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lundi, 07 décembre 2015

Estimation nationale

Publié par Guy Jovelin le 07 décembre 2015

Photo de Thomas Joly.
Thomas Joly

 

On ne peut que se réjouir de la saine réaction électorale des Français ; hélas, sans le savoir, ils se tournent vers d'autres escrocs politiques...

dimanche, 06 décembre 2015

Catholique pratiquant, Mickaël a été assigné à résidence : il était fiché par erreur comme islamiste radical…

Publié par Guy Jovelin le 06 décembre 2015

Résultat de recherche d'images pour "assigné à résidence"Le journal La Dépêche révèle qu’un homme a été assigné à résidence parce que fiché comme islamiste alors qu’il est catholique pratiquant… Pas de quoi être rassuré sur les coulisses de l’état d’urgence !

Mickaël L., 30 ans, s’est présenté au commissariat central dans la nuit du 15 novembre après une perquisition «infructueuse» menée chez un ami à lui, à Blagnac, par la DGSI. «Les policiers me recherchaient. Ils m’ont appris que j’étais fiché comme islamiste radical depuis juin 2014. Je suis assigné à résidence depuis le 24 novembre mais moi je n’ai strictement rien à voir avec tout ça. On m’accuse de faire du prosélytisme pour les salafistes… Je suis catholique pratiquant, j’ai même un tatouage du Christ sur le bras !», s’insurge ce Blagnacais qui a entamé une procédure devant le tribunal administratif pour faire tomber son assignation.

 

Source : http://www.medias-presse.info/

Toulouse : une comptine pas assez laïque fait polémique

Publié par Guy Jovelin le 06 décembre 2015

«L'école doit être l'école de tous. Tous, élèves et parents, doivent pouvoir s'y reconnaître. L'institution scolaire tout comme l'institution municipale sont laïques.» s'indigne le syndicat

 

La mairie de Toulouse a distribué à tous les élèves de petite section un livre-CD de comptines. Parmi elles, la « poule de Colin » évoque un « curé » et une « paroisse ». Le syndicat Snuipp-FSU dénonce une entorse à la laïcité.

Après les crèches de Noël, voici que les comptines pour enfants font scandale. Le livre CD «Chantons avec les animaux rigolos» a été distribué par la mairie de Toulouse à tous les enfants. L'an dernier, la mairie avait offert un jouet, mais les enseignants avaient protesté, ne trouvant pas cela assez «pédagogique». Cette année, la municipalité a donc opté pour un livre, composé d'une dizaine de chansons, parmi lesquelles «Il pleut bergère» et «Frère jacques» et d'autres comptines. L'une d'entre elles, intitulée «La poule de Colin» a scandalisé les gardiens de la laïcité.

Colin a une poule, mais qui pond chez un voisin. La poule finit dans la marmite dans laquelle «tout le monde de la paroisse son venu saucer le pain», «Monsieur le curé qui est venu saucer le sien» ou «puis il a fait la messe avec ses paroissiens (bis) À toutes ses bonnes vieilles qui en ont besoin (…)». Ces paroles ont fait bondir le syndicat Snuipp-FSU, majoritaire dans l'enseignement primaire, qui s'est fendu d'un communiqué furieux. «L'école doit être l'école de tous. Tous, élèves et parents, doivent pouvoir s'y reconnaître. L'institution scolaire tout comme l'institution municipale sont laïques. Un curé bon vivant, des paroissiens rassemblés autours de leur berger et des vieilles qui ont bien besoin de la messe, cela pourrait prêter à sourire. Nous pensons au contraire que les institutions laïques se doivent d'être exemplaires pour demeurer crédibles dans la défense d'une laïcité dont la société a besoin plus que jamais.»

«Cette chanson est mal venue dans la période qu'on traverse»

«Nous n'avons rien contre cette chanson, assure Jean-Philippe Gadier, secrétaire départemental du syndicat enseignant, dans La Dépêche. «On trouve simplement qu'elle est mal venue dans la période qu'on traverse. Le fait religieux est enseigné à l'école, ce n'est pas la question, il l'est dans sa neutralité. La mairie aurait été bien inspirée de ne pas faire référence qu'à une seule religion explicite. Elle devrait respecter toutes les religions dans leur neutralité. Nos écoles sont quand même multiculturelles et cette chanson ne va pas de soi, c'est un malentendu»

Problème: les paroles incriminées par le syndicat ne sont pas présentes dans la chanson distribuées aux élèves. L'éditeur du livre CD a pris soin de supprimer le passage sur «la messe avec les paroissiens». Ne restent que ces paroles:

