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lundi, 19 mars 2018

En ton Honneur Harki, ton Frère d’armes se souvient !

Publié par Guy Jovelin le 19 mars 2018

Publié le 18 mars 2018 - par 

 
 

Sinistre et terrible anniversaire  que ce 19 mars !

Comme l’a écrit Etienne de VIGNOLES, dit La Hire, Compagnon de Jeanne d’Arc

« J’ai fait ce qu’un Soldat a l’habitude de faire. Pour le reste, j’ai fait ce que j’ai pu ! »

Mais, cela n’a pas été assez et si je croyais encore, il y a déjà longtemps que j’aurais demandé à Dieu qu’il me pardonne.
Alors, aujourd’hui et jusqu’à mon dernier jour, je continue et continuerai à faire ce que je peux, car je ne peux ni ne veux oublier les Harkis, mes Frères d’arme !

Ayant déjà écrit plusieurs articles relatifs à ces sinistres événements, et publiés sur ce site, j’ai choisi de vous faire connaître un texte rédigé par Khader Moulfi (Coalition Nationale des Harkis et des Associations de Harkis), bien sûr il n’a jamais donné lieu à aucune diffusion médiatique bien que légèrement postérieur à l’élection de celui que la Constitution a fait « chef » des Armées …

J’ajouterai simplement :

nous avons un Devoir de mémoire envers nos Harkis.

Aidez moi à ce qu’ils ne soient pas oubliés !

Faites connaître ce texte de Khader Moulfi
Jean-François Cerisier

À l’attention : du Président de la République, Monsieur Emmanuel Macron

 Le candidat Macron avait déclaré, en Algérie flniste, de manière antipatriotique et infamante, que la colonisation était un crime contre l’humanité, sans donner davantage de détails.

Face à l’énorme polémique, celui-ci a évoqué, de manière très floue et unilatérale, la « guerre » d’Algérie qui n’est pas, rappelons-le, une guerre au sens juridique et international du terme mais une pure création idéologique et politicarde, via la loi scélérate et révisionniste du 18 octobre 1999, soit une déclaration de guerre, à un État qui n’existait pas, la Flnie, 45 ans après le démarrage des événements.

Une insurrection parsemée d’attentats terroristes, d’exactions contre les populations civiles de toutes origines et confessions (incluant les athées), … Aussi violente soit-elle, ne constitue pas, systématiquement, une guerre, d’autant plus que l’ALN n’était pas une fraction significative, de la population de céans, avec ses 47000 membres, sur 12 millions d’habitants, de 1954 à 1962, pour prétendre à une guerre civile. Les Harkis étant, très largement, en supériorité numérique, avec plus de 225 000 combattants, durant cette période de pacification.

Pour preuve ni l’ONU ni les États démocratiques ni les organisations (de type Croix Rouge) n’ont reconnu, cette « guerre », selon les conventions internationales (Genève, …) ni les Accords d’Evian entérinés le 18 mars 1962 (Oups 1 « coquille » s’est glissée , par inattention de ma part, dans le texte de la pétition en ligne, dans lequel j’ai tapé 18 septembre 1962 au lieu du 18 mars. J’ai rectifié mais seuls les modérateurs, de MesOpinions.Com, peuvent valider mes corrections. Je tiens à le préciser sinon mes « potes » Benjamin Stora & Co vont me vanner en disant que je ne connais pas mon Histoire. Heureusement que j’ai rédigé, des légions d’articles, sur ce sujet, pour ma « défense » !!!).

Ces accords prévoyaient, entre autres « petits-arrangements » économiques, stratégiques (le Front National de Libération supposé avoir délivré, son Peuple, de la colonisation, a accepté, néanmoins, que, par exemple, l’État français puisse continuer à l’irradier, jusqu’en 1975, avec ses essais nucléaires au Sahara), … Plusieurs clauses qui étaient, pourtant, de véritables « signaux d’alarme » sur ce qui devait arriver (?).

Lesdits accords acceptés, par les représentants du FLN et ceux de la France, stipulaient, par ailleurs, que les « Musulmans » de droit local (Cf. les décrets Crémieux), incluant les Harkis et leurs familles, deviennent, Algériens au sens flniste, sans leur laisser le choix de rejoindre, librement, la « Mère-Patrie » qu’ils avaient servie dont certains depuis la seconde guerre mondiale puis l’Indochine.

