Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

jeudi, 05 novembre 2015

LE FRONT NATIONAL SOUTIENT LE MAIRE IMMIGRATIONISTE DE POUILLY-EN-AUXOIS CONTRE LE PARTI DE LA FRANCE

Publié par Guy Jovelin le 05 novembre 2015

Suite à l'annonce d'un rassemblement du Parti de la France ce samedi 7 novembre à Pouilly-en-Auxois pour protester contre l'immigration sauvage, le Front national vole au secours du maire immigrationiste et prend publiquement position contre les résistants nationaux du PdF.


Le Front national soutient le maire immigrationiste de Pouilly-en-Auxois contre le Parti de la France
Ci-joint pour preuve le communiqué du Front national de ce jour :
 

Communiqué de presse du Front national de Côte-d'Or : «Alors qu'une manifestation "anti migrants ", organisée ce samedi à 11 heures, à Pouilly-en-Auxois par le Parti de la France a été annulée par la Préfecture jeudi matin, le Front National de Côte-d’Or tient à faire connaître sa position : "Le Front National tient pour responsables de la submersion migratoire passée, présente et à venir :

- la droite, qui a mis en place et encouragé dans les années 70 le regroupement familial

- la gauche qui dès les années 80, par la voix de François Mitterrand a proclamé : "les étrangers sont chez eux, chez nous".

- Nicolas Sarkozy qui durant son quinquennat a laissé entrer en France, chaque année, légalement, 250 000 étrangers et qui par incompétence et par lâcheté s’est révélé incapable de réformer le droit d’asile.

- François Hollande, entièrement soumis à Bruxelles et à la remorque de Madame Merkel tant au plan économique que sur celui de la folle politique migratoire.

En conséquence, stigmatiser Bernard Milloir, maire de Pouilly, qualifié de "collabo de l'immigration" par le PDF sur son site internet, n’a pas plus de sens que stigmatiser les 45 migrants de Pouilly eux-mêmes...

Le Front National, qui a fait campagne à Pouilly lors des élections départementales et a réalisé près de 40 % des voix, estime tout naturellement que les manifestations les plus efficaces seront celles des 6 et 13 décembre, à l’occasion des élections régionales.

C’est par le bulletin de vote que les Polliens et plus généralement les habitants du canton d Arnay-le-Duc et de Côte-d’Or se feront le mieux entendre. De ce fait, le Front National de Côte-d’Or donne rendez-vous aux électeurs au soir du 6 décembre pour un premier bilan. »

Voilà un bel exemple de la collusion du Front Philippot-mariniste avec la classe politicienne et le système en place contre les militants de la vraie droite nationale.

Après l'exclusion par le Front national de Jean-Marie Le Pen, la trahison suit son chemin...

Source : http://www.parti-de-la-france.fr/Le-Front-national-soutie...

Toulouse : en civil mais reconnu par ses agresseurs, un policier passé à tabac

Publié par Guy Jovelin le 05 novembre 2015

L'adjoint de sécurité était dans un bar avec des amis quand il a été reconnu par un groupe. Blessé, il a été hospitalisé. Deux de ses agresseurs ont été interpellés puis relâchés sous contrôle judiciaire avant leur prochaine comparution.Photo d'illustration © MaxPPP

© MaxPPP Photo d'illustration

 
Un jeune adjoint de sécurité de l'unité du métro de Toulouse, qui était en civil et hors service et participait à une soirée avec des amis dans un bar toulousain, a été reconnu  par un groupe de 5 personnes qui s'en sont violemment pris à lui,dans la nuit de dimanche à lundi, a-t-on appris de source policière. 

L'adjoint de sécurité a été frappé à coups de ceinture et de tessons de bouteilles.Hospitalisé avec de nombreuses blessures notamment le nez cassé, il est en arrêt de travail pour 10 jours. 

Deux de ces agresseurs, connus pour des faits de violence, ont été interpellés rapidement. Présentés en comparution immédiate, ils sont finalement été relâchés et placés sous contrôle judiciaire avant une prochaine convocation devant le justice. 

