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samedi, 26 novembre 2016

Des terroristes voulaient frapper la France le 1er décembre

Publié par Guy Jovelin le 26 novembre 2016

Par Christophe Cornevin

Le procureur de la République de Paris, François Molin, vendredi 25 novembre 2016.

Téléguidés par un donneur d'ordre retranché en zone syro-irakienne, les suspects déjà armés voulaient cibler des sites symboliques et se filmer en direct au moment de leur passage à l'acte. Ils ont été mis en examen et écroués ce vendredi soir. François Hollande a affirmé qu'une «attaque de grande envergure» avait été évitée.

«Un passage à l'acte imminent a été déjoué»: le procureur de la République de Paris, François Molins a confirmé que les terroristes interpellés dans la nuit de samedi à dimanche dernier à Strasbourg et Marseille voulaient frapper la France dès ce jeudi 1er décembre, au nom de l'État islamique. Ils ont été mis en examen et écroués ce vendredi soir pour «association de malfaiteurs en vue de la préparation de crime d'atteinte aux personnes».

Selon les derniers éléments de l'information judiciaire ouverte vendredi pour association de malfaiteurs et détention d'armes en relation avec une entreprise terroriste, cinq suspects sont au cœur d'un projet qualifié par François Molins de «mortifère». François Hollande, en déplacement à Nîmes pour assister à la sortie de deux promotions de gardiens de la paix, a salué le travail des services de renseignement, des policiers et des magistrats qui ont déjoué «une attaque de grande envergure».

Les quatre premiers suspects, interceptés dans le quartier de la Meinau à Strasbourg, sont des amis se connaissant de longue date. En apparence, ils n'ont rien des jeunes de cités fragiles, désœuvrés et en perte de repères qu'enrégimentent habituellement les réseaux terroristes. Yassine B, Français de 37 ans, animateur dans une école et inconnu des services, Icham M, Français de 37 ans, manutentionnaire ayant déjà six condamnations pour des faits de droit commun, Samir B., épicier franco-tunisien de 35 ans condamné à sept reprises et Zakaria M, franco-marocain de 35 ans sans emploi et au casier vierge étaient très prudents. Téléguidés par un donneur d'ordre retranché en zone syro-irakienne, ils communiquaient entre eux en réseau fermé grâce à une ligne spécialement dédiée.

Arsenal et allégeances à Daech découverts

Au même moment, la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) avait appréhendé à Marseille Icham E., SDF âgé de 38 ans avant que ce dernier ne passe lui aussi à l'acte. Venant de débarquer dans la cité phocéenne, lui seul était connu des services spécialisés. Il avait été signalé pour radicalisation par les autorités du Portugal, où il résidait sous une fausse identité depuis l'automne 2013, après plusieurs voyages suspects dont l'un effectué vers la Turquie d'où il a été refoulé. Selon le procureur Molins, au moins trois des «opérationnels de Daech» ont manifestement eu la velléité de rejoindre la Syrie, notamment via Chypre, pour combattre sous la bannière de l'État Islamique.

Lors des perquisitions, les policiers ont retrouvé un arsenal, dont deux armes de poing de type Sig Sauer et Glock, deux pistolets automatiques, des lots de dizaines de cartouches de calibre 6.35 et 9 mm ainsi que certaines munitions de 38 spécial.

Des éléments saisis à Strasbourg ont en outre, d'après le procureur, «permis de découvrir des écrits très clairs d'allégeance à Daech et glorifiant la mort en martyr».

Une clef USB retrouvée chez Yassin B. recelait deux fichiers mettant en évidence, selon François Molins, la «possibilité d'une somme d'argent» ainsi que les coordonnées GPS d'une cache d'arme. À Marseille, Icham E. disposait de plus de 4281 euros et était sur le point d'acquérir un armement.

Ils envisageaient de se filmer en direct

S'il recevait des «instructions communes» et «précises» délivrées à partir des zones de combat via des applications cryptées, le quatuor de Strasbourg n'avait, au dernier stade des investigations, pas de lien direct avec le suspect de Marseille.