«Ainsi que Monsieur le curé qui est venu saucer le sien

Ainsi que Monsieur le curé qui est venu saucer le sien (bis)

Pis trouva la sauce si bonne qui s'y trempa les mains

Pis trouva la sauce si bonne qui s'y trempa les mains (bis)

Pis des mains ben jusqu'aux coudes, des coudes jusqu'au reins

«Le syndicat Snuipp-FSU et La Dépêche se sont emballés pour rien», déplore la mairie «Ils sont partis bille en tête sur des paroles trouvées sur internet qui ne sont pas celles présentes sur le livre». Il s'agit d'une chanson du folklore canadien. Sur le livre, les paroles sont accompagnées d'un image d'un curé langue pendue et replet, les mains dans une marmite jusqu'aux coudes. Une image qui pourrait semblait à certains moins anti laïque… qu'anticléricale.

Source : http://www.lefigaro.fr/

Institutrice menacée de mort : les dérisoires réponses de sa hiérarchie et des syndicats !

 Publié par Guy Jovelin le 06 décembre 2015

Institutrice menacée de mort : les dérisoires réponses de sa hiérarchie et des syndicats !

Institutrice menacée de mort : les dérisoires réponses de sa hiérarchie et des syndicats !
 
C’est insupportable !

http://www.midilibre.fr/2015/12/03/vias-l-institutrice-du...

Cette institutrice est menacée de mort par une mère d’élève (carrément, hein, il ne faut pas se gêner, et 99 chances sur 100 qu’il s’agisse d’une Chance pour la France… Qui d’autre, actuellement, a le réflexe menace de mort systématique pour le moindre désaccord ?

Selon nos informations, l’institutrice aurait simplement réprimandé une enfant pour un problème de discipline. La petite aurait alors quitté l’établissement et se serait plainte à ses parents. La mère serait alors venue à l’école et aurait menacé de mort la fonctionnaire de l’Education nationale. « La prochaine fois, on te met une balle dans la tête »

Déjà, en septembre, il y avait eu des menaces du même ordre, dans la même école, avec sans doute, déjà, une mère appartenant aux Chances pour la France…

Déjà, lors de la rentrée de septembre, un incident du même type avait entraîné des violences dans ce même établissement. L’élève avait finalement été changé d’école pour ramener le calme dans celle de Vias.

Quelles réponses sont apportées ? Que se passe-t-il ?

En septembre, on a changé le gamin d’école… Autant dire qu’on a fait un cadeau empoisonné à une autre institutrice, à une autre école… mais qu’on n’a pas résolu le problème.

En décembre… On met l’institutrice à l’abri (c’est un minimum), congé de maladie, aide administrative, assistante sociale… gageons qu’on lui proposera un autre poste, moins exposé… Pendant que son remplaçant serrera les fesses en attendant le coup de couteau qui viendra de la mère en question ou d’une autre…

Depuis les faits, l’institutrice n’aurait pas regagné son poste et serait suivie médicalement et assistée par son employeur. 

De son côté le rectorat a lui aussi pris en charge la victime. « Elle est suivie médicalement et assistée. Une assistante sociale se charge de ce dossier car l’institutrice a été très touchée par ces menaces de mort. Par ailleurs, nous avons missionné sur place des spécialistes de la sécurité. Ils resteront dans l’école tant que nécessaire. Ce sont des spécialistes des gestions de crise de l’éducation Nationale. Nous soutiendrons l’institutrice dans toutes ses démarches et nous l’assisterons tant qu’elle en aura besoin.

Quid de la mère ? Quid de l’enfant ? Quid de la nationalité de l’un et de l’autre ? Etrangers ? Ils sont expulsables immédiatement. Bi-nationaux ? C’est la même chose.

Quid de l’islam qui les anime sans doute ? Toujours pas de commission parlementaire pour en étudier la nocivité et l’interdire ?

Quid de Taubira et des tribunaux ? L’excuse de l’immigration, du « dérangement », la peur de l’émeute  peut nous faire parier que l’auteur des menaces et du désordre n’aura aucun souci. D’ailleurs si elle avait une amende à payer, comme elle est sans doute insolvable…  Il y a pourtant des tas de travaux ingrats, difficiles et indispensables à faire dans ce pays. Pourquoi ne pas les faire faire à ces dangers publics, en attendant que des politiques courageux les expulsent ?