Il est étonnant que le FLN et, encore plus, l’État français, aient signé, cette condamnation à mort programmée, notamment, en raison des télégrammes très hostiles émanant, bien avant, des katibas, imposant d’attendre avant de liquider les Harkis. Quant aux Pieds-Noirs, le fameux : « La Valise ou le Cercueil » n’était guère plus optimiste !!!

Pourquoi le FLN n’a-t-il pas recommandé, tout simplement, que les Harkis et leurs familles soient rapatriés, en métropole ou dans les DOM-TOM, car leurs vies étaient en péril… Et, pourquoi l’État français fut-il si « crédule » ???

La perfidie préméditée et sournoise obligeait, la France, à désarmer ses propres soldats, pour les livrer à un génocide plus que prévisible… Résultat, après le pseudo cessez-le-feu du 19 mars 1962 à 12H00 violé, dès le premier jour, par le FLN et ses « marsiens »[1] (les fameux résistants de la dernière heure), il y eut 150 000 Harkis (chiffres donnés, par un courrier du Ministère des Armées, en 1975), plusieurs milliers de Pieds-Noirs et 535 soldats métropolitains exterminés avec une barbarie extrême.

L’Histoire ne doit pas être confisquée, ad vitam aeternam, par une seule catégorie d’historiens vrais ou supposés, ayant soutenu avant, pendant et après, d’une manière ou d’une autre, le FLN et autres révolutions marxistes et assimilées, sans que les susvisés ne soient confrontés à une véritable contradiction équilibrée dans le débat public (incluant les médias).

L’Algérie d’avant le 05 juillet 1962, n’était pas la propriété du FLN, avec une histoire très complexe qui ne doit pas être instrumentalisée, par un régime unique despotique et corrompu, ayant ruiné, ce pays et ses habitants(tes), pour conserver sa « mainmise », sur ce territoire et ses richesses, surtout, à l’approche de chaque élection.

Depuis le 25 septembre 2001, date de la première journée d’hommage national aux Harkis inaugurée, par le Président Chirac, ce n’est que félonie et hypocrisie nationales, avec l’occultation du génocide, les réparations en souffrance, l’officialisation du morbide 19 mars 1962 (en doublon avec le 05 décembre promulgué avant), …

Certes, d’aucuns(es) diront que François Hollande a reconnu, le 25 septembre 2016, la responsabilité de l’État français mais dans quoi au juste ??? Les massacre des Harkis et Pieds-Noirs ??? L’accueil inhumain en métropole ??? La mort sociale maintenue et programmée des Harkis et leur famille, amplifiée par le regroupement familial à compter de 1975 ??? Les propagandes anti-Harkis et la falsification de l’Histoire ??? Les insultes et diffamations permanentes des satrapes flnistes et de leurs comparses qui n’ont jamais créé le moindre incident diplomatique ???

Toutefois, si l’État français a, bel et bien, une responsabilité collatérale, quant à sa déraison d’État dans sa gestion, criminellement, chaotique et expéditive, des « Affaires Algériennes ». Les génocidaires sont le FLN et ses « marsiens » et eux-seuls car ils ont commis, physiquement, ces crimes contre l’humanité, après le cessez-le-feu, sur des gens désarmés et, cerise sur le gâteau, un « hold-up » sur ce pays et ses ressources naturelles… Régime que la presse algérienne qualifie, entre autres, de « kleptocratie » !!!

Alors, il est temps d’appeler un génocidaire, un génocidaire (trop de respect, pour les chats, pour les impliquer dans ce sordide dossier), surtout, quand les ventriloques et marionnettistes, de Ziziz Bouteflika, le gnome despotique du FLN devenu, désormais, la « Momie » supposée diriger, nonobstant son état quasi-végétatif, l’Algérie du FLN et, par conséquent, d’imposer à la France sa repentance, sur la colonisation qui, n’en déplaise à certains, concerne tous les protagonistes de l’époque antérieure, à 1962, car cette terre maghrébine en a vu, de toutes les couleurs, au fil des siècles.

