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jeudi, 05 avril 2018

Filière démantelée à Montpellier (34) : les mineurs isolés étaient adultes, les parents morts étaient vivants, 900 000 euros de préjudice pour le département

Publié par Guy Jovelin le 05 avril 2018

Par  le 05/04/2018 
 

Une filière internationale de faux mineurs isolés ou non accompagnés étrangers depuis la Côte d’Ivoire et dont Montpellier était la plaque tournante, a été démantelée par la Police aux frontières de l’Hérault -PAF 34- ces dernières semaines.

Pour la première fois dans ce genre d’enquête difficile et de longue haleine, les policiers français et ivoiriens, qui ont uni leur coopération grâce notamment à des officiers de liaison en poste à Paris et dans ce pays africain, sont parvenus à identifier et à arrêter la tête du réseau. Il était à la fois le faussaire qui a procuré à de jeunes adultes les faux documents d’état-civil -18 ans et 20 ans, au lieu de 15 ans et 17 ans figurant sur les pièces d’identité-, mais également l’organisateur des migrations illégales en bateau en Europe, via la Libye, l’Italie et enfin la France avec comme destination finale, Montpellier. Il utilisait des passeurs.

Ce sont des détails relevés par les spécialistes formés pour repérer à la PAF 34 les faux documents administratifs qui ont éveillé les soupçons et pour cause : les documents d’état-civil de cinq mineurs non accompagnés étrangers pris en charge par le Département de l’Hérault portaient tous le même numéro !

Un mineur de…32 ans !

Autre détail : les cinq africains venaient d’une même province de Côte d’Ivoire. L’arrestation de la tête de cette filière a entraîné l’interpellation d’un agent de la mairie de Daola, une ville ivoirienne du centre-ouest chargé de l’état-civil. Cet employé municipal est suspecté d’avoir été un complice actif du trafiquant et d’avoir délivré des documents falsifiés. La tête du réseau -le faussaire et le responsable des passeurs-, ainsi que les mineurs arrêtés dans cette procédure sont tous domiciliés dans cette province de Daola.

Selon le procureur de la République de Montpellier, Christophe Barret, “récemment, un mineur isolé pris en charge par le conseil départemental de l’Hérault avait indiqué être âgé de 17 ans. Le Département a eu un doute. Des vérifications poussées ont permis d’attester formellement qu’il était âgé de 32 ans, en réalité”.

Pour prouver la différence d’âge plus rapprochée, entre deux affirmant avoir 17 ans, alors qu’ils ont 20 ans, une batterie d’investigations sont diligentées, comme des vérifications dans les pays d’où ces migrants sont originaires, des tests osseux etc. Certains sont trahis par leurs déclarations faites avant d’arriver en France, en déclarant aux autorités italiennes être majeurs, alors qu’à Montpellier, ils assurent être mineurs.

Les parents morts étaient vivants !

Les policiers de la PAF de l’Hérault ont confondu des Ivoiriens qui avaient indiqué aux services du Département qui les avaient pris en charge que leurs parents étaient morts, dans leur pays et qu’ils étaient orphelins. “En réalité, quand nous avons saisi leurs téléphones portables, nous nous sommes aperçu qu’ils appelaient régulièrement leurs parents en Côte d’Ivoire”, révèle le commissaire divisionnaire Laurent Siam, directeur interdépartemental de la Police aux frontières de l’Hérault, du Gard et de la Lozère, qui a sous ses ordres 300 policiers, dont des enquêteurs des brigades mobiles de recherches -BMR- basés à Montpellier et à Nîmes.

Selon nos informations, depuis le mois de janvier, 65 dossiers ont été traités par la PAF 34 et douze mineurs non accompagnés étrangers sont en fuite. Identifiés, ils n’ont pas répondu aux convocations. Une opération a été lancée ces derniers jours, avec cinq suspects mis en examen et écroués après des gardes à vue. Un sixième trafiquant est en cavale et activement recherché.