Quant aux syndicats enseignants…

Le SNE condamne avec force ces agissements et apporte tout son soutien à notre collègue. Nous avons sollicité un rendez-vous avec l’inspectrice d’académie pour exprimer nos revendications et si rien n’est réellement mis en place nous envisagerons alors des actions fortes. »

Le syndicat invite tous les enseignants victimes de violences ou d’insultes en lien avec leur profession à déposer plaintes et à réaliser des signalements auprès de la hiérarchie.

« Des revendications »… Je crains le pire. J’imagine qu’il faut entendre « des moyens », des sous, des gens… quand les mêmes syndicats, irresponsables, défendent les clandestins, l’immigration sauvage et l’islamisation de la France, les seuls responsables de la situation tragique de nombre d’enseignants et d’élèves. Quant aux plaintes, voir ci-dessus la justice Taubira et son efficacité…

La mort de Fabienne en juillet 2014 n’a pas suffi, ils n’ont toujours rien compris. D’ailleurs, les proches de celle-ci n’ont rien trouvé d’autre à demander que la régularisation d’une famille de clandestins dont elle s’occupait…

http://resistancerepublicaine.eu/2014/albi-institutrices-...

http://resistancerepublicaine.eu/2014/nous-ne-voulons-ni-...

Je reprendrai ici ce que je disais dans l’article consacré à la mort de Fabienne, http://resistancerepublicaine.eu/2014/enseignante-dalbi-a...  :

Comment une société qui ferme les yeux devant le développement de la violence pourrait-elle éviter cela ? 

Comment une société qui ouvre l’école pour en faire un territoire qui ressemble à la rue et empêche ses professeurs de se faire respecter des parents et des élèves pourrait-elle éviter cela ? 

Taubira, et les ministres de la justice précédents qui, à coups de réformes, ont permis que de véritables dangers humains demeurent en liberté ? Coupables.

Le Ministre de l’EDucation nationale,  Benoît Hamon et ses devanciers, qui imposent depuis  1988 (merci Jospin) le pédagogisme à l’école publique, devenue une immense garderie où les enfants sont rois, et leurs parents  califes ? Coupables.

Bien entendu on peut actualiser et mettre Belkacem à la place de Hamon, cela ne change absolument rien, on peut même se demander si ce n’est  pas pire avec le Ministre actuel de l’Education nationale.

La FCPE qui impose ses diktats de bobos dégénérés afin que baisse chaque année davantage le niveau pour permettre non pas la réussite de tous, mais que chacun, fainiasse ou illettré, se croie un petit génie ?Coupables.

Les syndicats de l’Education nationale qui ont oublié depuis longtemps que pour défendre les leurs, les enseignants, il fallait défendre des contenus et des méthodes capables de faire émerger des élites en favorisant l’ascenseur républicain et non défendre l’indéfendable et utiliser leurs décharges, leurs subventions et leur possibilité de nuisance pour les sans-papiers ou les terroristes du Hamas ?Coupables.

Les enseignants qui, depuis des lustres, voient se dégrader l’école, leur autorité, la  qualité de vie des élèves qui leur sont confiés et la culture qu’ils sont censés transmettre et accélèrent le mouvement en étant plus royalistes que le roi, en militant dans les établissements contre la notation, contre les punitions et exclusions, pour une école ouverte… ?Coupables.

Les associations droidelhommistes qui, depuis des décennies, entrent à l’école et font de la propagande pour mener notre peuple à l’abattoir tout en menant dans les tribunaux une guerre impitoyable contre la liberté d’expression, contre le respect de nous-mêmes, contre tout ce qui est français ?Coupables.

Les stars et starlettes de la chanson, du cinéma ou du sport qui, parce qu’elles déclament bien des dialogues parfois vides et absurdes, chantent avec une belle voix des chansons parfois insipides ou donnent de bons coups de pied dans un ballon se croient inspirées par une voix divine et prétendent donner des leçons de politique et de savoir penser aux Français qui se lèvent tôt, qui aimeraient que leurs enfants ne soient pas traités d’intellos  et qui font tout pour inscrire leurs enfants ailleurs que dans les quartiers où on ne peut plus enseigner ?Coupables.

Les journalistes qui font l’omerta sur les faits-divers concernant l’école, qui relaient les demandes des mères voilées, de ceux qui contestent les notes reçues…et ne font, au mieux, que relativiser, parler de cas isolés, de déséquilibrés, sans donner la parole à tous ceux qui, tels Brighelli, tirent la sonnette d’alarme depuis des années ?Coupables.   

