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dimanche, 24 juin 2018

Macron veut des sanctions financières contre les pays de l’UE qui refusent d’accueillir des migrants

Publié par Guy Jovelin le 24 juin 2018

Par  le 23/06/2018

(…) Le président Macron s’est prononcé en faveur de sanctions financières envers les pays de l’Union européenne qui refuseraient d’accueillir des migrants. «On ne peut avoir des pays qui bénéficient massivement de la solidarité de l’UE et qui revendiquent massivement leur égoïsme national quand il s’agit de sujets migratoires».

(…) Le Figaro via fdesouche

jeudi, 21 juin 2018

Macron repart en croisade contre les peuples de l’UE

Publié par Guy Jovelin le 21 juin 2018

Rédigé par notre équipe le 20 juin 2018 

Macron et Merkel unis dans la destruction de l'Europe

Alors qu’une majorité de pays européens a clairement fait comprendre son hostilité à une vague migratoire qui ne cesse guère, le président français continue de faire la sourde oreille. Bien muet dans l’affaire de l’Aquarius jusqu’à son dénouement, Macron sait pertinemment que la politique pro-migrant qu’il mène exaspère les Français. Une politique semblable à l’Allemagne où le nouveau ministre de l’Intérieur a la dignité de s’opposer à la folie de Merkel. Critiqués et esseulés, Macron et Merkel se serrent les coudent et partent en croisade pour une Europe plus libérale encore. Ecœurant !  

Vite ! Il faut trouver un nouveau moteur à la sacro-sainte « construction européenne ». Les tensions et le rejet légitime suscités par la politique pro-immigrationniste sont devenus si forts en Europe que les deux principaux « moteurs européens » ont dû changer de partition dans la précipitation. Les Européens ne veulent pas des Syriens et des Africains ? Ils les auront quand même avec une nouvelle monstruosité en prime. Son nom ? Un budget pour la zone euro. L’hydre européenne est décidément increvable avec des promoteurs aussi acharnés qu’une chancelière en bout de course et le dernier né du capitalisme bancaire.

Les Européens méprisés par l’axe Berlin-Paris  

Se croyant toujours auréolé (ou faisant mine d’y croire) de son succès en mai 2017, Macron impose aux Français une politique dont ils ne veulent pas. Il en est conscient et c’est pourquoi il a commencé à fustiger l’Italie au sujet de l’Aquarius qu’au moment où il était certain que le bateau rejoindrait l’Espagne. Faux gentil, et vrai méchant, Macron ne veut pas fermer les frontières, mais ne peut pas dire qu’il les laisse grande ouverte… Merkel, elle, n’a pas pris de gants depuis 2014 et a fait savoir aux dizaines de millions de pauvres qui peuplent l’Afrique et le Moyen-Orient que l’Allemagne les accueillera pour en faire des salariés à très bas prix. Mais la révolte gronde finalement outre-Rhin où les violences, le communautarisme et le djihadisme commencent à peser lourd sur les Allemands.

86 % d’entre eux sont favorables à l’expulsion de tous les migrants qui n’ont rien à faire en Allemagne. Merkel est seule contre le peuple allemand et contre son ministre de l’Intérieur qui a appelé à la fin du cirque. Pour s’accrocher au pouvoir, la mère Merkel a dû s’allier avec la CSU qui ne veut plus des ces millions de « chances pour l’Allemagne ». Isolée et au bord du précipice, Merkel se cherche des alliés et vient frapper à la porte de Macron… Il y avait une seule adresse à éviter pour le futur des Européens, et Merkel s’y est précipitée…

Les deux compères se sont retrouvés non loin de Berlin pour décider du sort de l’Europe. Rien ne doit changer. Les nouveaux migrants sont invités à venir rejoindre les cohortes de bouches inutiles et futurs haineux de la France et de l’Europe. Seule garantie laissée aux autres membres de l’UE qui ne font pas de délire pro-migrants : certains migrants seront peut-être amenés sur des « plateformes régionales de débarquement » situées en dehors de l’UE. Une infime partie des migrants sera donc triée ainsi tandis que les ONG et passeurs continueront de déverser le gros des troupes directement en Grèce, Italie et Espagne.

Jamais à court d’idées allant à l’encontre de l’intérêt de leur population, ils décident de concentrer officiellement leurs efforts sur une intégration plus forte au sein de l’UE. Les Allemands n’ont pas voulu des bêtises de Macron, mais dos au mur Merkel a finalement accepté l’idée d’un budget pour la zone euro. Dernière pièce de l’effacement de la souveraineté française, le budget européen consacrera la toute puissance de Bruxelles. La France ne sera plus qu’une région du monstre européen et devra reverser tous ses revenus dans l’espoir d’en récupérer une petite partie. La soumission absolue.

