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vendredi, 16 décembre 2016

La justice ordonne la fermeture immédiate d'une école coranique de Toulouse

Publié par Guy Jovelin le 16 décembre 2016

Le directeur de l'école Al-Badr a été condamné à 6 mois de prison avec sursis et l'association à 5000 euros d'amendes. 

© France 3 Midi-Pyrénées Un cours à l'école Al-Badr

 
Le tribunal correctionnel de Toulouse a condamné ce jeudi 15 décembre Abdelfattah Rahhoui, directeur de l'école coranique Al-Badr, a 6 mois de prison avec sursis et interdiction de diriger un établissement scolaire. Le tribunal a également prononcé la fermeture immédiate de l'établissement et condamné l'association qui le gérait à 8000 euros d'amende

M. Rahhoui avait été jugé mi-novembre devant la justice, poursuivi pour le contenu de son enseignement, jugé non conforme par l'Inspection académique, ainsi que pour violences sur mineur. 

Ces poursuites faisaient suite à plusieurs rapports de l'inspection académique et une enquête de police. Réfutant ces accusations, Abdelfattah Rahhoui s'était défendu : "Ils nous reprochent qu'il n'y ait pas d'instruction, qu'il y ait beaucoup d'arabe et de Coran et qu'on entraîne les enfants au tir", avait estimé le directeur d'établissement
"On dit qu'on est en train d'entraîner les enfants au jihad" car "les élèves vont au Laser game (jeu au laser) comme ils vont en sorties scolaires à la piscine, à Walibi ou à la Cité de l'espace", avait-il déploré. "Quand c'est une école publique, il n'y pas de problème, mais quand c'est une école confessionnelle musulmane, on vous dit qu'on leur apprend à tirer".

EN VIDEO / le reportage de Karine Pellat et Jean-Yves Bascands
 
 
La justice a prononcé la fermeture de cette école coranique de Toulouse.

Source : france3-regions

jeudi, 15 décembre 2016

Une bombe retrouvée devant le parvis d'une église à Toulouse

L'église Saint-André, à Toulouse. Photo © Capture google maps
L'église Saint-André, à Toulouse. Photo © Capture google maps
 

Bombe. Les autorités ont ouvert une enquête après la découverte d’un engin explosif sur le parvis d’une église du quartier de la Roseraie à Toulouse.

L’information a été révélée par nos confrères de La Dépêche du Midi : les policiers de la SRPJ de Toulouse ont ouvert une enquête après la découverte d’une bombe artisanale sur le parvis de l’église Saint-André, dans le quartier de la Roseraie.

Toujours selon nos confrères, cette découverte remonte au 8 décembre dernier, et était présente sous forme “d’un carton contenant plusieurs bouteilles ainsi qu’un dispositif possiblement dangereux”.

L’enquête est toujours en cours.

 

Source : valeursactuelles

Terrorisme : cinq individus préparaient un attentat, trois d'entre eux arrêtés à Toulouse

Publié par Guy Jovelin le 15 décembre2016

Trois hommes ont été arrêtés, mardi 13 décembre 2016, à Toulouse, dans le cadre d'une vaste opération antiterroriste, concernant cinq personnes soupçonnées de préparer un attentat.

Trois hommes ont été interpellés, mardi 13 décembre, à Toulouse (photo d'illustration : DGPN-SICOP)
Trois hommes ont été interpellés, mardi 13 décembre, à Toulouse (photo d'illustration : DGPN-SICOP)

Les faits se sont produits mardi 13 décembre 2016, dans un quartier sensible de Toulouse. Au petit matin, trois hommes ont été interpellés par une unité de la Direction générale de la Sécurité intérieure (DGSI), dans le cadre d’une commission rogatoire mandatée par un magistrat du parquet antiterroriste de Paris, alors qu’ils étaient en passe de quitter la France pour partir faire de le jihad, a rapporté La Dépêche.

Ils préparaient un attentat

D’après nos informations, ces trois hommes feraient partie d’un groupe de cinq personnes, suspectées de fomenter un attentat sur le territoire national, et qui auraient toutes été interpellées. Les trois individus ont été placés en garde à vue, mardi, au commissariat central de police, à Toulouse.

 

Source : actu.cotetoulouse

Slovaquie : « la tolérance, c’est fini »

Publié par Guy Jovelin le 15 décembre 2016

 

Slovaquie – Le premier ministre slovaque Robert Fico a déclaré vouloir mettre de l’ordre dans les communes tsiganes, et se dit prêt à en découdre avec toute personne s’opposant à cette volonté, y compris les institutions internationales si besoin.

Le premier ministre slovaque, Robert Fico.

La fin de semaine du 10 décembre, durant le congrès du parti social-démocrate Smer dont il est membre, Robert Fico a déclaré qu’il fallait « mettre de l’ordre dans les communes tsiganes ». Pour ce faire, il dit soutenir pleinement la police et est prêt à assumer tout conflit, des ombudsman aux institutions internationales. « Nous ne tolérerons plus les gens qui profitent du système social, qui harcèlent les citoyens honnêtes et qui dérangent la paix dans les villes et villages. La tolérance, ça suffit ! » a déclaré le premier ministre slovaque, rajoutant que mettre fin au politiquement correct était également une priorité. « Nous avons peur de dire les choses si elles ne sont pas politiquement correctes, et ainsi, l’autre bord, les extrémistes et les radicaux utilisent cette langue, et récoltent un large soutien. Le politiquement correct n’a pas sa place en ce monde, » a conclu Fico.