Tous les islamo-collabos qui laissent un système totalitaire violent, qui génère de la violence et notamment l’usage intensif du couteau pour attaquer, l’islam, s’installer et se développer en France,coupables.On ne sait pas encore si la mère d’élève, connue des services de police, habitant le quartier islamisé où se trouve l’école, est musulmane, mais même si elle ne l’était pas, il est clair que la violence liée à toutes les manifestations islamiques ( ou liées à des pays musulmans) sur la voie publique   ne peut que développer un réflexe barbare et l’usage du couteau pour régler ses comptes soi-même.

L’homme est un loup pour l’homme. Les Romains le savaient et le disaient déjà. Mais qu’est devenu l’héritage de nos ancêtres gréco-romains, qui ont laissé des milliers de pages de philosophes pour nous éviter ce que nous sommes en train de vivre. Le retour à l’état de nature, le retour à la loi du plus fort, par la dictature des minorités. 

Relisez, il est plus que temps, Farhenheit 451, de Bradbury. Nous y sommes. Les pompiers brûlent les livres et les maisons afin d’interdire la pensée, l’intelligence, la remise en cause d’un ordre totalitaire en train de s’installer. 

Et une enseignante est morte ce matin, par leur faute. 

 

Et d’autres enseignants vont travailler chaque jour la peur au ventre, par leur faute. Et d’autres enseignants,hélas, seront encore blessés et tués par des barbares venus d’ailleurs que l’on encourage à venir sur notre terre.

Source : http://resistancerepublicaine.eu/

Exclusif : Bouteflika hospitalisé à nos frais, état de siège à Grenoble

Publié par Guy Jovelin le 06 décembre 2015

AV BOU P
Hier après-midi, l’entrée de la clinique d’Alembert de Grenoble : ne pas entrer et ne pas déranger Bouteflika et ses gardes du corps….
 
Difficile pour les Français malades d’accéder hier à la clinique d’Alembert de Grenoble où le « président-dictateur » algérien Abdelaziz Bouteflika, 78 ans, est hospitalisé depuis l’après-midi du 3 décembre. Des forces de sécurité françaises, mais aussi des gardes du corps Algériens contrôlaient tous les accès. Abdelaziz Bouteflika a tellement peur des islamistes intégristes en Algérie et des médecins algériens qu’il préfère se faire hospitaliser en France, mais pas à Paris, ville devenue peu sûre à son goût depuis les attentats du 13 novembre dernier.
 

Selon une infirmière de la clinique d’Alembert de Grenoble, jointe hier soir par téléphone, mais qui préfère conserver l’anonymat, « Abdelaziz Bouteflika restera hospitalisé à Grenoble jusqu’à vendredi soir, voire samedi matin, car il doit subir une série d’examens dans le service de cardiologie du docteur Jacques Monségu, qui le suit depuis une dizaine d’années : au Val-de-Grâce tout d’abord, et depuis 2014 au Groupe hospitalier mutualiste de notre hôpital…. »

Contactée par téléphone, l’ambassade d’Algérie à Paris nous a fait parvenir la copie d’un court communiqué de la présidence de la République algérienne qui annonce que « le président Bouteflika a quitté le pays, ce jour, pour une courte visite privée en France, durant laquelle il effectuera des contrôles médicaux périodiques, sous la direction de ses médecins traitants ».

AV BOUTEFLICôté rue : la crainte qu’un terroriste islamique passe par les fenêtres….

 

Visiblement, la santé du « président-dictateur » d’Algérie s’aggrave, car Bouteflika était déjà hospitalisé à Grenoble le 14 novembre 2014. A cette époque, le président algérien était déjà venu en urgence dans le service de cardiologie dont le responsable travaillait auparavant au Val-de-Grâce, à Paris, et qui aurait sauvé Abdelaziz Bouteflika en 2013 suite à un AVC, qui aurait pu être mortel.

AV BOUT PR2Côté bloc opératoire : cette photo devrait réjouir de nombreux démocrates Algériens….

 

La nouvelle de l’hospitalisation s’est répandue à Grenoble vers 16 h, en raison de l’état de siège mis en place autour la clinique d’Alembert, qui appartient au Groupe hospitalier mutualiste de Grenoble.

Une polémique était née, voici quelques mois, suite à l’absence de paiement, par l’Etat algérien des honoraires médicaux et d’hospitalisation du « président-dictateur » algérien Abdelaziz Bouteflika. Des sommes assez vertigineuses ! Ont-elles été reglées à ce jour ? Ou le contribuable Français doit-il encore mettre la main à la poche pour sauver Bouteflika ?

 

Une enquête de Francis GRUZELLE