvernement de donner un – petit – coup de pouce aux 7,2 millions de salariés les moins bien payés au prétexte de « l’égalité », ont validé la quasi-totalité de la réforme pénale de Christiane Taubira. Malgré l’opposition d’une grande partie du monde politique, policier et pénitentiaire, le Conseil constitutionnel a affirmé que le texte, qui permettra, entre autres, à des pédocriminels ou à des trafiquants de drogues d’échapper encore plus qu’aujourd’hui à la prison, était conforme à la constitution.

Les peines planchers sont donc supprimées, et la « contrainte [sic] pénale », qui permet aux juges d’envoyer des délinquants dangereux et irrécupérables chez eux plutôt qu’en prison, est instituée.

Pendant ce temps, le jeune nationaliste Esteban Morillo est privé de liberté depuis 14 mois pour simplement s’être défendu face à des gauchistes qui l'agressaient.

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