Les Européens ne veulent plus d’immigration. On leur en redonne. Les Européens ne veulent plus de cette Europe qui méprise les Etats et les aspirations de leurs peuples. On les oblige à abandonner le peu de souveraineté qu’il leur restait. Il est temps que les pays sérieux comme l’Italie, l’Autriche, la Pologne et la Hongrie (pour ne citer qu’eux) fassent comprendre à Macron et Merkel que leur toute-puissance ne vaut que si on veut bien croire aux effets de la poudre de perlimpinpin.

 

Source : 24heuresactu

mercredi, 20 juin 2018

Emmanuel Macron et Philippe de Villiers, les deux compères

Publié par Guy Jovelin le 20 juin 2018

Ecrit parLéo Kersauzie

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Quelle époque de confusion générale ! La gauche n’est plus la gauche, s’accommodant fort bien avec les principes du capitalisme et les puissances financières mondialistes.  La droite n’est plus la droite, recherchant avant tout le conformisme mou. Et les souverainistes ne sont plus souverainistes, préférant fréquenter les cénacles du pouvoir sous contrôle des banksters.

L’amitié affichée entre Philippe de Villiers, classé souverainiste, et Emmanuel Macron, créature de Jacques Attali et de ses compères de la haute finance mondialiste, en est une nouvelle illustration.

Les deux hommes avaient déjà montré publiquement leur franche camaraderie en mai dernier, lors de la finale de la Coupe de France. Ils viennent de se retrouver publiquement le 13 juin au cours d’une réunion organisée avec des entrepreneurs et des élus de Vendée.

Philippe de Villiers, fondateur du parc du Puy du Fou, n’a pas manqué d’y chanter les louanges du président de la République. Philippe de Villiers a affirmé qu’il était «incontestable» qu’Emmanuel Macron «incarne la verticalité de la fonction» – ce qu’il juge essentiel dans un pays qui est «une monarchie républicaine».

Autant de compliments qui en ferait presque oublier que les deux hommes viennent de bords politiques très différents, ce qu’a tout de même rappelé Philippe de Villiers : «Il n’est pas aligné sur mes idées et je ne suis pas aligné sur les siennes.»

De son côté, Emmanuel Macron commentait la présence de Philippe de Villiers : «Je suis très content qu’il soit là», avant de préciser «C’est quelqu’un – je le connais depuis 2016 – […] avec qui on a eu des discussions hautes en couleur, mais qui porte des convictions. Certaines qui sont irréconciliables et d’autres qui permettent une confrontation utile».

Quant au porte-parole de l’Elysée, Bruno Roger-Petit, il a déclaré au micro de BFMTV que les deux hommes partageaient «une certaine volonté de réaffirmer l’autorité présidentielle telle qu’elle ne s’incarnait plus dans le pays».

 

Source : medias-presse.info

vendredi, 15 juin 2018

Les dirigeants de l’Europe Unie ne sont que des dictateurs

Publié par Guy Jovelin le 15 juin 2018

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 Bernard Plouvier

Notre génialissime Président interpelle assez rudement le gouvernement italien pour une question de sauvetage d’immigrés en Méditerranée. Cela fait du remue-ménage sur les blogs, dans les chaines de TV et de radio. Pourtant les bonnes questions à poser n’ont rien à voir avec l’absence de réserve que devrait avoir un chef d’État vis-à-vis d’un gouvernement souverain étranger. Après tout, les Italiens ont bien d’autres soucis que les humeurs macroniennes.

En outre, l’arrogance est-elle une bonne méthode en matière de relations internationales ? Lorsque l’on a la première armée de la planète, ou l’économie la plus performante ou encore la plus grosse réserve d’or, c’est jouable, même si cela manque singulièrement d’élégance. Mais le Président de la République française, de quelle supériorité peut-il se targuer pour jouer au gros dur, donneur de leçons ?

Les bonnes questions à poser sont pourtant d’une criante évidence.

1 – Pourquoi les Africains et les Moyen-Orientaux viennent-ils envahir notre continent où règne un chômage énorme ? Serait-ce qu’on les a appelés ? Dans ce cas, on aimerait connaître les coupables de ce crime contre les Nations européennes, victimes d’une invasion trop souvent violente, couplée à l’inutile importation de la seule religion qui encourage encore la « guerre sainte », soit un culte d’essence médiévale.

2 – Pourquoi serions-nous, Européens, victimes de la pression démographique des populations d’Afrique et du Moyen-Orient, incapables d’adapter leurs naissances à leurs capacités d’emplois et de réponses aux besoins alimentaires ?

