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mardi, 10 avril 2018

Algérie : Les demandes de visa pour la France ont doublé en 5 ans

Publié par Guy Jovelin le 10 avril 2018

Par  le 09/04/2018

 

Le nouveau centre, qui couvre la circonscription d’Alger, a été inauguré hier, au cours d’un point de presse donné par l’ambassadeur de France, Xavier Driencourt, accompagné par le consul général, Eric Gérard, et le directeur du VFS, Pierre Benichou. Ce dernier assure que le centre VFS Global Alger est «le plus grand centre VFS après celui de Saint-Pétersbourg» et emploiera 260 personnes.

Le nouveau centre a pour ambition de «parer» à l’explosion du nombre de demandes qui «a doublé en cinq ans». «Face à l’augmentation significative de la demande, il fallait une plateforme internet plus adaptée permettant une gestion plus fluide des rendez-vous et des délais raisonnables», a précisé l’ambassadeur de France. Dévoilé à la presse, le nouveau centre «moderne et bien agencé pourra traiter jusqu’à 2000 dossiers par jour», a indiqué le consul général Eric Gérard.(…)

Par ailleurs et en matière de politique des visas, l’ambassadeur de France et le consul général ont assuré qu’il n’est pas question de «changement» ou de «faire baisser» le nombre de visas octroyés, mais ils ont relevé le problème des visas «dévoyés» et des «dossiers falsifiés». Plusieurs détenteurs de visas touristiques se rendent en France pour des soins laissant des dettes énormes auprès des hôpitaux publics. Ou bien ceux qui ne respectent pas les délais de séjour.

«Des personnes arrivées en France avec des visas touristiques ne reviennent plus. En 2017, près de 10 000 personnes ont été interpellées en situation irrégulière. Près de 10 000 autres ont été refoulées des aéroports pour n’avoir pas présenté de justificatifs de leur séjour», a révélé l’ambassadeur de France.

(merci à elipo)

 

(…) El Watan via fdesouche

Les noms de 2 626 agents du renseignement aux mains d’une radicalisée

Publié par Guy Jovelin le 10 avril 2018

Par  le 10/04/2018

 
Les policiers avaient découvert au domicile de Mina B. une liste de 2 622 identités d’agents de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI).

(…) Les enquêteurs vont poursuivre leurs recherches et trouver sur l’ordinateur de Mina B. un certain nombre de photographies et de discussions sous pseudonyme, montrant que la jeune femme est en contact avec plusieurs djihadistes sur zone. Surtout, ils vont mettre la main sur une clé USB remplie de documents et fichiers de police sensibles, comprenant notamment une liste… de 2 626 agents du renseignement.

Cette liste, que Mina avait pris le soin d’effacer, date de 2008. Elle correspond à des policiers affectés à la Direction de la surveillance du territoire (DST) et aux Renseignements généraux (RG), au moment de la création de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI), qui a fusionné en partie les deux entités. Cette direction a été remplacée en 2014 par la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI). De très nombreux policiers de l’époque présents sur la liste sont toujours en fonction. D’autres ont quitté le renseignement. D’autres enfin ont rejoint la DGSI et ne figurent donc pas sur cette liste.

 

Supprimer toutes les subventions

Publié par Guy Jovelin le 10 avril 2018

POSTÉ LE 10 AVRIL , 2018, 2:46

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On constate que l’État verse de grosses subventions :

  • aux services de propagande, d’intox et de lavage des cerveaux des « sans-dents » ;
  • aux syndicats ;
  • à une palanquée d’associations.

La suppression de tous ces versements assainirait les finances publiques.

Les agents de propagande devraient se remettre en question pour mettre en place une gestion saine de leur entreprise et ne pas faire n’importe quoi en faisant fi des coûts.

Les syndicats sont des officines qui ne travaillent que pour la poursuite de leurs avantages personnels, et non pour les travailleurs.

Ce sont aussi des officines spécialisées dans la mise en péril de l’économie du pays par des grèves à répétition.