17 plaintes du Département de l’Hérault

Ces investigations ont été déclenchées après 17 plaintes déposées par le conseil départemental de l’Hérault pour un préjudice estimé à 900’000 euros, puisque les mineurs isolés qui étaient majeurs ont profité des aides financières et matérielles du Département. La prise en charge totale d’un mineur non accompagné étranger coûte 284 euros par jour.  (…)

 

Quand l’Université devient un squat pour migrants

Publié par Guy Jovelin le 05 avril 2018

   
 
Assemblée générale Université Mirail Blocus

© Infos-Toulouse

Le blocus de l’Université Toulouse-II Jean-Jaurès est ininterrompu depuis le 6 mars. Malgré le départ de Daniel Lacroix, Président de l’Université et la non-recevabilité pour l’IDEX, 30 425 étudiants demeurent dans l’incapacité d’étudier. La lutte contre le projet IDEX s’est transformée en lutte contre la sélection et les projets de loi du Gouvernement. Dorénavant, il s’agit également d’une lutte en faveur des clandestins. 

L’Université n’est plus bloquée, elle est désormais squattée. L’Union des étudiants toulousains (UET), principaux meneurs du blocus, a décidé de contacter des demandeurs d’asile. C’est ainsi que le vendredi 30 mars, une trentaine d’étudiants ont ouvert les portes du grand amphithéâtre de l’Université à une dizaine de migrants afghans, guinéens, congolais… Cette initiative fait suite à la fin de la trêve hivernale, le 31 mars dernier. Les grévistes peuvent a priori compter sur le nouvel administrateur provisoire de l’université, Richard Laganier, qui tente de leur trouver des solutions.

L’Université pour tous, mais sans études

L’UET revendique cette action en faveur de « l’Université pour tous », sans exception, tandis qu’ils empêchent la tenue des cours. Ils souhaitent qu’une solution d’hébergement soit trouvée pour les migrants, que tous les sans-papiers soient régularisés immédiatemment et le retrait de la loi asile-immigration. Ils ont également lancé plusieurs appels à dons pour de la nourriture sans porc, des produits d’hygiène et des vêtements pour hommes.

Lire aussi : Le blocus du Mirail perdure, les étudiants sous pression

Ce n’est pas la première occupation de l’Université du Mirail. Le troisième étage de l’Arche, récemment évacué, avait été occupé pendant plus d’un mois. Le tribunal administratif avait ordonné la levée de l’occupation illégale mais l’administration avait tardé à réagir.

Des dégâts matériels et sociaux

Le blocus n’est plus la seule préoccupation de l’administration. D’après La Dépêche, les révoltes et revendications des différents groupes se sont traduites par de nombreuses dégradations. Des casseurs avaient notamment investi la faculté dans la nuit du 7 au 8 mars, saccageant tout sur leur passage. En outre, des photos avaient été publiées par un employé de la fac. Distributeurs pillés, brisés, matelas, chiens, odeur insoutenable, destruction de documents administratifs, vol de matériel informatique…

L’administration de l’Université faisait déjà état d’une facture de 200 000€ pour les tables et chaises utilisées pour entraver les accès aux locaux.

Lire aussi : Au tour de la Gauche de faire le ménage dans ses rangs !

Le blocus a aussi des répercussions sociales. 3 000 personnes n’ont toujours pas perçu de salaire et les versements destinés aux fournisseurs sont bloqués. En outre, le blocus se répercute sur les commerces environnants, certains connaissent une baisse de 80% de leur chiffre d’affaire. Les commerces de restauration et d’impression sont les plus touchés, leur clientièle étant majoritairement composée d’étudiants.

Audrey Bibollet

 

Source : infos-toulouse

Des légionnaires viennent au secours d’une jeune fille agressée et se retrouvent devant le tribunal !

Publié par Guy Jovelin le 05 avril 2018

Ecrit parPierre-Alain Depauw

garde à vue,jeune fille agressée,légionnaires,tribunalC’est une nouvelle illustration de cette justice toujours laxiste avec les voyous mais par contre intraitable avec ceux qui veulent remettre de l’ordre dans ce pays.

Trois légionnaires ont été déférés au parquet de Paris ce mardi, après une garde à vue prolongée.