Le ministre de l’intérieur Robert Kalinák a dans la foulée annoncé que dès 2017, le ministère et la police porteront une attention particulière aux communes reconnues comme difficiles, habitées par des populations socialement défavorisées et par des Tsiganes.

Certains observateurs politiques estiment que la montée du parti nationaliste slovaque L’SNS de Marian Kotleba ont poussé Robert Fico à faire ces déclarations pour des raisons politiques et électorales. Entré au parlement cette année avec 8,04% des voix, il était le cinquième parti du pays, mais les patrouilles dans les trains, les actions sociales ou les déclarations en faveur de l’ordre et de la fin de la tolérance et du laxisme juridique font croître la popularité de ce parti fondé en 2011.

Marian Kotleba, président du parti nationaliste L’SNS en pleine ascension.
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Source : visegradpost

L’entrée de la Grande-Bretagne refusée à trois archevêques syriens, autorisée aux Frères musulmans

Publié par Guy Jovelin le 15 décembre 2016

Le 24 novembre dernier, a été consacrée la première cathédrale syrio-orthodoxe de Londres, dédiée à Saint Thomas, en la présence du Prince Charles. Pour faire honneur à la communauté chrétienne syrienne présente sur le sol du Royaume-Uni, l’héritier de la couronne britannique avait invité personnellement trois archevêques syrio-orthodoxes, deux d’Irak, Mgr Nicodème Sharaf de Mossoul et Mgr Timothius Shamani de la vallée de Ninive, et Mgr Selwanos Alnemeh de Homs et Hama en Syrie.

« Le ministre de l’Intérieur de la Grande-Bretagne, lit-on sous la plume du journaliste italien Giampaolo Rossi du Giornale, leur a refusé l’entrée du territoire britannique » au motif, saugrenu et offensant, que « les trois archevêques étant sans ressources et n’étant pas en mesure de subvenir à leurs propres besoins, ils auraient donc pu décider de rester sur le sol du Royaume-Uni ! »

En résumé, Londres a traité trois membres éminents des communautés chrétiennes persécutées en Orient pire que des clandestins reçus eux à bras ouverts dans toute l’Europe où ils vivent ensuite aux crochets des populations autochtones !

Ou peut-être que Londres a confondu ces augustes personnes avec des terroristes potentiels…

Et prend les terroristes plus que potentiels pour de gentils agneaux. Récemment, ce même gouvernement, si intraitable et légaliste quand il s’agit de chrétiens, a autorisé deux chefs religieux islamistes pakistanais qui prônent ouvertement la chasse aux chrétiens à entrer en Grande-Bretagne et à visiter les mosquées britanniques. Et il a publié également une directive préconisant l’accueil des membres des Frères musulmans chassés d’Égypte. Pour rappel, cette confrérie musulmane est considérée comme une organisation terroriste dans beaucoup de pays parce qu’elle prêche le djihad, le martyr et la persécution des mécréants, c’est-à-dire les non-croyants musulmans.

Londres a manifestement commis un acte anti-chrétien en refusant d’accueillir ces trois archevêques, acte qui s’insère dans sa politique, calquée sur celle du président des États-Unis Obama, de tolérance envers l’expansion du Califat islamiste, de consolidation des intérêts britanniques avec les monarchie saoudites, complices du terrorisme islamique et  théocraties tyranniques barbares, et d’aide aux groupes djihadistes anti-Assad dont le régime laïc est source de protection pour les chrétiens.

Mgr Atanasio Toma Dawod, archevêque de l’Église syrio-orthodoxe de Londres pose la question : « Pourquoi la Grande-Bretagne traite les chrétiens de cette façon ? » « Eh oui, pourquoi ? » se demande le journaliste d’Il Giornale.

Nous aussi nous nous posons la même question mais malheureusement nous avons peut-être la réponse à ce machiavélisme anglais : parce qu’il y a une volonté américano-anglo-israélienne de renverser, via l’État islamique, tous les pouvoirs forts et laïcs du Moyen-Orient (après l’Irak c’est donc au tour de la Syrie d’être sur la sellette) et de transformer les nations du Moyen-Orient en des faibles États ethniques et religieux, sans danger pour le voisin hébreux. Dans ce plan de remaniement ethnico-religieux qui sert aussi les intérêts financiers et pétroliers de l’oncle Sam et des groupes apatrides, et permet à certains d’assouvir leur haine du christianisme, la présence millénaire, sur ces terres orientales, des communautés chrétiennes, soutiens des régimes laïcs qui les protègent comme celui d’Assad en Syrie et de feu Saddam Hussein en Irak, est un obstacle à éliminer !

Si le gouvernement britannique et les politiciens qui le composent voulaient montrervers qui, malgré les exactions des islamistes de Daesh et des rebelles « modérés », leur « cœur » balance,  ils n’auraient pas agi autrement… Entre les Chrétiens et les terroristes islamistes, ils ont manifestement choisi les seconds, encore une fois, comme à Alep…

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info