Dans un communiqué, le syndicat Unité SGP Police-FO dit s'associer et comprendre"l'écoeurement des policiers Toulousains devant de telles décisions (...) et demande à la justice d'assumer ses responsabilités envers les auteurs d'agressions contre les représentants des forces de l'ordre". 
 

Castres : nouveaux incidents avec la communauté des gens du voyage

Publié par Guy Jovelin le 05 novembre 2015

De nouveaux incidents ont eu lieu mercredi soir à Castres, dans le Tarn. Les gens du voyage, expulsés des abords de la gare le 20 octobre dernier, ont incendié une voiture, pour protester contre la décision de la mairie de couper l'éclairage public auquel ils s'étaient illégalement branchés. 

Une voiture a été brûlée sur ce rond-point du quartier de la Borde-Basse, à Castres. © Sylvain Duchampt/France 3 Tarn

© Sylvain Duchampt/France 3 Tarn Une voiture a été brûlée sur ce rond-point du quartier de la Borde-Basse, à Castres.

 
Les tensions ne sont pas retombées, à Castres, au sein de la communauté des gens du voyage.
Depuis leur expulsion le 20 octobre dernier des abords de la gare où ils étaient installés, les membres de cette communauté ont remonté leur campement dans le quartier de la Borde-Basse, sur un terrain municipal et toujours illégalement.
Mercredi, la mairie a pris la décision de couper l'éclairage public dans ce secteur, pour mettre fin au branchement "sauvage" des gens du voyage.
En guise de protestation, ceux-ci ont incendié une voiture, sur le rond-point de la piscine de l'Archipel. 
Des véhicules de police auraient également été pris pour cibles. 

Les gens du voyage ont élu domicile illégalement sur un terrain municipal de Castres. © Sylvain Duchampt/France 3 Tarn

© Sylvain Duchampt/France 3 Tarn Les gens du voyage ont élu domicile illégalement sur un terrain municipal de Castres.


La situation est complexe depuis plusieurs mois à Castres. Suite à la fermeture pour travaux de l'aire d'accueil municipale, une petite communauté de gens du voyage a été expulsée d'un campement près de l'aéroport.
Elle s'est ensuite installée à proximité immédiate de la gare mais des incivilités et des incidents à répétition ont provoqué le droit des retrait des agents SNCF qui estimaient que la sécurité des personnels et des voyageurs n'était plus assurée.

La gare de Castres a donc été fermée pendant deux semaines car malgré une décision de justice ordonnant l'expulsion, celle-ci n'a pas été immédiatement ordonnée.
 

Jean-Pierre Stirbois, militant nationaliste exemplaire...

Publié par Guy Jovelin le 05 novembre 2015

10632601_1495352457392960_8697187750476067410_n.jpgPar Robert Spieler

Article publié dans Rivarol

(n°3010, août 2011)

Après avoir consacré, il y a quelques semaines, un long article à François Duprat, Le Monde Magazine du 16 juillet réserve sa « une » à « Jean-Pierre Stirbois, l’apparatchik ». C’est le 11 septembre 1983 qu’une liste de rassemblement qui compte des chiraquiens, des centristes et des frontistes, dont le numéro deux du Front national, emporte la mairie de Dreux. La foule scande : « Stirbois, fasciste, assassin ! Stirbois, salaud, le peuple aura ta peau ! ». Une semaine auparavant, avait eu lieu le« coup de tonnerre de Dreux », où la liste Stirbois obtenait près de 17% des suffrages au premier tour, obligeant les droites à fusionner avec le FN. L’aventure débuta à Dreux. Le Pen ne s’était pas déplacé pour soutenir Stirbois. Il était en vacances. Cette victoire fut celle de Stirbois…

