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vendredi, 11 septembre 2015

11/09 : Plus de 2300 ingénieurs et architectes remettent en cause la version officielle

Publié par Guy Jovelin le 11 septembre 2015


Pour les lecteurs de Contre-Info qui souhaitent commencer à se renseigner sur le sujet, voici un reportage à voir ici et ce site à consulter :ReOpen911.info
L’organisation « AE911Truth » publie un livre remettant en cause la version officielle des attentats du 11 septembre 2001 à New York. Encore une nouvelle théorie du complot? Certes, sauf qu’elle rassemble cette fois plus de 2.351 architectes et ingénieurs.

Dans leur livre, ils disent n’apporter que des preuves scientifiques vérifiées par plus de 2.000 experts (architectes et ingénieurs).Richard Gage, le fondateur de l’association « AE911Truth », y dénonce les failles de l’enquête menée par le National Institute of Standards and Technology (NIST). Il exige une nouvelle enquête indépendante sur les causes de l’effondrement des tours du World Trade Center le 11 septembre 2001.Le mystère WTC 7
Les architectes et ingénieurs veulent surtout savoir pourquoi le WTC 7, le « petit frère » des Twin Towers situé à 100 mètres au nord du lieu du drame, s’est aussi effondré. Il s’est écroulé vers 17.20 (heures locales), soit sept heures après. L’US Secret Service, Department of Defense et la CIA louaient quelques bureaux dans ce bâtiment.Jane Standley, la célèbre journaliste de la BBC, présente à New York le 11 septembre 2001, avait informé les téléspectateurs que le WTC 7 venait de s’effondrer, plus de 20 minutes avant les faits. Lors de son reportage, le bâtiment était encore visible en arrière-plan (voir la vidéo sous l’article). Lire la suite

INVASION CHOISIE, DÉSINFORMATION ET GUERRE PSYCHOLOGIQUE PAR CARL LANG

Carl Lang - 2015 Jeanne.jpg

Publié par Guy Jovelin le 11 septembre 2015

Carl Lang

Président du Parti de la France

La politique de colonisation de la France et de l’Europe occidentale engagée depuis les années 1970 avec la complicité active des dirigeants politiques et économiques européens s’accélère ces dernières semaines avec la ruée vers l’Europe de populations du proche et Moyen Orient.

Il est utile de rappeler que le chaos en Syrie est largement le fruit des politiques occidentales de soutien aux milices armées qui ont engagé une guerre civile et religieuse contre le régime de Bachar el Hassad.

Il y a peu, le président de la République dite française souhaitait un engagement armé de la France et de l’OTAN contre les armées du gouvernement légal syrien, alors que l’unique obstacle sur le terrain à une victoire totale de l’Etat islamique en Syrie est justement l’armée de Bachar el Hassad. François Hollande n’est donc pas simplement un incapable reconnu en politique intérieure mais il est de surcroît un irresponsable potentiellement dangereux en politique étrangère.

Face au présent chaos créé par le flux ininterrompu de centaines de milliers de migrants sur les frontières grecques et européennes, la France, l’Allemagne et le président de la Commission européenne ont fait le choix public et proclamé d’une politique d’ouverture et d’accueil, une politique dite de quotas qui a été entendue en Syrie, en Irak et ailleurs comme un véritable appel à venir en Europe : vous serez chez nous chez vous et vous y trouverez logement, protection sociale, allocations et emploi. Cette politique a un nom : celle de l’invasion choisie.

Cette capitulation politique s’accompagne du vacarme habituel des grosses caisses médiatiques de la désinformation : on explique ainsi aux téléspectateurs hébétés qu’il ne s’agirait que de 160 000 réfugiés à se répartir dans toute l’Europe et que 24 000  réfugiés pour la France, ce n’est pas grand-chose. Les faits sont pourtant impitoyables et démonstratifs : en une seule semaine 22500 clandestins sont arrivés sur la seule île grecque de Lesbos. L’appel public à l’accueil de certains Etats européens a d’ores et déjà enclenché un processus migratoire massif et supplémentaire de plusieurs centaines de milliers de personnes qui se précipitent vers les frontières européennes. Le nombre des populations candidates potentielles au déplacement est probablement aujourd’hui de 4 à 5 millions de personnes.

