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samedi, 29 octobre 2016

Les histrions de la haine

Publié par Guy Jovelin le 29 octobre 2016

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Bernard Plouvier

Les hommes et les femmes des media (et les individus de sexe indéterminable), du journaliste qualifié à l’amuseur public, sont devenus presque tous des agents de propagande, passant alternativement de l’état d’enthousiaste partisan à celui de zélote de la vindicte et de la pure haine.

Manifestement, les professionnels (et les amateurs, via le Net) de « l’information » se comportent en fanatiques, épouvantés par l’idée de se situer en état d’équilibre, ce qui revient à exposer honnêtement les points forts autant que les faiblesses de l’adversaire politique ou de la cible désignée par le propriétaire de la chaîne de media où ils officient.

On ne se situe jamais au juste milieu entre la louange hyperbolique et la dénonciation haineuse. On ne procède plus par réflexions, même dubitatives, mais par affirmations péremptoires sur les individus et les programmes (souvent mensongers, on le reconnaît, volontiers).      

On conçoit que, de nos jours, un Européen s’attaque très vigoureusement à l’islam conquérant et terroriste - l’islam djihadiste – et dénonce avec force l’immigration-invasion. Sur ces points, le fanatisme est de règle, car c’est l’avenir du continent et de sa race qui est en jeu. Seuls les sourds et les aveugles volontaires peuvent nier cette réalité… et ce « négationnisme » est fort bien porté, en dépit de son financement extra-européen, qui devrait logiquement faire évoquer l’accusation de haute-trahison.

Mais, dans le débat interne entre Européens, la haine est à l’évidence un ingrédient aussi stupide que dangereux. À la fin des années quarante, alors qu’il se débattait contre la tuberculose qui l’emporterait, ‘’George Orwell’’ (Eric Blair), dans son immortel 1984, limitait à deux minutes l’émission télévisée quotidienne de haine partisane.

Depuis les années 1990 – la fin de ces années Mitterrand dont on nous rebat les oreilles -, les émissions des chansonniers-imitateurs et les actualités télévisées déversent un message de haine de bien plus longue durée et distillé moult fois au cours de la même journée. Le public en redemande, qui peut zapper d’une chaîne débile vers une autre, plus grotesque encore.

Nous en sommes revenus au niveau de violence verbale (et scripturale sur les blogs du Net) de l’Entre-deux-Guerres. Or de la propagande hyper-violente aux combats de rues, il n’y a pas beaucoup de chemin à faire.

Les sauvageons de l’immigration nous le démontrent quotidiennement, qui s’immiscent dans un débat politique où ils ne devraient pas avoir le droit de pénétrer. Les choix de société en Europe ne concernent que les Européens de souche, du moins le devraient-ils.

Autochtones, ceux-là, des dinosaures reproduisent les détestables habitudes que l’on avait cru disparues avec la fin, dans le ridicule et la misère, de l’abjection marxiste. De curieux ministres de l’Intérieur, en principe voués au maintien de l’ordre, financent et protègent des groupuscules trotskistes… et tout le monde se souvient du jeune étudiant trotskiste et bourgeois qui a perdu la vie dans un combat de rues, incompatible avec sa constitution physique. La responsabilité de la grossière provocation, qui a entraîné le malheureux décès, échoit aux politiciens commanditaires.

L’étude de la vie publique des années 1919 à 1990, en Europe, devrait nous servir de leçon : des insultes on passe très vite aux bagarres et aux morts. Or, en ce triste début de l’ère globalo-mondialiste, les Européens ont mieux à faire que de s’entretuer.

Il est plus que temps de débuter une saine réflexion sur les comportements politiques et la façon d’envisager le débat d’idées. Répétons-le : que l’on s’oppose très vigoureusement à l’immigration-invasion et au péril mahométan, c’est une nécessité vitale pour l’avenir du continent. Mais entre Européens de souche, le débat d’idéaux et de projets de société doit rester de haut niveau intellectuel et moral.

Nous avons trop d’ennemis extérieurs, à la fois trop nombreux et trop puissants, pour nous payer le luxe dangereux de nous étriper mutuellement. L’époque des guerres de religion et des guérillas politiques où le sang coule devrait être considérée comme révolue. L’intérêt des générations futures d’Européens commande de ne pas renouveler les guerres fratricides, ni à l’intérieur d’un pays, ni entre États voisins, ces conflits stupides qui furent si nombreux et si meurtriers au siècle dernier.    

 

Source : synthesenationale

Quimper : Les faïenceries Henriot créent une « Marianne noire » pour soutenir les migrants

Publié par Guy Jovelin le 29 octobre 2016

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Source Breiz Atao cliquez ici

La dégénérescence s’accélère si vite qu’il est difficile de traiter l’information au rythme où les choses évoluent. Cette fois-ci, elle implique les très vénérables faïenceries Henriot, à Kemper/Quimper, en Cornouaille (Finistère).