C’est pourquoi le Président Macron, au service exclusif des Français(es) et, aucunement, des dictatures étrangères, doit reconnaître, officiellement, le génocide perpétré, par le FLN et ses « marsiens », après le cessez-le-feu, lors des commémorations des 25 septembre et 05 décembre 2017.

La signature de la présente pétition, en fonction de son succès, pourrait appuyer cette requête plus que légitime pour rendre (enfin) justice, aux « Martyrs de la République Française », de toutes origines et confessions (dont les athées), 55 ans après !!!

Étant de nature très réaliste, je sais, fort bien, que cette cause n’est pas le genre à mobiliser, spontanément, la Nation et les médias qui censureront ou caricatureront, cette démarche mais, envers et contre tout et tous(tes), il faut du panache et de la détermination car victoire ou défaite, l’honneur et la dignité, des « Martyrs de la République Française », doit être défendu par tous les gens de bonne volonté encore en vie et en état de le faire !!!

[1]   marsiens :  nouveaux militants de la « cause nationale » apparus dès la veille de la signature des « accords » d’Evian. En fait, combattants de la dernière heure, ayant joué un rôle considérable dans la véritable épuration contre les Harkis dès la signature des « accords » d’Evian.

 

Source : ripostelaique

Saint-Denis (93) : des clandestins et des militants d’extrême-gauche envahissent la basilique, la messe du dimanche soir annulée

Publié par Guy Jovelin le 19 mars 2018

Le collectif Coordination des sans-papiers a investi le lieu de culte pour protester contre le projet de loi « Asile Immigration » du gouvernement. Ils ont été évacués par les forces de l’ordre.

Environ 80 personnes ont investi la Basilique de Saint-Denis ce dimanche vers 15 heures en soutien aux migrants et sans-papiers. Le collectif Coordination des sans-papiers a déployé une banderole pour dénoncer le projet de loi « Asile – Immigration » porté par le gouvernement. […] Après plus d’une heure, les manifestants ont été évacués par la police. Un homme, qui s’opposait à l’entrée des fonctionnaires, a été arrêté. Le cortège s’est alors rendu devant le commissariat, en présence du député (FI) Eric Coquerel. Suite à l’incident, la Basilique a été fermée vers 17h30, sous la vigilance d’un fourgon de police pour s’assurer que les manifestants ne reviennent pas. La messe du dimanche soir a été annulée. […]

Le Parisien

L’article Saint-Denis (93) : des clandestins et des militants d’extrême-gauche envahissent la basilique, la messe du dimanche soir annulée est apparu en premier sur Fdesouche.

 

Extrait de: Source et auteur via lesobservateurs

Bardot : «Je ne me suis pas battue contre l’Algérie française pour accepter une France algérienne»

Publié par Guy Jovelin le 19 mars 2018

Brigitte Bardot
 
 
 

Brigitte Bardot, qui publie un nouvel ouvrage aux éditions de l'Archipel, a dressé un portrait au vitriol de la France, des «islamistes», de l'UE et du cinéma français. A 83 ans, l'ancienne actrice semble amère, mais pas silencieuse...

Dans une interview accordée à l'hebdomadaire Valeurs actuelles et publiée le 15 mars, l'ancienne comédienne reconvertie en militante des droits des animaux, Brigitte Bardot, a défendu la sortie de son nouveau livre de citations et d'aphorismes, intitulé Répliques et piques, récemment publié aux Editions de l'Archipel.

L'ancienne égérie de Jean-Luc Godard a saisi cette occasion pour livrer une opinion tranchante sur l'état de son pays au regard de l'Histoire. Elle a par ailleurs abordé des sujets allant du cinéma à l'Union européenne.

Il y a de quoi se les prendre et se les mordre !

Brigitte Bardot a ainsi déclaré : «J’ai été élevée dans l’honneur, le patriotisme, l’amour et le respect de mon pays. Quand je vois ce qu’il est devenu, je suis assez désespérée. Quand je constate ce qu’ils ont fait d’un pays dont la richesse intellectuelle, la qualité du langage, de l’écriture, la primauté en matière d’architecture, de mode, d’élégance, de patrimoine rayonnaient dans le monde entier, ça me déprime. Comme disait mon grand-père, il y a de quoi se les prendre et se les mordre !»