«Les exploitations techniques réalisées sur des éléments saisis lors de perquisitions à Strasbourg ont permis d'établir qu'une action était envisagée par le groupe strasbourgeois le 1er décembre sans qu'on puisse toutefois déterminer à ce stade la cible précise choisie parmi toutes celles que le groupe envisageait», a précisé le procureur, évoquant leur «volonté manifeste de trouver et repérer des cibles pour agir à très court terme».

L'examen du téléphone mobile de Yassine B. a notamment permis de mettre en évidence des recherches sur Google Map de lieux pouvant servir de sites à court terme.

Au total, une dizaine de sites symboliques - et régulièrement évoqués en cas de menace - ont fait l'objet de recherches numériques. Dans ce sordide inventaire à la Prévert, figure selon plusieurs sources le siège de la police judiciaire parisienne au 36 quai des orfèvres, le marché de Noël des Champs-Élysées, le parc d'attractions Disneyland Paris, des terrasses de cafés dans le nord-est de la capitale, une station de métro parisien et plusieurs lieux de cultes. A priori, si aucun repérage opérationnel n'a toutefois été mené, les membres de la cellule démantelée semblaient déterminés. La veille du coup de filet, Yassine B. et Icham M. avaient téléchargé l'application Périscope pour se filmer en direct devant les internautes.

 

Source : lefigaro

Libération, le journal qui déteste les catholiques

Publié par Guy Jovelin le 26 novembre 2016

par 24 novembre 2016

La une d’aujourd’hui du journal Libération en dit long sur la mentalité qui règne parmi la rédaction de ce quotidien. Libération, c’est quoi ? Un journal qui survit sous perfusion, grâce aux aides de l’Etat, donc du contribuable. Un journal qui a un passé honteux, qui a pris autrefois et à plusieurs reprises la défense de la pédophilie.

Et c’est cette presse-là qui nourrit encore aujourd’hui l’anticatholicisme. Car les mots ont un sens. Libération titre Au secours, Jésus revient !, comme s’il s’agissait d’une mauvaise nouvelle. La rédaction de ce journal – qui compte parmi ses principaux actionnaires Edouard de Rothschild, Bruno Ledoux et l’homme d’affaires israélien Patrick Drahi – vomit les valeurs catholiques.

Ce journal a même le culot de tenter de faire croire que ce sont les  » lobbys catholiques  » qui seraient en train de désigner le futur président. Une façon de ne pas parler des véritables lobbies qui influencent les décisions politiques.

Mais cette agitation est bon signe. S’il ne faut se faire aucune illusion sur les candidats à la primaire de la droite, il est intéressant d’observer que des thématiques comme la famille, le mariage, l’avortement ou encore la place des catholiques dans la société s’imposent dans les débats. C’est déjà un premier pas. Aux catholiques de s’engager et de faire preuve de suffisamment de discernement pour ne pas suivre des hypocrites qui ne s’intéressent qu’à leurs voix.

 

Source : medias-presse.info

Pour dissiper les malentendus :

Publié par Guy Jovelin le 26 novembre 2016

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« Juppé suscite un phénomène de rejet massif chez nous. Je critique sa ligne, mais je n’appelle pas à voter Fillon pour autant. Je ne suis pas un acteur mais un spectateur » Carl Lang, Le Monde du 25 novembre 2016

vendredi, 25 novembre 2016

Bientôt, les habitants de Toulouse pourront aider la police à lutter contre les cambriolages

Publié par Guy Jovelin le 25 novembre 2016

À partir de 2017, un dispositif citoyen va permettre aux habitants volontaires d'aider la police nationale à lutter contre les cambriolages, un véritable fléau à Toulouse.