Pour éliminer leur capacité de nuisance, la suppression des subventions serait une bonne nouvelle. Elle entraînerait probablement la fin de leurs actions subversives, car ce n’est pas avec l’argent de leurs adhérents et de leurs sympathisants qu’ils pourraient vivre.

Ainsi l’État ferait-il coup double : il économiserait de l’argent et il n’aurait plus à supporter les nuisances syndicales.

Les associations touchent des subventions de l’État, ainsi que des collectivités locales – en plus des dons en provenance des entreprises et des particuliers.

Pour les associations accréditées à délivrer des reçus pour les dons dont elles ont bénéficié, l’État paye ainsi deux fois.

En conséquence, aucune subvention ne devrait être versée aux associations autorisées à émettre des reçus.

Il faudrait aussi supprimer toute subvention aux associations soi-disant antiracistes, puisqu’elles ne mettent pas en pratique ce qui est écrit dans leur objet social.

Aucune déontologie chez ces associations, car, nous le constatons tous, elles ne tiennent aucun compte du racisme anti-blanc, alors que c’est le plus fréquent et le plus grave.

Solution : soit elles dénoncent tous les actes et propos racistes sans exception pour toucher des subventions, soit elles continuent comme elles l’ont toujours fait et elles crèveront.

En tout cas, comme dans le cas précédent, elles ne pourront pas survivre uniquement grâce à l’argent de leurs donateurs et de leurs sympathisants.

 

Source : les4verites

Entre faiblesse et autoritarisme

Publié par Guy Jovelin le 10 avril 2018

POSTÉ LE 10 AVRIL , 2018, 3:27

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Cinquante ans après, les atermoiements du gouvernement vont-ils produire les mêmes effets catastrophiques qu’en 1968 ?

On est en droit de se poser la question quand on constate à quel point l’actuel gouvernement oscille entre fermeté et laxisme.

Prenons l’exemple de Notre-Dame des Landes.

À l’heure où j’écris, le gouvernement a décidé de faire enfin respecter la loi et d’évacuer la trop fameuse « ZAD » (zone à défendre dans le jargon de l’extrême gauche).

Passons sur le fait que pas moins de 2 500 gendarmes sont impliqués dans l’opération, face à une centaine d’extrémistes, alors que nous avons un cruel besoin de ces troupes sur tout le territoire national.

Évidemment, je me réjouis de voir enfin appliquer une politique de fermeté pour faire respecter le droit.

Mais il est trop tard. Le gouvernement a déjà manifesté sa faiblesse et sa disposition à se soumettre à la violence et au fait établi, puisque, malgré toutes les décisions de justice et le référendum local, il a donné raison aux occupants illégaux de la « ZAD ».

Il y a donc fort à craindre que le gouvernement cumule les effets négatifs. Non seulement il aura montré sa faiblesse, mais les extrémistes sont tout à fait capables de monter en épingle des « bavures » policières et de le mettre une nouvelle fois en difficulté.

Autre exemple : la réforme de la SNCF.

Dans ce dossier, le gouvernement donne toutes les apparences de la fermeté.

Mais il semble tellement tétanisé par les réactions des syndicats si peu représentatifs qu’il a annoncé des centaines d’heures de concertation (nous en sommes déjà à 40 réunions avec la ministre des Transports, Élisabeth Borne).

Outre qu’il est étrange d’organiser ces réunions de « concertation » après avoir présenté la réforme, tout le monde comprend que, si les syndicats parlent assez fort, font une grève assez « musclée », le gouvernement « calera ».

Tout porte à croire que la SNCF coûtera ainsi plus cher aux contribuables (pour un service encore plus mauvais) après qu’avant la réforme.

Dernier exemple : les occupations de facultés.

Là, nous atteignons des sommets. La fermeté du gouvernement ne s’exerce pas contre les occupations illégales, contre ces pseudo « étudiants » qui empêchent les vrais de travailler. Elle s’exerce contre ceux qui protestent.