Jean-Pierre Stirbois est un fils d’ouvrier, né en 1945. Adolescent, il est proche de l’OAS-Métro-Jeunes et participe en 1965 à la campagne présidentielle de Jean-Louis Tixier-Vignancour, dont Jean-Marie Le Pen est l’animateur. L’échec de Tixier va entraîner une lutte fratricide entre ce dernier et Le Pen. Stirbois choisit Tixier et va contribuer à créer le mouvement Jeune Révolution, mouvement « solidariste », dont l’idole est Pierre Sergent. L’Union solidariste adhérera en bloc, en 1977, au Front national, dont Stirbois prendra rapidement et efficacement la charge du secrétariat général. Près de 35 ans plus tard, cela suscite encore des rancoeurs chez ceux qui avaient été mis en touche, rancoeurs qui s’expriment aujourd’hui, dans un récent courrier des lecteurs à Rivarol, où Stirbois est accusé d’être un agent sioniste, son vrai nom étant Stirnbaum ! Notre ami David Veyssere m’a envoyé ce commentaire :« Voir dans le patronyme de Stirbois une origine juive, c’est de la billevesée pure. Cet anthroponyme est authentiquement un patronyme du Nord des Gaules, mélange de franc et de gallo-romain, qui signifie « taureau des bois », stir signifiant taureau dans les langues franques et germaniques. Le Monde reprend quelques assertions tout à fait mensongères et hautement fantaisistes en prétendant que Stirbois était pro-israélien et récusait toute connotation fascisante. Ayant été très proche de Jean-Pierre Stirbois, quand nous siégeâmes ensemble sur les bancs de l’Assemblée nationale, et ayant passé maintes soirées avec lui, je puis témoigner que ces accusations sont totalement absurdes. Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, qui fut l'un de ses plus proches amis, en une période difficile de la vie privée de Stirbois, peut en témoigner amplement. Non, Jean-Pierre Stirbois n’était ni sioniste, ni au demeurant pro-arabe, il était nationaliste français, entouré de cadres radicaux, issus pour beaucoup du PFN (Parti des Forces Nouvelles), du GRECE, et bien sûr du mouvement solidariste. Voilà la vérité.

Stirbois, nationaliste populaire

Stirbois exécrait le bourgeoisisme et l’esprit de collaboration. Aux élections cantonales de 1985, il avait défendu l’idée que le Front n’appelle pas à voter pour la droite au second tour. En 1988, au second tour de l’élection présidentielle, où Le Pen avait obtenu 14% des voix, il prône le vote Mitterrand, suivant l’adage : « National au premier tour, socialiste au second ». Le Pen, qui voulait appeler à voter Chirac, finit par prôner l’abstention ou…le vote Chirac.

Une anecdote : Au lendemain de notre élection, en 1986, à l’Assemblée nationale, Le Pen a une riche idée. Celle d’organiser une réception au pavillon d’Ermenonville, au Bois de Boulogne. Dans le registre somptueux, feux d’artifice, et tout le reste. Toutes les personnalités, tous les ambassadeurs y sont invités. Tenue de soirée, c'est-à-dire smoking, de rigueur. Cela nous scandalisa. Quoi ? Nous qui affirmions représenter la droite sociale et populaire auprès de nos électeurs, nous plier aux simagrées de la bourgeoisie bling-bling ? De ces parvenus ? Pas question ! Aucun ambassadeur, au demeurant, sauf celui d’Uruguay, proche de la secte Moon, ne fit une apparition. Il est vrai que Le Pen avait établi d’étroites relations avec la secte Moon, dont il fit élire le dirigeant français, Ceyrac, le neveu de l’ancien patron du patronat, à l’Assemblée nationale. Comme seule personnalité, le Bao Daï, l’antique empereur du Vietnam… Jean-Pierre Stirbois, ainsi que les députés de la sensibilité nationale et sociale refusèrent de s’y rendre. Pour ma part, jamais avare d’une provocation, je m’y rendis … en costume et non en smoking. J’étais le seul. Fureur de Le Pen qui m’envoya le lendemain un mot manuscrit : « Tu aurais du m’en parler ; il existe au groupe (parlementaire) une petite caisse pour députés nécessiteux ». Je lui répondis derechef : « Je suis désolé, mais ayant été élevé à la bière et à la choucroute en Alsace, je ne connais pas les mœurs de la bourgeoisie parisienne. »Ambiance…

