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lundi, 04 juillet 2016

FACE À FACE

Publié par Guy Jovelin le 4 juillet 2016

dimanche, 03 juillet 2016

Des snipers pour protéger les boîtes homosexuelles du quartier du Marais ?

Publié par Guyb Jovelin le 3 juillet 2016

snipers-raid

Décidément, les jours passent et les phobies s’entretiennent. Selon Le Canard enchaîné, après la fusillade d’Orlando, des snipers ont été placés sur les toits parisiens du quartier du Marais pour protéger les discothèques pour homosexuels. Les Français apprécieront au passage de constater l’importance des moyens qui peuvent être déployés lorsqu’il s’agit de veiller sur le petit monde LGBT.

image: http://media.medias-presse.info/wp-content/uploads/2016/07/snipers-quartier-marais.jpg

snipers-quartier-marais

 

Source : medias-presse.info

Toulouse : polémique entre la préfecture et les syndicats de police après le meurtre d'un homme dans un bar de nuit à Arnaud Bernard

Publié par Guy Jovelin le 3 juillet 2016 

Un homme d'une 30aine d'années tué par arme à feu samedi matin dans le quartier Arnaud Bernard au Reggae Pub au sein de la communauté antillaise de Toulouse et l'agression à coups de couteau d'un autre homme provoquent la polémique entre la préfecture et les syndicats de police.

 
Les lieux du drame, après la fusillade © Christine Ravier/France 3 Midi-Pyrénées

© Christine Ravier/France 3 Midi-Pyrénées Les lieux du drame, après la fusillade

 
Un homme d'une trentaine d'années, originaire des Abymes en Guadeloupe, a été abattu samedi matin d'au moins trois balles vers 6 heures 30 à Toulouse, rue des Trois-Piliers, dans le quartier Arnaud Bernard dans l'établissement de nuit Le Reggae Pub.

Un différend entre deux hommes d'origine antillaise, à propos d'une jeune femme, aurait éclaté, selon les enquêteurs qui privilégient la piste passionnelle. L'un des deux protagonistes aurait alors sorti une arme de poing et aurait tiré devant plusieurs témoins une première fois sur son rival avant que ce dernier se réfugie derrière le bar où il aurait de nouveau essuyé plusieurs coups de feu. Le meurtrier présumé, lui aussi d'origine antillaise, a aussitôt pris la fuite. Il n'avait toutefois pas été formellement identifié samedi en fin d'après-midi.

Les pompiers de Toulouse, rapidement sur place, ne sont pas parvenus à réanimer la victime, qui est morte sur place.

Dans le même créneau horaire, deux rues plus loin, un groupe de plusieurs consommateurs du bar Le Reggae Pub, s'en est pris à un autre individu, lui aussi d'origine antillaise, et qui était présent peu de temps auparavant dans la discothèque. Les agresseurs, qui n'auraient pas été identifiés, l'ont grièvement blessé à coup de couteau. La victime a été transporté à l'hôpital où son état de santé n'a pas permis son audition.

Le Service Régional de la Police Judiciaire a été saisi des deux affaires qui paraissent être liées.

Depuis moins de 3 semaines, c'est la troisième fois qu'un homme est tué par arme à feu à Toulouse. Le 14 juin, Miloud Kherroubi, surnommé "le parrain d'Arnaud Bernard" et figure du raï avait été exécuté dans un bar du faubourg Bonnefoy par un commando d'hommes cagoulés. Le 21 juin, dans le quartier Bellefontaine, un homme de 32 ans, russe d'origine tchétchène, avait été tué par balle et un autre blessé par des individus qui avaient pris la fuite en scooter.

POLEMIQUE PREFECTURE/SYNDICATS DE POLICE SUR LA SECURITE A TOULOUSE

Le meurtre de samedi matin dans l'établissement de nuit Le Reggae Pub n'a pas tardé à provoquer une polémique entre syndicats de police d'une part et préfecture et parquet d'autre part.

Dans un communiqué publié dès samedi matin, le syndicat policier "Unité SGP""déplore que Toulouse devienne au fil des mois une ville où à l'évidence circulent les armes à feu, où des règlements de comptes et des vengeances se concrétisent par des exécutions en pleine rue, une ville avec des guerres de territoires menées sur un enjeu financier considérable lié à une économie souterraine lucrative".

"La police nationale est en grande difficulté à Toulouse tant pour anticiper que pour réagir face à ce déferlement de violence", ajoute le secrétaire régional d'Unité SGP Didier Martinez. "Certes, la métropole toulousaine est loin derrière Marseille, cependant dans la cité phocéenne dès les premières années lorsqu'était constaté le phénomène des assassinats de rue, à chaque visite ministérielle était annoncé un abondement d'effectifs" tandis que "Toulouse ne cesse de perdre des personnels", ajoute le syndicat, qui estime que "150 policiers font défaut" dans la ville rose.

Même son de cloche pour le syndicat de police Alliance. Son délégué régional Luc Escoda indique que "depuis 2012, ce sont près de 120 postes de fonctionnaires de police qui ont disparu tous corps confondus sur la ville de Toulouse, alors qu'on avait déjà un déficit de 300 fonctionnaires par rapport à une ville comme Bordeaux". "On ne peut que constater l'augmentation des actes de violence par armes à feu", déplore Luc Escoda, "qu'ils soient liés ou pas au grand banditisme". "Et aujourd'hui", conclut-t-il,si la direction de la police de Toulouse peut se targuer de bons résultats en matière de lutte contre la délinquance, c'est surtout lié à l'état d'urgence, aux restrictions sur les congés des fonctionnaires et au nombre incalculable d'heures suplémentaires. Avec les risques psycho-sociaux et la fatigue que cela engendre dans les services".