Le message est, là aussi, catastrophique : il dit, une nouvelle fois, qu’en France, si vous êtes « suffisamment » violent, le gouvernement vous donnera toujours raison et, au contraire, si vous êtes respectueux de la loi, le gouvernement vous donnera systématiquement tort.

Quand je dis « pseudo » étudiants, je ne veux pas dire que tous les occupants des facs sont de faux étudiants.
Mais, enfin, quand on lit la prose des syndicalistes de l’UNEF, il n’est pas raisonnable de croire que ces rédacteurs illettrés soient réellement étudiants. A fortiori quand ils ont une trentaine d’années, comme on le voit trop souvent sur les images et les vidéos.

En tout cas, si ces analphabètes sont étudiants il est urgent d’établir une sélection à l’entrée de l’université. Ces gauchistes vont réussir à prouver le bien-fondé des réformes contre lesquelles ils luttent !

Toujours est-il que ce gouvernement est si peu assuré d’agir dans l’intérêt national qu’il tergiverse et aggrave encore le calamiteux niveau d’autorité de l’État. À quand un gouvernement à la fois légitime et ferme pour défendre la France et les Français ?

 

Source : les4verites

Comment les islamistes de la Ghouta réduisaient la population civile en esclavage

La population se taisait par peur des représailles, l’ineffable OSDH (Observatoire syrien des Droits de l’Homme) n’était sans doute pas au courant, donc les médias non plus.

Et pourtant. Des milliers d’hommes ont été, pendant des années, réduits en esclavage par les islamistes pour construire leur arme de guerre favorite : les tunnels.

On sait que ces tunnels, qui peuvent s’étendre sur des dizaines de kilomètres, ont été largement utilisés par les islamistes depuis le début du conflit. Afin de parfaire leur technique, les dirigeants de Daesh avaient même fait venir en Syrie des spécialistes reconnus : des militants du Hamas palestinien qui avaient bâti un réseau remarquable dans la bande de Gaza.

Depuis, l’ensemble des groupes islamistes utilisaient cette méthode afin de se protéger des bombardements, de ravitailler des zones encerclées ou de monter des embuscades dans le dos de l’armée syrienne.

Seulement, creuser des tunnels, c’est long et fatigant. Et puis les combattants ont mieux à faire. Alors quoi de mieux que de rafler les hommes en état de creuser, tout en assurant la subsistance de leurs familles, étroitement surveillées comme il se doit.

La main d’œuvre n’étant pas toujours suffisante, Jaych al-Islam, le groupe salafiste qui tenait Douma jusqu’à présent, s’est livré à de nombreux enlèvements en zone loyaliste. L’opération la plus spectaculaire a eu lieu en 2013 à Adra : des dizaines de fonctionnaires, et de civils pris au hasard ont été enlevés, certains avec leurs familles. Les prises les plus intéressantes ont été incarcérées, les autres envoyées dans les tunnels. On les a appelés « les kidnappés d’Adra ». La plupart sont alaouites, la confession de la famille Assad. Rappelons que cette incursion à Adra s’est accompagnée de massacres épouvantables, mais cela n’a pas beaucoup intéressé l’OSDH.

Plusieurs de ces esclaves ont disparu. Leurs familles n’ont aucune nouvelle et, depuis que la Ghouta est progressivement libérée, de nombreuses mères ou épouses font le guet. En effet, des dizaines de prisonniers ont déjà été libérés à la faveur des négociations menées par les Russes et chacun espère voir réapparaître les siens.

D’autres prisonniers ont été vus récemment : afin d’empêcher les bombardements, les islamistes les mettaient dans des cages qu’ils disposaient au milieu de la chaussée…

Les familles sont également sans nouvelles de plusieurs dizaines de femmes, et le pire est à craindre pour elles.

Tous ces prisonniers, dont on ignore le nombre exact, ont été au cœur des négociations de ces derniers jours qui vont aboutir à la libération totale de l’est de la Ghouta. 

 

Source : lafautearousseau