Mégret et Stirbois

Le Pen ne pouvait pas tolérer un Etat dans l’Etat, un militant pur et dur, insensible au découragement, qui ralliait une grande partie des militants du FN. Stirbois était un remarquable organisateur, qui savait galvaniser ses fidèles, des fidèles prêts à le suivre jusqu’au bout. Ce n’était sans doute pas un chef de peuple, mais nous n’en étions pas là… Le Pen, qui voyait d’un mauvais œil son influence grandissante (Stirbois était sans doute le seul que Le Pen craignait), eut l’idée de créer la grande zizanie en nommant Bruno Mégret, délégué général chargé de sa campagne présidentielle. Bruno Mégret est un homme de grande valeur, excellent organisateur, avec une capacité conceptuelle que n’avait sans doute pas Stirbois. Les deux étaient faits pour se compléter. Ce ne fut pas le cas. Sous l’œil attendri de Le Pen, qui ne faisait évidemment rien pour arranger la situation, les tensions prirent de l’ampleur. Le Pen régnait, ou du moins voulait régner en maître… J’avais essayé, très naïvement, de rapprocher les deux hommes. Peine perdue. Stirbois m’en avait même tenu grief.

La mort de Stirbois

Stirbois s’était lancé à corps perdu dans la campagne pour le « non » au référendum sur le statut de la Nouvelle-Calédonie. A peine de retour d’un voyage éreintant, début novembre 1988, il tient un meeting à Dreux. Il déclare être prêt à retourner en Nouvelle-Calédonie « mettre sa peau au bout de ses idées. »Tard dans la nuit, il reprend la route dans sa Golf GTI et, s’étant sans doute endormi au volant, percute un arbre. Les complotistes y verront bien sûr un assassinat. Absurde. En tout cas, le lecteur me pardonnera de ne pas donner de détails, ce fut un honteux soulagement chez certains proches de Le Pen, qui sablèrent le champagne. Restait à décider rapidement qui serait le secrétaire général qui remplacerait Jean-Pierre Stirbois. Deux candidats étaient en lice : Bruno Gollnisch et Carl Lang. C’est dans les toilettes du funérarium que Le Pen annonça aux deux candidats potentiels son choix. C’était Carl Lang, qui était plus jeune, et dans son esprit plus malléable (la suite prouvera le contraire), Bruno Gollnisch étant considéré comme trop proche de Stirbois. Le Pen voulait tourner la page et éviter que se constitue au sein du FN un groupe de pression des amis de Stirbois…

Les obsèques eurent lieu à l’église Saint Augustin, en présence de tous ses fidèles, et de ceux qui ne l’étaient pas. Et de ceux et surtout celle qui trahirent honteusement sa mémoire. Mais ceci est une autre histoire… Les amis de Jean-Pierre Stirbois, dont Christian Baeckeroot, Jean-Pierre Revaud, Bernard Antony, voulaient porter son cercueil. Le Pen s’y opposa. Marie-France Stirbois se jeta en larmes aux pieds de le Pen pour le supplier d’accepter. Il finit par y consentir…

Le 27 novembre 1988, 20 jours après le décès de Stirbois,National Hebdo organisa une grande réunion en hommage à Jean-Pierre Stirbois, à la Mutualité. Les organisateurs en étaient Roland Gaucher, directeur de NH et Roland Hélie. Le Pen y était totalement opposé, et fit tout pour empêcher les militants de s’y rendre, interdisant aux permanents du FN de participer à cette manifestation. Roland Gaucher ne plia pas, de même qu’un nombre considérable de militants. La Mutualité était bondée. Une émotion indescriptible… Roger Holeindre salua celui qui a« chassé du FN les incapables et les voyous pour bâtir un parti pur et dur ». Le Pen n’y vint pas… Et les incapables et les voyous revinrent au Parti…

Et si Stirbois avait vécu ?