3 – Qui est le Souverain dans les Nations d’Europe Unie ? Un coup d’œil jeté sur les premiers paragraphes de toutes les Constitutions européennes nous apprend que l’unique souverain est le corps électoral. D’où la 4et principale question :

4 – Dans quel pays de l’Europe Unie a-t-on demandé son avis au Peuple Souverain à propos de cette immigration-invasion qui semble tant réjouir notre Président, si l’on en juge par les chiffres de naturalisations durant sa première année de fonction et par sa compassion médiatiquement affichée, au point de provoquer un couac diplomatique ?

La réponse est simple : ni en France, ni en Allemagne, ni en Espagne, ni en Italie, ni en Belgique, ni etc. On rappelle que le referendum sur le Brexit en Grande-Bretagne s’est joué – tous les commentateurs l’ont reconnu – sur la question de l’immigration d’origine extra-européenne.

La conclusion s’impose d’elle-même : en prenant une série de décisions capitales qui engage l’avenir des Européens, sans solliciter leur avis, les dirigeants européens – dont on sait déjà qu’ils sont de parfaits démagogues - ne se comportent pas en « démocrates », mais en dictateurs.

 

Source : synthesenationale

mardi, 29 mai 2018

Macron se cherche un papa en Russie

Publié par Guy Jovelin le 29 mai 2018

Rédigé par notre équipe le 28 mai 2018. 

 
Orphelin depuis que son papa Donald l’a laissé sur le bord de la route, le petit Macron se cherche un nouveau protecteur sur la scène internationale. Hasard du calendrier, c’est la Russie qui vient de se coltiner pendant deux jours celui qui a surfé sur un anti-Russie primaire depuis plus d’un an. Cajolé, Poutine aurait pu croire à une farce s’il n’avait pas compris que Macron n’est qu’un gamin à la recherche d’une protection paternelle.

La France – sous la pression du système – a élu un enfant (capricieux). L’analyse de Michel Onfray se révèle chaque jour plus exacte. Notre président est un gosse qui tient la main de maman en toute occasion. Nous ajouterons une couche politique en affirmant, preuves à l’appui, que le petit Macron se cherche aussi un papa, de préférence connu et bien plus fort que lui. Il pensait l’avoir trouvé avec Trump, mais ce dernier s’est rapidement lassé des caresses dans le dos et des discours vides en anglais dans le texte. Not very delicious !

Poutine, nouveau papa d’Emmanuel ?

Orphelin de père, Emmanuel a donc accouru à Saint-Pétersbourg où le grand méchant Poutine l’attendait avec un sourire en coin. Après avoir été accusé de tous les mots dont une campagne de calomnies contre la Saint-Emmanuel, Poutine a vu Macron lui demander de faire ami-ami sans crier gare ! Reçu à Saint-Pétersbourg avec (pas tous) les honneurs, Macron a profité de ces deux jours loin de la France pour tenir un discours renversant sur la Russie et son président.

Fini les vilains mots et les accusations non étayées. Alors que la France avait suivi benoitement une Grande-Bretagne hystérique dans la très louche affaire Skripal, il n’a même pas été question de cette question… La Crimée ? Même pas ! Alors pourquoi les sanctions contre la Russie si la Crimée ne compte plus ? La réponse ne viendra peut-être jamais. Macron s’est contenté de déclarer que « le règlement pacifique de la crise au Donbass est l’élément clé d’un retour à des relations apaisées entre l’Europe et la Russie ».

Le petit Macron est devenu beaucoup moins exigeant. Son abandon en rase campagne par son cher Donald a des effets bénéfiques. Il est plus calme, moins bagarreur et même un tantinet flatteur lorsqu’il a parlé des sacrifices de la Russie au cours de la Seconde Guerre mondiale. Un discours qui a surpris son auditoire et qui a dû faire enrager ses soutiens depuis toujours…

« En même temps », ce n’est pas la première fois qu’un politicard change d’opinion. Et « en même temps », ce discours surprenant n’est peut-être qu’un enfumage destiné à un public précis. Macron nous a déjà habitué à tenir des discours très différents en fonction de son auditoire. Mais si le petit Emmanuel souhaite obtenir quelque chose de son nouveau papa, il faudra qu’il donne des gages notamment sur l’Iran. Trump a cassé ce jouet et Emmanuel affirme vouloir faire beaucoup pour le réparer. L’entreprise est louable, car une guerre de grande ampleur pourrait éclater. Une éventualité bien sombre qui verrait malheureusement Macron détaler aussitôt vers Donald, car dans un conflit sérieux, la mondialisation atlantiste saura rappeler efficacement ses petits chiots.

 

Source : 24heuresactu