La passionara des bébés phoques n'a pas non plus mâché ses mots sur les islamistes : «Je ne peux plus les voir, les islamistes. Que pratiquement partout en France on voie des burqas, c’est inadmissible. Qu’ils se conduisent comme ils veulent dans leur pays d’origine, mais qu’ils ne nous imposent pas des coutumes, des pratiques, des discriminations d’un autre âge : la France, ce n’est pas ça.»

Ce à quoi, elle a ajouté : «Je ne me suis pas battue contre l’Algérie française pour accepter une France algérienne. Je ne touche pas à la culture, à l’identité et aux coutumes des autres. Qu’on ne touche pas aux miennes.»

Sur l'Union européenne, BB n'est pas plus amène : «Il faut en sortir. Bruxelles nous casse les burnes.»

Il n’y a plus que des barbus et des actrices aux cheveux gras, qui se font violer dans les coins

Et si on attendait une déclaration gentillette sur le cinéma français de la part de celle qui l'a quitté en 1973, il faudra attendre encore un peu : «Il n’y a plus que des barbus et des actrices aux cheveux gras, qui se font violer dans les coins et qui trouvent des excuses à leurs agresseurs. Il n’y a qu’à regarder la Cérémonie des César où de gentils zombies remercient papa-maman, leur concierge et leur chauffeur de taxi, tout en lançant l’incontournable appel à la fraternité humaine et à l’antiracisme C'est dit !

 

Source via lesobservateurs

Le parti médiatique existe, il est peuplé de clones journalistiques

Publié par Guy Jovelin le 19 mars 2018

 

Le parti médiatique existe, je l’ai rencontré. L’audiovisuel est peuplé de clones journalistiques

 

Le parti médiatique existe, il est peuplé de clones journalistiques

Par Jean Ansar, journaliste ♦ Dire qu’il n’y a pas de parti médiatique en France en se référant à l’existence d’une diversité d’opinions représentée notamment par Valeurs actuelles face à l’ Obs est une Fake News évidente. Quand on parle de parti médiatique, on se réfère à l’audiovisuel qui manipule en prétendant l’informer, 80 % de la population. Ce parti existe.
Les rédactions des radios et télévisions sont constituées de journalistes ayant la même sensibilité à plus de 80 % et les autres se taisent. Ils sortent d’écoles syndicalisées au niveau très disparate mais à l’endoctrinement uniforme. Il suffit d’être dans le moule pour devenir journaliste. La compétence et la culture sont des critères moins décisifs.

La carte de presse ne prouve plus rien depuis longtemps dans la plupart des cas

Ce n’est plus un certificat de compétence professionnelle. On peut ne rien savoir sur rien, devenir journaliste et être propulsé spécialiste selon les besoins du paracétamol ou du Kosovo.
Ces journalistes clonés qui, dans les chaînes d’infos en continu, se multiplient à une vitesse aussi effrénée que la profession se féminise, pensent tous la même chose. Leur modèle c’est en gros Libération, Le Monde, un zeste d’Obs et une pointe de Canard Enchaîné. De temps en temps un éditorialiste de droite est là pour donner le change.
Ces journalistes pensent avoir la noble tâche non pas d’informer mais de former et ce n’est pas la même chose. Ils se sentent investis de la mission de protéger la démocratie. Tous résistants contre la bête immonde dont le ventre est encore fécond.

Il y a un parti médiatique sinon pourquoi aurait-on, dans toutes les chaines audiovisuelles, les mêmes sujets dans la même hiérarchie et au même moment avec les mêmes points de vues.
La diversité de l’information audiovisuelle est un mensonge. La multiplication des médias disant la même chose est le contraire de la diversité des opinions, qui seule prouve la liberté de la presse. La liberté d’opinion est faites pour toutes les opinions surtout celles qui contestent le système dominant.
Car quelle différence entre des médias d’un régime autoritaire disant tous la même chose et les médias d’une soi-disant démocratie disant tous la même chose ? Aucune !