Le préfet et le procureur de la République ont réagi en début d'après-midi. Ils indiquent dans un communiqué commun que le meurtre du Reggae Pub "semble faire suite à une affaire d’ordre privé et ne s’apparenterait pas un règlement de compte relevant du grand banditisme".

"Toulouse, 4ème ville de France, connaît une évolution de la délinquance maîtrisée", estiment le préfet et le procureur. "Depuis le début de l’année 2016, les atteintes à l’intégrité physique subissent une diminution de 2, 62 % et les atteintes aux biens sont en baisse de plus de 4 %. Ces résultats ont été obtenus par l’engagement permanent des services de police dont l’action a été renforcée par la présence de forces mobiles (compagnies républicaines de sécurité ou escadrons de gendarmerie mobile) dans les zones de sécurité prioritaire et également en centre-ville", précisent-t-ils.

Le préfet de la Haute-Garonne et le procureur de la République de Toulouse rappellent que depuis le début de l'année 2016 a été mis en place "un plan de lutte contre les armes à feu. De nombreuses actions significatives sont conduites afin de rechercher les armes illégalement détenues. Une opération menée le 29 juin dans le quartier de la Reynerie a permis d’interpeller 2 individus et de saisir 3 armes".

Par ailleurs, poursuit le communiqué commun, "l’accroissement du nombre de policiers municipaux et le programme de développement de la vidéo protection porté par le maire de Toulouse permet d’augmenter la sécurité".


 

samedi, 02 juillet 2016

NON À LA COMMÉMORATION DU RAMADAN À LA MAIRIE DE PARIS !

Publié par Guy Jovelin le 2 juillet 2016

Carl Lang, à l'invitation de Pierre Cassen de riposte laïque participera au rassemblement ESplanade du TRocadero lundi 4 juillet à 19 heures.

Non à la commémoration du ramadan à la mairie de Paris !


Communiqué de presse de Riposte Laïque 
 
Rassemblement Esplanade du Trocadéro, lundi 4 juillet, à 19 heures://5
 
Commémorer le ramadan à la Mairie, c’est trahir la laïcité, Anne Hidalgo !
 
Nous apprenons que ce lundi 4 juillet://6 , le maire de Paris, Anne Hidalgo, et son adjoint Bruno Julliard commémoreront le ramadan, qui est le quatrième pilier de l’islam, dans les salons de l’Hôtel-de-Ville. C’est un viol fragrant des principes laïques et de la loi de 1905 qui rappelle, dans son article 2, que « L’Etat ne reconnaît, ne salarie et ne subventionne aucun culte. Tous les ans, cette petite fête, avec orchestres et buffets, coûte aux contribuables parisiens la somme de 100.000 euros.
 
En commémorant le ramadan à la mairie de Paris, quand, au Maroc, en Algérie ou en Tunisie, des militants des Droits de l’Homme, appelés les « Déjeûneurs », subissent la répression de leur gouvernement et les agressions des islamistes, Anne Hidalgo trahit également la solidarité internationale due à celle et ceux qui veulent s’émanciper des contraintes d’une religion d’Etat. 
 
En commémorant le ramadan à la mairie de Paris, elle se rapproche du modèle anglo-saxon, et tourne le dos aux principes de séparation du religieux et du politique. Elle contribue à faire de l’islam une religion d’Etat. 
 
En commémorant le ramadan à la mairie de Paris, elle se fait l’alliée des plus fondamentalistes des musulmans, qui utilisent cette pratique obscurantiste pour fliquer et intimider les mauvais musulmans qui souhaitent s’en éloigner.
 
Anne Hidalgo est à notre connaissance le seul maire de France à oser commémorer le ramadan dans sa mairie. Mais tous les ans, le Premier ministre et le ministre de l’Intérieur, sans vergogne, multiplient les ruptures du jeûne du ramadan dans les mosquées. 
 
Il est à noter le silence complices assourdissant des organisations dites laïques, qui seraient sans doute beaucoup plus réactives si un maire commémorait le Carème dans sa mairie.  
 
Pour protester contre les pratiques anti-laïques d’Anne Hidalgo et de sa majorité, prêts à toutes les reniements pour acheter un vote communautariste, Riposte Laïque appelle les Parisiens à se rassembler, esplanade du Trocadéro, le lundi 4 juillet, à partir de 19 heures://8
 
Une dizaine d’intervenants prendront la parole, dont des élus de la République. 
 
Pierre Cassen

vendredi, 01 juillet 2016

CERCLE ALGÉRIANISTE DE TARN-ET-GARONNE

Publié  par Guy Jovelin le 1er juillet 2016 

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CERCLE ALGÉRIANISTE DE TARN-ET-GARONNE

Association culturelle des Français d’Afrique du Nord

 

 

 

Le 5 juillet 2016 à 11h, le Cercle algérianiste  commémorera la tragédie des massacres du 5 juillet 1962 à Oran en se recueillant devant la stèle du cimetière du Pont-de-Chaume, en présence des porte-drapeaux et des représentants du Souvenir Français .

Jacqueline OLSCHEWSKI-CURATO

Présidente

Cercle algérianiste du Tarn-et-Garonne

 

 

Alain GAUTIER

126 chemin de l'Ecole - Birac

82000 Montauban

Tél.: 05 63 20 34 11