La seule arme de la désinformation habituelle et ordinaire n’étant pas suffisante cette fois-ci pour anesthésier et soumettre les peuples d’Europe, les régimes en place et tous les lobbies immigrationistes et anti nationaux sont passés à la phase supérieure de l’action psychologique, celle d’une véritable guerre psychologique contre les capacités mentales et politiques de défense et de survie des populations européennes. L’utilisation sordide de la photo du petit Aylan mort noyé du fait de l’irresponsabilité de ses parents a été une remarquable arme de guerre psychologique. L’objectif est simple : il consiste àculpabiliser ceux qui sont hostiles à l’ouverture des frontières, àdiaboliser les éventuels porte-parole de la résistance et finalement à neutraliser les masses. La plus remarquable action psychologique a été menée par la chancelière allemande Merkel contre l’identité et la sécurité de son propre peuple. Elle se dit prête à accueillir 800 000 réfugiés, elle refuse de plafonner le nombre d’entrées en Europe et souhaite une répartition autoritaire des migrants dans tous les Etats de l’Union. Il va de soi que toute forme de réaction hostile à cette politique de la part du peuple allemand ne pourrait être qu’un comportement de type hitlérien et rappellerait les heures les plus sombres de l’histoire allemande et européenne. Cette honteuse opération psychologique de manipulation et de culpabilisation est bien rodée, parfaitement menée et semble pratiquement imparable…

Et pendant ce temps, il est clair que la photo du petit Aylan n’a ému ni les riches Etats du Golfe Persique ni l’Arabie Saoudite puisque le gouvernement saoudien a déclaré qu’il refusait d’accueillir des migrants sur son territoire, pourtant arabes et en grande partie musulmans sunnites, mais qu’il était prêt à financer la construction de 200 nouvelles mosquées en Allemagne (source : journal libanais Al Diyar).

Où est donc la solidarité arabe ? Où est donc la solidarité islamique ?

Si l’Arabie Saoudite arabe et sunnite qui croule sous les centaines de milliards de dollars de sa production pétrolière ne fait rien pour des populations voisines, arabes et musulmanes, pourquoi l’Europe gangrénée par le chômage de masse, la paupérisation galopante et la dette publique devrait-elle porter la charge du déplacement de ces populations non européennes ?

Le Parti de la France condamne la politique suicidaire et contraire à l’intérêt national d’ouverture de nos frontières et rappelle à cette occasion sa volonté politique d’organiser la décolonisation de la France et de l’Europe en restaurant les principes de patriotisme social et économique, de préférence nationale et européenne, de protection de l’identité française, de réforme du code de la nationalité, de refus de l’islamisation et d’expulsion des clandestins.

Il nous faut rendre la France aux Français et l’Europe aux européens.

 

Aidez-nous. Rejoignez le Parti de la France !

La presse allemande se met à parler arabe.

Publié par Guy Jovelin le 11 septembre 2015

bild arabe

Deux  quotidiens allemands, Bild (le plus lu de le la presse allemande) et BZ, tous deux appartenant au groupe de presse Axel Springer (présent en France, via EMAS, avec Auto Plus, ainsi quevia Media Mag, avec notamment Télé Magazine), ont publié ce matin un supplément rédigé en arabe destiné à aider les immigrés qui arrivent en Allemagne ! 

Ces suppléments de quatre pages insérés dans les éditions berlinoises BZ et de l’édition locale Berlin-Brandebourg du journal populaire Bild,  contiennent une carte de Berlin ainsi qu’un glossaire des mots ou expressions allemands les plus courants avec leur traduction arabe et des adresses d’ONG et de centres d’accueil pour réfugiés.

« Offrez cet exemplaire (…) à un réfugié après l’avoir lu », est-il écrit en Une des quotidiens.

L’Allemagne a prévu d’accueillir 800.000 immigrés en 2015.

Partout en Europe, les médias ont pris fait et cause pour l’ouverture des frontières européennes à la déferlante migratoire et cherchent à manipuler l’opinion publique en ce sens, ne donnant plus la parole qu’à des personnes favorables à ce grand remplacement de populations.