Quelle est donc la ligne politique du parti médiatique

Elle est antiraciste, féministe, contre toutes les discriminations et exclusions. C’est la soutane des gentils curés cathodiques contre les forces du mal.
Les forces du mal, ce sont ceux qui se référent aux valeurs qui ont fait les civilisations différenciées et qui n’ont pas honte notamment d’être blancs, mâles et hétérosexuels .Le mâle blanc hétérosexuel, le voilà l’ennemi du parti médiatique.

Les médias sont pour le cannabis contre le vin rouge, pour tout ce qui est mondialiste et contre l’héritage des traditions.
Pour le mariage homo contre les familles à la catholique, pour toutes les races qui n’existent pas sauf la blanche qui est raciste, pour l’avortement mais plus en Europe qu’ailleurs, pour les droits de la femme et des minorités surtout musulmanes, pour les migrants et les immigrés contre ceux qui ont fait les nations.

Le parti médiatique est un gauchisme sociétal audiovisuel

Son point faible est de vouloir assumer tout le monde. Il se retrouve dans la position du caméléon qui meurt à force de vouloir prendre toutes les couleurs de la couverture écossaise.
Le parti médiatique ne cesse heureusement de se discréditer. C’est pourquoi il traque les faks news et à partir de cas particuliers pour interdire un traitement de l’information, déviant par rapport à des dogmes politiques et sociétaux.
Le parti médiatique, c’est croire informer en disant que Poutine est méchant sans rien connaitre ni comprendre l’âme russe. Et c’est cela pour tous les sujets. Il y a pire que la Fake news, il y a la désinformation dominante, fille de l’inculture et du militantisme.

Les lanceurs d’alerte et autres journalistes citoyens ou blogueurs de l’impossible sont la preuve de la bonne conscience politique d’ une profession qui a perdu le sens de sa vocation d’informer à charge et à décharge laissant aux éditorialistes le rôle de dire ce qu’ils pensent et à eux seuls.

Chaque journaliste se croit aujourd’hui éditorialiste de ses propres préférences politiques. La carte de presse ne lui donne pas le droit de tenter d’imposer ses préférences. Il affirme ne pas être dans un Parti, mais il est partisan.

Plus personne n’est dupe. Le dégagisme ne l’épargne plus. L’affolement d’une caste journalistique vis à vis de certaines attaques politiques est très dangereux pour ce qui reste dans les médias audiovisuels du droit de ne pas être d’accord avec l’idéologie dominante.

Car si les medias ne sont pas un parti structuré, ils sont une idéologie.

Jean Ansar
18/03/2018

Source : Metamag.fr

Crédit photo : Rémi Noyon [CC BY 2.0], via Flickr

dimanche, 18 mars 2018

Campagne antiraciste dans des écoles canadiennes : « J’ai injustement bénéficié de la couleur de ma peau. Les privilèges des Blancs ne sont pas acceptables »

Publié par Guy Jovelin le 18 mars 2018

Par  le 18/03/2018 

«Vous avez des privilèges ?» Un District scolaire de Colombie-Britannique critiqué après le lancement d’une campagne de lutte contre le racisme‎.
‎Des affiches traitant du privilège d’être blanc ont été accrochées dans toutes les écoles du district Gold Trail.‎

[…] Elles présentent des citations d’administrateurs du district parlant de leurs expériences avec les privilèges et le racisme. ‎
‎« Nous essayons de souligner que le racisme existe vraiment et que certaines personnes, du fait du racisme, sont défavorisées», a déclaré Teresa Downs, directrice du District scolaire 74 […]‎


http://www.hostpic.org/images/1803172134040106.jpg

Mais cela ne plait pas à certains parents. ‎
‎Lorsque Kansas Field Allen a entendu parler des affiches, elle a été choquée.‎
‎Elle a demandé à son fils de prendre des photos pour pouvoir les poster sur les médias sociaux et obtenir les réactions de ses pairs. ‎
«Je dirais que 95 pourcent des gens sont pour que ces affiches soient retirées, et ce sont des gens de toutes races», a expliqué Kansas Field Allen.

(Traduction Fdesouche)

 

CBC via fdesouche