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Face à la hausse des cambriolages à Toulouse, la police nationale, aidée par la mairie, lance un nouveau dispositif de participation citoyenne. (Photo illustration : Fotolia)

À Toulouse, les cambriolages sont toujours en nombre conséquent. Une hausse de 6,7% a même été enregistrée au premier trimestre 2016 par rapport à la même période en 2015. Ces chiffres ont amené la préfecture à lancer un plan de lutte sur l’ensemble du département au printemps.

> LIRE AUSSI : De plus en plus de cambriolages à Toulouse et en Haute-Garonne : la préfecture veut réagir.

Des référents dans les quartiers pour faire remonter des informations

En fin d’année 2016, un nouveau dispositif est présenté aux habitants de Toulouse. Comme une quinzaine de communes dans le département de la Haute-Garonne, Toulouse va s’inscrire dans une démarche de « participation citoyenne ». Introduit par une circulaire ministérielle de juin 2011, ce dispositif est actuellement présenté aux habitants en commission de quartiers sous la dénomination de « Participation Citoyenne et Quartiers Surveillés ».

En décembre 2016, l’ensemble des quartiers de Toulouse auront été informés de la mise en place de cette opération.

Avec ce nouveau dispositif porté par la police nationale, à qui la mairie apporte une aide pour en faciliter la diffusion auprès des citoyens, nous allons pouvoir compter sur des référents dans chaque quartier de la ville, notamment ceux pavillonnaires. Ces référents feront remonter des informations à la police nationale qui nous permettrons ainsi d’avoir un meilleur ressenti sur les évolutions des cambriolages dans les quartiers, indique Olivier Arsac, élu en charge de la prévention et de la sécurité à la mairie de Toulouse.

Mieux utiliser les effectifs de la police

Pour la police nationale, comme pour la police municipale qui bénéficiera aussi des informations des « référents », l’intérêt sera de pouvoir mieux répartir les effectifs sur le territoire et de faire évoluer les patrouilles en fonction des renseignements fournis.

Les référents, des personnes qui se seront portées volontaires dans chaque quartier, seront régulièrement réunis courant 2017 afin de faire l’interface entre les habitants et la police.

 

David Saint-Sernin

Journaliste

Source : cotetoulouse

Révolte de migrants en Bulgarie

Publié par Guy Jovelin le 25 novembre 2016

Ce jeudi, 2000 migrants se sont révoltés dans le sud de la Bulgarie, dans le camp de réfugiés d’Harmanli, apprend-on dans le média tchèque novinky.cz. Les migrants ont attaqué les policiers et ont commencé à détruire un bâtiment qui devait être inauguré cette semaine. Les forces anti-émeutes se trouvent sur place mais elles ne sont pas encore intervenues.

L’agence de presse BGNES a annoncé que la révolte a éclaté de manière spontanée, lorsque des migrants insatisfaits ont commencé à lancer des pierres sur les policiers et à brûler des pneus. D’après le site internet bulgare Novinite, les migrants exigent l’ouverture de la frontière, à 30km de là, et un accès libre au territoire serbe.

Le site Novini.bg a précisé, de son côté, que les migrants du camp de Harmanli se sont révoltés à cause du règlement qui empêche les migrants de quitter le camp. Les autorités bulgares ont instauré ce règlement, ces derniers jours, suite à l’apparition de maladies infectieuses parmi les migrants.

Les migrants s’étaient déjà révoltés il y a un mois

Une révolte similaire s’est déroulée au camp de Harmanli, il y a un mois. Des renforts pour pacifier la situation étaient venus des villes de Svilengrad, de Dimitrovgrad et de Kardjali. Depuis la fermeture de ladite route migratoire des Balkans, qui menait de Grèce en Macédoine puis en Serbie, les flux des migrants qui utilisent le territoire bulgare pour se rendre illégalement en Europe occidentale ont augmenté.  A cause de la vague migratoire, l’armée bulgare a aussi construit une clôture à la frontière turque.

Sofia a également demandé de l’aide à la Commission européenne pour la protection de ses frontières sous forme de renfort de policiers, de véhicules spéciaux et de moyens de détections.

 

Source : lapravda