Qu’ont-ils fait de mal ? Ils ont secouru une jeune fille agressée dans le métro !

Les faits datent du dimanche 1er avril 2018. Vers 6h45 du matin, dans un wagon du métro, au niveau de la station Saint-Ambroise (XIe) sur la ligne 9, un individu arrache le portable d’une jeune fille, sort du métro à l’arrêt et s’enfuit.

Les trois légionnaires en permission, âgés de 21 et 24 ans, poursuivent le voleur. Ils le rattrapent au niveau de l’impasse Truillot, derrière le boulevard Voltaire (XIe). Le voleur veut se battre mais il ne fait pas le poids face aux trois légionnaires.

Quand la police arrive, le voleur, en situation illégale, a perdu une dent, le pauvre. Il devient donc victime aux yeux d’une magistrature gauchiste.

Une source anonyme proche de l’enquête explique :

« Au parquet, ils n’étaient pas d’accord sur la suite à donner. Le dossier s’est baladé. Certains voulaient laisser tomber pour les militaires. Pour finir, une substitut du procureur a décidé de poursuivre les légionnaires. »

On aimerait connaître le nom de cette substitut du procureur. Celle-là, si elle est un jour victime d’une agression, elle aura bien mérité que personne ne vienne à son secours.

 

Source : medias-presse.info

Justiciables comme les autres, mais pas pour tous !

Publié par Guy Jovelin le 05 avril 2018

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 La chronique de Philippe Randa

Les tentatives du chanteur Bertrand Cantat – criminel condamné et ayant purgé sa peine – pour se produire de nouveau sur scène puis, la semaine suivante, l’intervention sur une plateau de télévision de l’ancien président de la république Nicolas Sarkozy – après ses 20 heures de garde à vue suivies de sa mise en examen, mais donc toujours présumé innocent – ont soulevés, chacune de leurs côtés, des réactions controversées.

Outre la perturbation des spectacles annoncés de l’ex-leader du groupe Noir Désir par des groupes féministes, Nadine Trintignant a estimé dans l’émission Stupéfiant !sur France 2, que le retour sur scène de l’assassin de sa fille est « honteux, indécent, dégueulasse » et qu’il n’aurait plus le droit, selon elle, que d’« écrire pour des chanteurs, qui eux n’ont pas tué… »

On pourrait lui répondre que personne n’est forcé d’aller l’écouter et l’applaudir et même penser que de telles manifestations d’hostilité et de haine ne soient perçues comme du harcèlement et produisent paradoxalement à son égard quelque élan de compassion.

De son côté, l’ancien candidat PS à l’élection présidentielle Benoit Hamon a dénoncé le « deux poids, deux mesures » concernant l’invitation de Nicolas Sarkozy à se défendre sur un plateau de télévision de l’accusation de financement libyen de sa campagne électorale en 2007 : « Celui qui vole un saucisson n’a pas le droit de se défendre au 20 heures de TF1. »

C’est vrai, mais on pourrait lui rétorquer que la garde à vue d’un voleur de saucisson monopolise rarement la Une des médias comme cela a été le cas pour celle de Nicolas Sarkozy : que ces mêmes médias lui permettent de s’exprimer rétablit donc une certaine équité.

Les gens célèbres sont évidemment des justiciables comme les autres, mais leurs traitements médiatiques n’en font pas, à l’évidence, les mêmes citoyens !

Source EuroLibertés cliquez ici

mercredi, 04 avril 2018

Carl Lang : « Retraite des personnels de la SNCF : à vos poches citoyens ! »

Publié par Guy Jovelin le 04 avril 2018

 

Carl Lang, Président du Parti de la France, dévoile les chiffres effarants du coût des retraites des personnels SNCF pour l'État français.

Carl LANG@carllang2022
 
 

La subvention de l'Etat au régime de prévoyance et de retraite des personnels de la SNCF a été de 3,276 milliards d'Euros en 2015 et 3,380 milliards en 2016. Le besoin de financement cumulé de la caisse à l'horizon 2050 est estimé entre 87 et 103 milliards. A vos poches citoyens!