Source : http://www.medias-presse.info/

Le Japon ne veut pas d'immigrés !

Publié par Guy Jovelin le 11 septembre 2015

drapeaux japonais

Tandis que l’Europe ouvre ses portes à des centaines de milliers de migrants, le Japon, qui a recensé seulement 11 demandes d’asile l’année dernière, va encore rendre sa législation plus sévère afin de dissuader toute tentative d’immigration.

Les  nouvelles mesures concerneraient notamment les conditions d’admission à l’asile et l’expulsion des demandeurs d’asile déboutés et feraient du Japon une des destinations les plus inaccessibles pour les migrants.

Hiroaki Sato, Ministre de la justice, a assuré que les nouvelles mesures permettraient de ne laisser entrer au Japon que les personnes méritant véritablement un statut de réfugié.

Le gouvernement du Japon ne considère pas la volonté d’échapper à la guerre comme une raison légitime de demander l’asile. Ni bien sûr la volonté de trouver une situation économique et sociale plus favorable.

 Source : http://www.medias-presse.info/le-japon-ne-veut-pas-dimmig...

 

jeudi, 10 septembre 2015

VIDEO. Le FN mis en examen dans l'enquête sur son financement

Publié par Guy Jovelin le 10 septembre 2015

1/2RÉAGIR
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Le trésorier du FN, Wallerand de Saint-Just, le 13 février 2014 à ParisLe trésorier du FN, Wallerand de Saint-Just, le 13 février 2014 à Paris(AFP/Miguel Medina)

Le Front national a été mis en examen ce mercredi pour recel d'abus de biens sociaux et complicité d'escroquerie dans l'enquête sur sonfinancement, a annoncé le trésorier du parti, Wallerand de Saint-Just, à sa sortie du bureau du juge.

  «Nous sommes innocents de toutes les accusations qui sont portées contre nous», a-t-il commenté devant la presse.


Le trésorier et candidat frontiste aux régionales en Ile-de-France était arrivé au pôle financier vers 9 heures pour représenter son mouvement, entendu en tant que personne morale par les juges Renaud van Ruymbeke et Aude Buresi. Les magistrats ont déjà mis en examen six personnes dans ce dossier, dont le vice-président du FN Jean-François Jalkh, ainsi qu'une entreprise proche du parti, Riwal, et le microparti Jeanne, considéré comme celui de Marine Le Pen.

Cette mise en examen est un coup dur pour le FN, qui se verrait rattrapé par une affaire alors que ses dirigeants ont toujours pointé du doigt les turpitudes de la classe politique. La présidente du FN, Marine Le Pen, avait déjà jugé que la convocation du trésorier démontrait «la volonté politique de nuire» à son parti, «qui n'a rien à se reprocher».

Le trésorier du FN dénonce l'«acharnement» du procureur



Au centre de l'affaire figure Frédéric Chatillon, patron de l'agence de communication Riwal, ancien chef du GUD, un syndicat étudiant d'extrême droite, et ami proche de Marine Le Pen. Les enquêteurs soupçonnent cet homme de 47 ans, qu'ils considèrent comme le gérant de fait de Jeanne, d'avoir mis en place avec d'autres protagonistes un système d'enrichissement frauduleux lors des législatives de 2012. En cause : des kits de campagne (tracts, affiches...) conçus et vendus par Riwal, puis fournis par Jeanne à une grande majorité de candidats frontistes (525 sur 565) qui signaient un contrat de prêt avec le micro-parti.

Des kits de campagne surfacturés ?

Selon une source proche du dossier, les juges considèrent que le coût des kits, ouvert au remboursement des frais de campagne par l'Etat pour les candidats faisant plus de 5%, «était très largement surévalué». Ils estiment aussi que ces kits étaient une condition pour obtenir l'investiture du parti. Le FN conteste leur caractère obligatoire, tout en faisant valoir une nécessité de rendre homogène le message de la campagne, donc de passer par un seul fournisseur.