L’uchronie, c'est-à-dire la tentation de refaire l’histoire, est évidemment une tentation absurde. Mais tellement tentante…Que se serait-il passé si Stirbois avait vécu ? Je fais le pari qu’il y aurait eu une guerre, instrumentalisée par Le Pen, entre lui et Mégret. Quel que soit celui qui l’aurait emporté, les conséquences auraient été les mêmes. Si Stirbois l’avait emporté, il aurait fini par subir les mêmes humiliations, les mêmes avanies que celles que Bruno Mégret eut à subir. Et il aurait réagi de la même façon. Jacques Doriot avait écrit un livre dont le titre est Nous ne sommes pas un peuple d’esclaves. Stirbois n’avait pas un tempérament d’esclave. Et ceux qui le suivaient, pas davantage. Jamais Stirbois n’aurait accepté cet épouvantable népotisme, cette ambiance monégasque, décadente, orientale dans laquelle se complait Le Pen. Et pourtant, quel talent d’orateur, quel charisme, quel courage ! Quel dommage ! Il est vrai qu’il est rare qu’un chef de peuple apparaisse. Peut-être tous les siècles, ou tous les deux siècles ? Un chef de peuple milliardaire, cela n’existe au demeurant pas. Lorsqu’il fut officiellement l’héritier de Lambert, qui lui léguait sa fortune pour poursuivre et amplifier le combat nationaliste, des cadres de son mouvement, heureux, lui proposèrent diverses actions de propagande et de militantisme. Un des dirigeants présents me l’a raconté. Le Pen répondit, pointant les index de ses deux mains sur sa poitrine : « Cet argent est à moi, à moi… »

J’avais suivi avec une grande attention la révolte des militants qui suivaient Bruno Mégret. Pouvait-il réussir ? Avait-il raison de se lancer dans cette aventure ? Jean-Pierre Stirbois, si cela avait été lui, aurait sans doute subi les mêmes conséquences. Première étape : Elimination des fidèles au sein du Mouvement. Les salariés fidèles au futur « traître » sont virés. Que faire ? L’accepter, c’est passer pour un salaud et un lâche qui ne défend pas ses hommes. Alors ? Tenter de prendre le contrôle d’un parti statutairement ultra verrouillé ? Cà ne marche pas. Et puis, se soumettre, et se retrouver en douzième place, celle de Judas, sur la liste européenne ? Ridicule. Seconde solution : quitter avec les meilleurs, les plus déterminés, les plus combatifs, les plus nombreux le mouvement, mais, l’expérience l’a prouvé, cela ne marche pas davantage, car la marque prime le talent. Bruno Mégret n’avait le choix qu’entre deux décisions désastreuses. Ce fut le talent de Le Pen de le pousser ainsi à une faute impossible à éviter. Jean-Pierre Stirbois, nonobstant son talent, se fût retrouvé dans la même nasse…

Source : http://synthesenationale.hautetfort.com/

mercredi, 04 novembre 2015

La Haute-Garonne accueille une soixantaine de migrants en provenance de Calais

Publié par Guy Jovelin le 04 novembre 2015

La Haute-Garonne s'apprête à accueillir dans la nuit de mardi à mercredi 60 migrants volontaires en provenance de Calais, a-t-on appris auprès de la préfecture. Ils sont attendus dans 2 centres d'hébergement, à Bagnères-de-Luchon et Toulouse

  • Un départ de migrants de la "jungle" de Calais le 27 octobre vers des centres d'hébergements © AFP

© AFP Un départ de migrants de la "jungle" de Calais le 27 octobre vers des centres d'hébergements

 
Face à l’afflux de nouveaux migrants à Calais, le ministre de l'intérieur Bernard Cazeneuve avait annoncé le 21 octobre dernier la mise en oeuvre d’un
accompagnement humanitaire des migrants.

Parmi ces mesures, des "maraudes sociales" ont proposé aux quelques 6000 migrants présents dans la "jungle" de Calais, et qui le souhaitent, de s'éloigner vers de meilleures conditions d'accueil afin que soit traitée leur demande d'asile ou envisagé un retour-réinsertion dans leur pays d'origine.

C'est dans ce cadre qu'une soixantaine de migrants volontaires sont partis ce mardi de Calais pour être accueillis dans deux lieux d'hébergement de la Haute-Garonne, situés à Bagnères-de-Luchon pour une cinquantaine de personnes et à Toulouse pour une quinzaine d'autres personnes. Ils pourront ainsi bénéficier d'un suivi sanitaire et social.

Ces migrants seront accueillis dans la nuit par les sous-préfets