L’artiste Yannick Cohonner et Jean-Pierre Le Goff, le patron de la faïencerie Henriot-Quimper, se sont tout de suite entendus autour de la création d’une nouvelle statue de Marianne. Leur première rencontre remonte à l’été 2015. Cette collaboration a débouché sur l’édition d’une Marianne, couleur chocolat. C’est aussi un signe supplémentaire de la liberté revendiquée par le patron de la manufacture. Réaliser une Marianne noire, qui plus est à partir d’un prototype en 3D, est une première en France. Cette fois-ci, Yannick Cohonner revendique pleinement cette nouvelle version de Marianne. Elle ne devrait pas laisser indifférent. « Ce serait formidable qu’elle suscite des réactions. Cette Marianne est tout sauf une femme blanche et catholique. Cette figure incarne aussi les valeurs de la citoyenneté qu’il est bon de réaffirmer dans cette période. » (Source)

Cette bouffonnerie appelle plusieurs observations. Premièrement et objectivement, cette production est médiocre, sans inspiration, même dans la catégorie qu’elle prétend occuper : un resucé d’Art Nègre des années 30. On ne découvre pas deux fois l’Amérique.

Que des Bretons dégénérés en viennent à souiller une marque quimpéroise illustre comme Henriot pour consentir à la doxa jacobino-métisseuse, voilà qui donne le ton de l’effondrement général de notre niveau culturel.

On ne peut nier cependant la cohérence à la démarche : Marianne, la putain issue du caniveau révolutionnaire, illustre parfaitement les valeurs de cette république finissante. Elle n’est jamais tant elle-même qu’une fois africanisée. Elle incarne alors parfaitement cette entreprise de destruction que constitue le programme politique du jacobinisme républicain. Surtout en terre bretonne depuis deux siècles.

 

Source : synthesenationale

vendredi, 28 octobre 2016

L’interview inouïe de la préfète du Pas-de-Calais : « Ça fait partie des traditions de la population migrante de détruire leur habitat avant de partir »

Publié par Guy Jovelin le 28 octobre 2016

par 27 octobre 2016

Au passage la préfète qui nous parle au départ de la « tradition » de détruire par le feu les habitats avant de partir, finit par nous expliquer que ce qui a brûlé sont en définitive les commerces. Mensonges et contradictions…

Des propos inouïe, d’autant plus explique-t-elle qu’elle savait très bien que des incendies allaient avoir lieu, disant avoir discuté avec les « chefs de communauté ». Mais devant l’impossibilité de faire renoncer les envahisseurs à leurs « traditions », la préfète s’est contentée des prépositionner des pompier…

Absolument ubuesque !!!

Vidéo du camps après l’incendie « traditionnel » :

 
 

jeudi, 27 octobre 2016

Au moins 323 personnes SDF sont mortes dans la rue sur les dix premiers mois de 2016

Publié par Guy Jovelin le 27 octobre 2016

A homeless person protects himself from the cold in a sleeping bag on the threshold of a retail store in Paris on October 28, 2012. A homeless man was found dead on October 28 in a Paris street, probably due to low temperatures. AFP PHOTO / THOMAS COEX
THOMAS COEX / AFP
 
 

Au moins 323 décès de personnes sans domicile fixe (SDF) ont été recensés par le Collectif Les Morts de la Rue. Mais ce chiffre, correspondant aux morts qui lui ont été signalées, pourrait en réalité être dix fois plus élevé, prévient l'association. L'âge moyen des victimes: 48,2 ans en moyenne.

L’Afrique va-t-elle se déverser en Europe ?

Publié par Guy Jovelin le 27 octobre 2016

Angela Merkel pape François

L’Afrique va-t-elle se déverser en Europe ?

Pierre LanceLes « belles âmes », au premier rang desquelles s’affichent Mme Angela Merkel et le Pape François, veulent nous persuader que nous devons accueillir à bras ouverts tous les migrants africains qui fuient le pays de leurs ancêtres, pour toutes sortes de raisons dont la principale est la recherche utopique d’un « paradis sur terre ».
Et tous, bien qu’étant pour la plupart de religion musulmane, veulent venir en Europe, seul continent où les « mécréants » sont en majorité, mais aucun d’eux ne manifeste l’intention de se diriger vers un pays musulman du Moyen-Orient ou d’Asie.
Qu’est-ce à dire ?
L’explication de cette étrangeté est assez simple. On oublie que les migrants ou les candidats à l’émigration, où qu’ils soient, regardent la télévision comme tout le monde. Et que voient-ils ? De charmantes vieilles dames catholiques ou de non moins charmantes jeunes filles socialistes (à moins que ce ne soit le contraire) auxquelles s’ajoutent quelques septuagénaires masculins jamais sortis de l’adolescence, qui, regroupés en associations charitables, humanistes, altruistes, universalistes, etc. consacrent toute leur énergie à réunir vêtements et nourriture pour que les migrants survivent malgré tout et puissent même faire des enfants. Et ça marche, puisque certains expatriés occupent depuis plusieurs années la « jungle » de Calais, où les femmes enceintes sont nombreuses ainsi que les familles avec jeunes enfants.
À l’heure où j’écris ces lignes, on s’efforce de faire disparaître cette « jungle », tandis qu’environ 2 000 de ses occupants se sont évaporés dans la nature et vont donc inéluctablement reconstituer des campements ici où là, sans parler des nouveaux arrivants qui ne cessent de franchir la Méditerranée à destination de nos contrées bénies des dieux.
Mais quoi de plus normal ? Ils sont si gentils ces Européens, si souriants, si aimables, si hospitaliers, si compréhensifs et si généreux ! Tellement sensibles à la souffrance humaine qu’ils lui sacrifient en toute inconscience leur propre civilisation, sans laquelle pourtant le monde en serait encore au temps de la marine à voile et de la lampe à pétrole !
Nous serons bientôt au bord du gouffre. Qui nous protègera des altruistes ?

Pierre LANCE

 

Source : nice-provence.info