Dans le viseur des juges figurent aussi les prêts de Jeanne aux candidats. Considérés comme fictifs, ils n'auraient eu pour but que d'obtenir le remboursement par l'Etat des intérêts d'emprunt, inclus dans les comptes de campagne. Des remboursements d'intérêts pour 600 000 €, alors que le préjudice total est évalué à «plusieurs millions d'euros» par une source proche du dossier.

Les juges soupçonnent aussi l'entreprise Riwal d'avoir financé illégalement le FN et Jeanne, par des dons ou des aides, comme la mise à disposition gratuite de locaux ou d'employés, le paiement durant la campagne des législatives de salaires sur deux mois pour des emplois présumés fictifs de deux responsables, l'actuel maire de Fréjus David Rachline et le député européen Nicolas Bay, la prise en charge d'une facture de plus de 400 000 € ou des facilités de paiement comme des crédits fournisseur sans intérêts. Le FN se défend pied à pied et conteste chaque grief.

Les magistrats oublient un changement de loi

L'enquête a été fragilisée par un vide législatif: le délit d'acceptation par un parti politique d'un financement provenant d'une personne morale n'est en effet plus puni par la loi. Cette faille avait échappé au législateur, au parquet de Paris et aux juges d'instruction. Le parquet avait pris par la suite un réquisitoire supplétif en suggérant aux magistrats la mise en examen du parti pour recel d'abus de biens sociaux et complicité d'escroquerie dans le volet des remboursements de frais de campagne.

Un signe de «l'acharnement» du procureur, aux yeux de Wallerand de Saint-Just, qui a assigné l'Etat, lui réclamant 200 000 €. «Nous montrerons devant la chambre de l'instruction qu'il n'y a pas le moindre indice de l'existence de charges qui montrent que le FN a pu se rendre coupable de recel d'abus de biens sociaux et de complicité d'escroquerie», a assuré Wallerand de Saint-Just. «Nous montrerons que le parquet ne pouvait pas redemander une mise en examen pour les mêmes faits mais sous une qualification différente», a-t-il ajouté.

Philippot dénonce le «vide intégral» du dossier

Florian Philippot, l'un des vice-présidents du Front national, a affirmé ce mercredi que le dossier ayant valu à son parti une mise en examen dans une enquête sur son financement était «d'un vide intégral, d'un néant absolu». «Nous n'avons strictement rien à nous reprocher», a affirmé le bras droit de Marine Le Pen sur iTÉLÉ.

«On nous parle d'escroquerie alors que tout est parfaitement transparent, rien n'est dissimulé, et tout a été vérifié cinq fois lors de cinq élections différentes, et a été confirmé par la Commission nationale des comptes de campagnes et des financements politiques, donc on voit qu'on est dans l'acharnement politico-judiciaire, c'est le lot du premier parti de France qui fait entre 25 et 30%», a-t-il poursuivi.

L'eurodéputé a jugé cette mise en examen politique: «Il n'y a aucune surprise dans cette mise en examen, la justice de Mme Taubira l'a souhaitée, elle a tenté de le faire en juin dernier en convoquant notre trésorier Wallerand de Saint Just. Elle n'avait pas pu le faire car légalement ça n'existe pas». «Elle a donc dû se rattraper et trouver un autre motif pour essayer de mettre en examen, pour essayer de salir médiatiquement et politiquement le FN à quelques mois des régionales», a-t-il estimé.

«Il y a un acharnement, une haine de Mme Taubira et de M. Valls, ils ne s'en cachent pas, ils le disent, ils ont même appelé à lastigmatisation», car «le FN est le seul qui dérange», a insisté Florian Philippot.VIDEO. Le FN mis en examen dans l'enquête sur son financementVIDEO. Le FN mis en examen dans l'enquête sur son financement
Témoin de l'injustice visant son parti, selon lui : «On nous dit : Vous avez payé avec retard vos fournisseurs, ça s'appelle un crédit fournisseur. Nous avons des crédits fournisseurs, oui nous en avions, mais beaucoup moins que le PS et l'UMP, on peut (les) trouver dans le bilan de ces partis-là, est-ce qu'ils vont être mis en examen pour le même motif?»


rentrée
 

Source :  http://www.leparisien.fr/politique/le-fn-mis-en-examen-da...